Translation of "Gerou" in French

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Examples of using "Gerou" in a sentence and their french translations:

A Alemanha gerou muitos cientistas.

L'Allemagne a produit beaucoup de scientifiques.

A ausência dele gerou vários boatos.

Son absence donna cours à toutes sortes de rumeurs.

Isso funciona muito bem, e gerou

Et cela fonctionne vraiment Eh bien, et ça l'a construit

Que gerou $1000 ao invés de $100.

cela vous a juste fait 1000 $ de plus de 100

Eu fiz isso uma vez e gerou...

Je l'ai fait une fois et ça a généré,

E isso gerou alguns leads, mas não o suficiente.

et cela a généré quelques pistes mais pas assez.

Dentro de seis meses, ela gerou 100,000 visitantes por mês,

Dans les six mois, elle a généré 100 000 visiteurs par mois,

A sentença nº 354618 gerou muita confusão na página web Tatoeba.

La phrase d'exemple no. 354618 a créé beaucoup de confusion sur le site web de Tatoeba.

O Ryan Dice me ajudou e gerou em torno de seis dígitos,

Ryan Dice m'a aidé et ça généré comme six chiffres

"Tu és então aquele Eneias que a alma Vênus / gerou de Anquises, o dardânio, às margens / do frígio Simoís?!"

" Brave Énée, êtes-vous, pardonnez ma franchise, / êtes-vous ce héros que du beau sang d'Anchise / Cythérée a fait naître aux bords du Simoïs ? "

“Rijos dardânios, / a mesma terra, que gerou a estirpe / de vossos primitivos ancestrais, / vosso retorno aguarda ao seu fecundo seio; / ide em busca do antigo solo pátrio. / Lá de Eneias a casa e os filhos de seus filhos / e os que deles nascerem vão reger / os destinos de todas as nações.”

" Troyens ! c'est au berceau de vos premiers parents / que je promets un terme à vos destins errants ; / allez, et recherchez la terre paternelle : / là, naîtra de vainqueurs une race éternelle ; / là règneront Énée et ses derniers neveux, / et les fils de ses fils, et ceux qui naîtront d'eux. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "