Examples of using "Deuses" in a sentence and their french translations:
Les dieux existent.
- Les dieux existent.
- Des dieux existent.
Les dieux existent.
De tels dieux n'ont jamais existé.
Nos dieux sont morts.
Puissent les dieux vous donner récompense!
Je ne pense pas que les dieux existent.
- Nous sommes des hommes, non des dieux.
- Nous ne sommes que des hommes, pas des dieux.
Mercure était le messager des dieux.
Nous ne sommes pas des dieux, mais seulement des hommes.
Existe-t-il de nombreux dieux ? - Cela dépend de votre foi.
Les dieux ont décrété que l'homme est mortel.
Contre la bêtise, même les dieux se battent en vain.
" Non : la mère des dieux me retient auprès d'elle. "
Même les dieux meurent quand plus personne ne croit en eux.
Un chamane est considéré comme un intermédiaire entre les dieux et les hommes.
Nous ne sommes pas des dieux, mais seulement des imposteurs qui ont décidé qu'ils étaient autorisés à tout faire.
Vénus va porter ses plaintes à Jupiter sur l’éternelle persécution de la vindicative reine des dieux.
Les dieux d'une religion en déclin deviennent les démons d'une naissante.
Mais, hélas ! sans les dieux, quel bonheur est durable ?
Anchise lève aux cieux ses vénérables mains : " Dieux ! ô dieux ! écartez ces fléaux inhumains ! / Venez à moi, dit-il, déités que j'encense ! / Secourez le malheur, secourez l'innocence ! "
La terre ne vit pas de fléau plus terrible, / l'enfer ne vomit pas de monstre plus horrible.
" Non, non, ce ne sont point ces objets de ta haine, / non, ce n'est point Pâris, ni l'odieuse Hélène, / c'est le courroux des dieux qui renverse nos murs. "
Maintenant que tu es parti, parce que tu languissais après la maison de ton père, pourquoi as-tu dérobé mes dieux ?
Errant en cent climats, triste jouet des flots, / longtemps le sort cruel poursuivit ce héros, / et servit de Junon la haine infatigable. / Que n'imagina point la déesse implacable.
On était au moment où Morphée à nos cœurs / verse d'un calme heureux les premières douceurs.
Mon père, à cet aspect, se lève, et, plein de joie, / invoque et Jupiter et l'astre qu'il envoie.
Rhipée à ses côtés tombe égorgé de même, / Rhipée, hélas ! si juste et si chéri des siens ! / Mais le ciel le confond dans l'arrêt des troyens.
" Ah ! si ce peuple affreux brave les lois humaines, / il est, il est des dieux qui, par de justes peines, / récompensent le crime et vengent le malheur. "
" Reconnais à mon sort les célestes décrets. / C'en est fait ; du destin la volonté jalouse / ne t'a point pour compagne accordé ton épouse. "
À peine j'eus calmé ma première épouvante : / sur ces signes affreux du céleste courroux / je consulte les dieux, et mon père avant tous.
Ayant remis les statues de ses dieux entre les mains d'Anchise, il le charge sur ses épaules, et traverse la ville, se retirant sur le mont Ida.
Sur eux, le fer en main, nous fondons avec joie, / et nos dieux sont admis à cette riche proie. / Une table, dressée au bord courbé des mers, / se couvre de ces mets par le hasard offerts.
En ces lieux révérés, / Hécube et ses enfants ensemble retirés, / ainsi qu'aux sifflements des tempêtes rapides / s'attroupe un faible essaim de colombes timides, / se pressaient, embrassaient les images des dieux.
" Ils sont partis, sans doute ; et, sous d'autres auspices, / bientôt accompagnés de leurs dieux plus propices, / vous les verrez soudain reparaître à vos yeux ; / ainsi s'est expliqué l'interprète des dieux. "
Muse, raconte-moi ces grands évènements ; / dis pourquoi de Junon les fiers ressentiments, / poursuivant en tous lieux le malheureux Énée, / troublèrent si longtemps la haute destinée / d'un prince magnanime, humain, religieux. / Tant de fiel entre-t-il dans les âmes des dieux !
Muse, raconte-moi ces grands évènements. Dis pourquoi de Junon les fiers ressentiments, Poursuivant en tous lieux le malheureux Énée, Troublèrent si long-temps la haute destinée D’un prince magnanime, humain, religieux. Tant de fiel entre-t-il dans les âmes des dieux !
"Pars, emmène les tiens de ces funestes lieux, / du triomphe des Grecs épargne-leur l'insulte : / Ilion te remet le dépôt de leur culte. / Cherche-leur un asile, et qu'au-delà des mers / leur nouvelle cité commande à l'univers ! "
Il dit : et la fureur enflamme mes esprits ; / je m'élance à travers le feu, le sang, les cris, / partout où la vengeance, où mon aveugle rage / et d'horribles clameurs appellent mon courage.
" Aux enfers dès longtemps mon ombre dut descendre ; / depuis longtemps je meurs ; et mes jours odieux / sont à charge à la terre, et maudits par les dieux, / depuis que Jupiter, qui dut me mettre en poudre, / m'a flétri de ses feux, et frappé de sa foudre. "
O Troie ! ô ma patrie ! ô vénérable asile ! / Murs peuplés de héros ! murs bâtis par les dieux ! / Quatre fois, près d'entrer, le colosse odieux / s'arrête ; quatre fois on entend un bruit d'armes.
Je vais au roi pontife, et m'explique en ces mots : / " O toi qui fais parler d'une voix véridique / les lauriers de Claros, le trépied prophétique ; / que ne trompent jamais ni le flanc des taureaux, / ni le ciel, ni le vol ni le chant des oiseaux ; / que me veulent les dieux ? Tous d'une voix commune / dans les champs d'Hespérie appellent ma fortune. "
" Enfin du mont Ida le bois religieux, / là nous attend le sort, là nous guident les dieux. / Mais apaisons d'abord les puissances de l'onde ; / et, si le vent nous sert, si le ciel nos seconde, / trois jours nous porteront sur ces bords désirés. "
" Vous voyez cet Énée adorateur des dieux, / connu par ses exploits, connu par ses désastres ; / mon nom, trop glorieux, a volé jusqu'aux astres. / Emportant les débris et les dieux des Troyens, / avec eux je cherchais les bords ausoniens. "
" À travers les écueils, le courroux de la mer, / nous cherchons les beaux lieux promis par Jupiter : / là nous attend la paix ; là nos yeux avec joie / verront se relever les murailles de Troie. / Vivez, conservez-vous pour les jours du bonheur. "
" Au milieu des terreurs dont notre ame est troublée, / le roi d'Ithaque, aux yeux de la Grèce assemblée, / traîne à grand bruit Calchas; et ses cris odieux / le pressent de nommer la victime des dieux. / Déjà, lisant de loin dans son ame cruelle, / mes amis annonçaient ma sentence mortelle. "
" Grand roi ! prenez pitié de mon destin funeste ; / par les dieux immortels, par la foi que j'atteste, / plaignez mon innocence, épargnez mes malheurs ! "
Tout à coup d'Apollon je vois le saint-ministre, / tout pâle des horreurs de cette nuit sinistre, / portant ses dieux vaincus, traînant son petit-fils, / échapper à grands pas au fer des ennemis.
" Oublie ici les Grecs et leur vaine fureur : / nous t'adoptons. Et toi, réponds sans artifice : / Pourquoi de ce cheval l'étonnant édifice ? / Dis, quel en est le but ? quel en est l'inventeur ? / Est-ce un hommage aux dieux ? est-ce un piège trompeur ? / Qu'en devons-nous penser ? et que devons-nous craindre ? "
Anchise prend un vase orné d'une guirlande ; / et, joignant la prière à sa liquide offrande, / debout sur le tillac, s'écrie : " O dieu des flots ! / Vous qui leur commandez le trouble et le repos, / et vous, dieux du rivage, écoutez ma prière : / " Dieux puissants, nous touchons au bout de la carrière : / encore un vent propice, encore un souffle heureux. "
Mais périsse celui auprès duquel tu trouveras tes dieux ! En présence de nos frères, examine ce qui t’appartient chez moi, et prends-le. Jacob ne savait pas que Rachel les eût dérobés.
De Ténédos leurs nefs partent sans bruit, / la lune en leur faveur laisse régner la nuit ; / l'onde nous les ramène, et la torche fatale / a fait briller ses feux sur la poupe royale. / À cet aspect, Sinon, que le ciel en courroux, / qu'une folle pitié protégea contre nous, / aux Grecs impatients ouvre enfin la barrière.
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "
" Reine, répond Éole, ordonnez, j'obéis : / à la table des dieux par vous je suis assis ; / par vous j'ai la faveur du souverain du monde, / et je commande en maître aux puissances de l'onde. "
" C'est de là que nous vient le culte de Cybèle, / par qui le soc apprit à vaincre un sol rebelle ; / de ses honneurs divins le mystère secret, / que jamais ne dévoile un témoin indiscret ; / et de l'airain sacré la bruyante allégresse, / et ces lions soumis qui traînent la déesse. "
Elle dit : le nectar coule en l'honneur des dieux. / Didon au même instant de ses lèvres l'effleure ; / Bitias le reçoit ; on l'excite, et, sur l'heure / s'abreuvant à longs traits du nectar écumant, / la coupe aux larges bords est vide en un moment. / Le vase d'or circule, avec lui l'allégresse.
" Rebutés par dix ans de batailles, / las de languir sans fruit au pied de nos murailles, / las de voir par le sort leurs assauts repoussés, / les Grecs, courbant des ais avec art enchâssés, / d'un cheval monstrueux en forment l'édifice : / Pallas leur inspira ce fatal artifice. / C'est un vœu, disaient-ils, pour un retour heureux. "
Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "
Quand Troie eut succombé, quand le fer et les feux / eurent détruit ses murs condamnés par les dieux, / et que, de ses grandeurs étonné de descendre, / le superbe Ilion fut caché sous la cendre, / innocents et proscrits, pour fixer nos destins, / il nous fallut chercher des rivages lointains. / Soumis aux lois du sort, aux oracles fidèle, / sous les hauteurs d'Antandre et du mont de Cybèle, / j'équipe des vaisseaux, incertain sur quel bord / vont nous guider les dieux, va nous jeter le sort.
Ainsi parlaient mes dieux : ce n'était point d'un songe / l'illusion nocturne et le grossier mensonge ; / c'étaient leurs saints bandeaux, leurs regards, leurs accents, / et tous mes sens émus me les montraient présents. / Tremblant, je me relève ; et, d'une ardeur pieuse, / je lève au ciel ma voix, ma main religieuse ; / aux dieux hospitaliers je rends un juste honneur, / et je cours à mon père annoncer mon bonheur.
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "