Translation of "Evita" in French

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Examples of using "Evita" in a sentence and their french translations:

- Ele evita-me.
- Ele me evita.

Il m'évite.

Ela me evita.

Elle m'évite.

A maioria evita áreas muito povoadas.

La plupart évitent les zones bâties.

Ele evita fazer companhia àquelas damas.

Il évite de tenir compagnie à ces dames.

O próprio Trump nunca evita palavrões e insultos

Trump lui-même n'évite jamais de jurer et d'insulter

"Estas partes, porém, do litoral da Itália / mais próximas de nós, e que se banham / nas mesmas águas deste nosso mar, evita, / que estão de aqueus perversos infestadas."

" Mais fuis la mer perfide et la côte d'Épire : / des Grecs nos ennemis ce bord est infesté. "

Há duas coisas que se evita expressamente de falar: aquelas que não têm importância e aquelas que têm sim importância apesar de tudo, mas que se desejaria que elas não tivessem razão.

Il y a deux choses dont on évite expressément de parler : celles qui n'ont pas d'importance, et celles qui malgré tout en ont mais dont on aurait souhaité qu'elles n'en eussent point.

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "