Examples of using "Vênus" in a sentence and their french translations:
Vénus est également connue sous le nom d'Étoile du Matin.
Tes yeux sont aussi beaux que les bras de la Vénus de Milo.
Vénus va porter ses plaintes à Jupiter sur l’éternelle persécution de la vindicative reine des dieux.
Son esprit des humains roulait la destinée, / lorsque Vénus, sa fille, et la mère d'Énée, / gémissante, et de pleurs inondant ses beaux yeux :
Énée et Achate, dans un nuage dont Vénus les avait enveloppés, vont à Carthage sans être vus.
" Brave Énée, êtes-vous, pardonnez ma franchise, / êtes-vous ce héros que du beau sang d'Anchise / Cythérée a fait naître aux bords du Simoïs ? "
" Ces honneurs, dit Vénus, pour moi ne sont pas faits. / Cet habit, ce carquois, cet arc, cette chaussure, / sont des filles de Tyr l'ordinaire parure. "
Énée envoie chercher Ascagne qui était resté sur la flotte; mais Vénus, qui redoute l’inconstance de la reine et la perfidie carthaginoise, pour s’assurer de son cœur prend le parti d’enlever le jeune Ascagne.
Vénus sourit, et cueillant des pavots / verse à son cher Ascagne un paisible repos, / le berce dans ses bras, l'enlève, et le dépose / sur la verte Idalie, où le myrte, où la rose / d'une haleine odorante exhalant les vapeurs, / l'environnent d'ombrage et le couvrent de fleurs.
" Est-ce vous, me dit-elle, ou bien une vaine ombre ? / Ah ! si vous habitez dans la demeure sombre, / où mon Hector est-il ? "
Je savais bien qu'en dehors des grosses planètes comme la Terre, Jupiter, Mars, Vénus, auxquelles on a donné des noms, il y en a des centaines d'autres qui sont quelquefois si petites qu'on a beaucoup de mal à les apercevoir au télescope.
Le héros poursuivait ce douloureux discours ; / mais sa mère attendrie en arrête le cours. / " Oh ! qui que vous soyez, le ciel vous est propice : / de la belle Didon la bonté protectrice / accueillera vos dieux, et votre peuple, et vous. "
Sa mère cependant ne l'abandonne pas : / elle ordonne aussitôt que d'une épaisse nue / le voile officieux les dérobe à la vue ; / qu'à l'abri des retards, à l'abri du danger, / nul ne puisse les voir ni les interroger.
Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "
Vénus, déguisée en chasseresse, se présente à Énée, qui, à son arrivée en Afrique, s’était avancé dans les terres avec Achate, pour découvrir le pays ; elle lui apprend dans quelle contrée il est, et elle lui raconte l’histoire de Didon nouvellement arrivée de Tyr, et occupée à bâtir la ville de Carthage.
Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "