Examples of using "águas" in a sentence and their french translations:
- Les eaux calmes sont profondes.
- Il faut se méfier de l'eau qui dort.
- Il n'est pire eau que celle qui dort.
illuminant la surface de l'eau.
jusqu'à des eaux dangereuses.
Dans une eau très peu profonde.
Attention aux méduses !
- Ce truc va changer les règles du jeu.
- C'est un changement de paradigme.
nous nous aventurons de plus en plus loin dans les eaux sombres.
Tom se consacre à la recherche de méduses.
Des pêcheurs installent leurs filets en eaux profondes.
De l’eau a coulé sous les ponts depuis leur rupture.
peut être un endroit terrifiant. Beaucoup craignent ce qu'il y a sous la surface.
Et plus la nuit est noire, plus ces eaux révèlent des merveilles.
Elles apportent leurs œufs fertilisés dans les bas-fonds
Les marées qui passent dans le détroit de Lembeh, en Indonésie,
Les grandes eaux ne pourront éteindre l'amour, ni les fleuves le submerger.
La marée emporte les œufs fertilisés loin des bouches affamées du récif, vers les eaux profondes.
La terre ne vit pas de fléau plus terrible, / l'enfer ne vomit pas de monstre plus horrible.
Enfin, le jour suivant, le noir horizon s'ouvre ; / des monts dans le lointain le sommet se découvre, / et leur vapeur s'élève en tourbillons fumeux.
Alors nous nous courbons sur les flots écumeux, / et la voile baissée a fait place à la rame : / le jour renaît aux cieux, l'espérance en notre âme ; / et de leurs bras nerveux nos ardents matelots / font écumer la mer et bouillonner les flots.
" N'avez-vous pas bravé l'antre de Polyphème ? / N'avez-vous pas naguère entendu sans terreur / des rochers de Scylla la bruyante fureur ? "
" Mais fuis la mer perfide et la côte d'Épire : / des Grecs nos ennemis ce bord est infesté. "
" La Sicile verra de tes nefs vagabondes / la rame opiniâtre importuner ses ondes. / Du redoutable Averne il faut domter les flots, / de la mer d'Ausonie il faut fendre les eaux, / de l'île de Circé braver l'onde infidèle, / avant de reposer dans ta cité nouvelle. "
Le vent tonne en courroux sur les mers qu'il tourmente ; / le flot monte et retombe en montagne écumante ; / l'œil ne distingue plus ni le jour, ni la nuit ; / le pilote éperdu, que la frayeur conduit, / abandonne au hasard sa course vagabonde. / Sur nous le ciel mugit ; sous nos pieds la mer gronde ; / le tonnerre redouble, et de l'air ténébreux / mille horribles éclairs sont les astres affreux.
" Lorsqu'enfin de plus près tu verras la Sicile, / et que des bancs étroits qui séparent cette île / l'embouchure à tes yeux ira s'agrandissant, / que sur la gauche alors ton cours s'arrondissant / laisse à droite cette île et ses gorges profondes. "
Tout à coup de l'Etna je vois de loin la cime ; / de la profonde mer j'entends gronder l'abîme ; / j'entends le bruit lointain des rochers écumants, / et de l'onde en courroux les longs mugissements. / Avec le noir limon de ses grottes profondes / je vois monter, tomber, et remonter les ondes.
Des deux côtés du port un vaste roc s'avance, / qui menace les cieux de son sommet immense ; / balancés par les vents, des bois ceignent son front ; / a ses pieds le flot dort dans un calme profond ; / et des arbres touffus l'amphithéâtre sombre / prolonge sur les flots la noirceur de son ombre.
S'agitant de fureur dans leurs prisons tremblantes, / ils luttent en grondant, ils s'indignent du frein. / Au haut de son rocher, assis le sceptre en main, / Éole leur commande ; il maîtrise, il tempère / du peuple impétueux l'indocile colère : / s'ils n'étaient retenus, soudain cieux, terre, mers, / devant eux rouleraient emportés dans les airs.
De la reine des nuits la course vagabonde, / et les feux éclipsés du grand astre du monde, / le pouvoir qui, créant l'homme et les animaux, / leur versa de la vie et les biens et les maux, / les orages, les feux, le char glacé de l'Ourse, / et les astres gémeaux qui conduisent sa course, / l'Hyade et ses torrents ; dit pourquoi des hivers / les jours si promptement se plongent dans les mers ; / d'où vient des nuits d'été la lenteur paresseuse. / Enfin, sur mille tons sa voix mélodieuse / chantait l'ordre des cieux et des astres divers ; / et sa noble harmonie imitait leurs concerts.
" Si le Tibre jamais me reçoit dans ses ports, / si ces murs tant promis s'élèvent sur ses bords, / unis par la naissance, unis par l'infortune, / nos maux seront communs, notre gloire commune. / Oui, nos peuples, heureux d'une longue union, / ne feront qu'un seul peuple et qu'un seul Ilion ; / et des fils d'Ausonie et des enfants d'Épire / même sang, même amour réuniront l'empire. / Puisse un esprit semblable animer nos neveux ! "