Examples of using "Rainha" in a sentence and their french translations:
- Je vois la reine.
- Je vois une reine.
Est-ce que tu vois la reine ?
Je vois une reine.
- Vive la Reine !
- Longue vie à la Reine !
- Est-ce que tu vois la reine ?
- Est-ce que vous voyez la reine ?
- Est-ce que tu vois une reine ?
- Est-ce que vous voyez une reine ?
- Est-ce que tu vois la reine ?
- Est-ce que vous voyez la reine ?
C'est la dame.
- Est-ce que tu vois la reine ?
- Est-ce que tu vois une reine ?
Vive la Reine !
- Embrassez la reine !
- Embrasse la reine !
Je vois une reine.
- Que Dieu sauve la reine.
- Que Dieu sauve la Reine !
- Dieu protège la Reine !
La reine doit mourir.
En toute femme, il y a une reine. Parle à la reine, et la reine répondra.
La reine Elisabeth est morte en 1603.
La reine Elisabeth est morte en 1603.
Tom a traité Mary comme une reine.
fourmi reine essaie de nourrir toutes les fourmis
Elisabeth II est la Reine d'Angleterre.
L'aigle est le roi des oiseaux.
Ça m'a été remis par la Reine en personne.
Je me souviens d'avoir vu la reine.
Le roi et la reine arrivent.
Quand la Reine Victoria est-elle née ?
Dans une ruche, il ne peut y avoir qu'une reine.
Une ruche ne peut avoir qu'une seule reine.
La reine des fourmis produit des œufs de quelques secondes
95 ans ! Dieu sauve la reine !
Cela peut amener la reine à servir? et comment cela peut-il être?
La reine Victoria fut souveraine de Grande-Bretagne.
la reine Victoria utilisait des extraits de cannabis à des fins thérapeutiques.
Il y a une reine dans la fente. Tout comme les abeilles
Elle prend toujours des airs, agissant comme si elle était reine.
Aujourd'hui c'est l'anniversaire de Kylie Minogue, la reine de la pop.
Une femme qui épouse un roi devient une reine, mais un homme qui épouse une reine ne devient pas un roi.
Il y a de la place pour une reine, une salle pour les chiots
La première reine prie dans la chambre de sa défunte fille.
Qui, voyant la nudité de ces murs, penserait qu'ici habite une reine ?
De tous temps, la rose, reine des fleurs, a émerveillé les hommes.
Il était une fois une reine qui avait le cœur meurtri car elle était sans enfant.
Vénus va porter ses plaintes à Jupiter sur l’éternelle persécution de la vindicative reine des dieux.
Elle bouge comme une reine et démontre qu’elle a le rythme dans le sang.
Ils racontent leurs malheurs à cette reine, et donnent des regrets à leur chef qu’ils craignent d’avoir perdu.
Une république est une nation dirigée non par un roi ou une reine mais par un président.
De même que le lion est le roi des animaux, l'aigle est le roi des oiseaux.
L'importance du roi est si grande que la femme qu'il épouse deviendra automatiquement reine.
Il arrive : déjà la superbe Didon, / au milieu de ses grands, dont la cour l'environne, / presse un lit somptueux qu'un dais pompeux couronne.
« Miroir, petit miroir, Quelle est la plus belle de tout le pays ? » Et le miroir répondait toujours: « Vous ma reine, êtes la plus belle de toutes. »
Fixé sur ces tableaux, qu'il contemple à loisir, / le héros s'enivrait d'un douloureux plaisir : / soudain Didon paraît. Appui de sa couronne, / de ses jeunes guerriers l'élite l'environne ; / la grâce dans ses traits est jointe à la fierté.
Lorsque imitant ce fils vainement attendu, / caressé par Énée, à son cou suspendu, / du héros, abusé par l'image d'Iule / il a rassasié la tendresse crédule, / préparant le poison qui doit brûler son cœur, / il marche vers la reine, il est déjà vainqueur.
Ils entrent dans le temple, dont, en attendant l’arrivée de la reine, ils examinent les peintures : elles leur offrent l’histoire du siège de Troie.
La reine cependant, atteinte au fond de l’âme, Nourrit d’un feu secret la dévorante flamme.
La reine alors demande un riche vase d'or / que l'éclat des rubis embellissait encor. / Là, les vins dont les dieux reçoivent les prémices / dans les banquets sacrés et dans les sacrifices, / depuis le grand Bélus, son aïeul renommé, / en l'honneur de ses dieux avaient toujours fumé.
"Le Gambit de Dame" est le titre d'une série récente. Le personnage principal, Beth Harmon, est une petite orpheline qui devient une joueuse d'échecs exceptionnelle.
L'importance d'une reine sera-t-elle moindre que celle d'un roi ? Pourquoi l'homme qu'elle épouse ne devient-il pas roi en conséquence ?
Énée envoie chercher Ascagne qui était resté sur la flotte; mais Vénus, qui redoute l’inconstance de la reine et la perfidie carthaginoise, pour s’assurer de son cœur prend le parti d’enlever le jeune Ascagne.
L’ayant transporté dans l’île de Chypre, elle lui substitue son fils Cupidon, qui se présente chez la reine de Carthage sous la figure de Iule.
Dès qu'elle voit Priam vainement furieux, / moins couvert qu'accablé d'une armure inutile : / " Quelle aveugle fureur, quel courage stérile ! / lui crie Hécube en pleurs. Où courez-vous ? Hélas ! "
En même temps il fait partir Mercure pour Carthage, avec ordre de disposer les Tyriens, et Didon leur reine, à bien recevoir les Troyens échoués sur leurs côtes.
C'est là que volèrent la reine et son essaim pour y déposer cire et miel.
" Reine ! de ce grand jour faut-il troubler les charmes, / et rouvrir à vos yeux la source de nos larmes ; / vous raconter la nuit, l'épouvantable nuit / qui vit Pergame en cendre, et son règne détruit ; / ces derniers coups du sort, ce triomphe du crime, / dont je fus le témoin, hélas ! et la victime ?... "
Muse, raconte-moi ces grands évènements ; / dis pourquoi de Junon les fiers ressentiments, / poursuivant en tous lieux le malheureux Énée, / troublèrent si longtemps la haute destinée / d'un prince magnanime, humain, religieux. / Tant de fiel entre-t-il dans les âmes des dieux !
Muse, raconte-moi ces grands évènements. Dis pourquoi de Junon les fiers ressentiments, Poursuivant en tous lieux le malheureux Énée, Troublèrent si long-temps la haute destinée D’un prince magnanime, humain, religieux. Tant de fiel entre-t-il dans les âmes des dieux !
" Pour ton frère, ô mon fils ! j'implore ton appui ; / va, court trouver Didon, et l'enflamme pour lui. / Qu'il l'aime, et qu'en dépit d'une fière déesse, / leurs transports amoureux secondent ma tendresse ! "
Énée sort du nuage et paraît tout à coup ; il adresse son compliment à la reine, qui lui fait une réception très favorable, et se hâte d’envoyer des provisions de toute espèce à ses compagnons restés sur le rivage.
De l'éclat de ses traits Didon reste frappée ; / de ses malheurs, de lui son âme est occupée. / "O noble sang des dieux, que je plains vos revers ! / dit elle. Quel destin vous jette en ces déserts ? "
" Entends-moi donc : ce fils, si cher à mon amour, / Ascagne, par son père attendu dans ce jour, / se prépare à porter aux remparts de Carthage / les restes précieux des feux et du naufrage. "
"S'il vit, si quelque dieu veille à sa destinée, / c'est assez : notre espoir va renaître avec lui. / Et vous, dont nos malheurs sollicitent l'appui, / si vous nous protégez contre la violence, / je connais sa justice et sa reconnaissance : / croyez que ces états s'applaudiront un jour / d'avoir par des bienfaits provoqué son amour. "
Toutefois, s'alarmant pour un héros qu'elle aime, / Cythérée imagine un nouveau stratagème ; / elle veut qu'à l'instant le jeune Cupidon, / sous la forme d'Ascagne, admis près de Didon, / lui porte ces présents, et pour son cher Énée / embrase tous ses sens d'une ardeur effrénée.
" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "
" Reine, répond Éole, ordonnez, j'obéis : / à la table des dieux par vous je suis assis ; / par vous j'ai la faveur du souverain du monde, / et je commande en maître aux puissances de l'onde. "
" Que de grâces / ne vous devons-nous pas, ô vous que nos disgrâces / ont seule intéressée ! En proie à tant de maux, / triste jouet des Grecs, de la terre et des eaux, / lorsque nous n'avons plus dans notre sort horrible / qu'un souvenir affreux, qu'un avenir terrible, / c'est vous dont les bontés à vos sujets chéris / daignent associer de malheureux proscrits ! / Et comment acquitter notre reconnaissance ? / Tous en ont le désir, mais aucun la puissance. / Tous les Troyens épars dans l'univers entier / ne pourraient de vos soins dignement vous payer. "
Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
Tandis que dans le temple, empressé de tout voir, / en attendant la reine, il admire en silence / la pompe de ces lieux et leur magnificence, / il voit représentés tous ces fameux revers, / ces combats dont le bruit a rempli l'univers, / ce fier Agamemnon, ce Priam si sensible, / et ce fils de Pélée à tous les deux terrible.