Translation of "Litoral" in French

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Examples of using "Litoral" in a sentence and their french translations:

Gostaria de ir ao litoral com você.

J'aimerais aller à la mer avec toi.

Estafados, Eneias e seus homens / querem logo alcançar a mais próxima costa / e ao litoral da Líbia se dirigem.

Des Troyens cependant, fatigués par l'orage, / les cris impatients appellent le rivage, / et pour gagner la rive ils redoublent d'efforts.

O mensageiro desce voando pelo espaço – / as asas nos talões, remígios fortes – / e logo chega ao litoral da Líbia.

Le dieu, d'un vol léger, fend le vague des airs, / et bientôt de l'Afrique il atteint les déserts.

Eneias perlonga o litoral de Áccio, e ali fundeia a frota, para realizar jogos em honra de Apolo, que naquele lugar tinha famoso templo.

Énée côtoie le rivage d'Actium, et y prend terre pour y célébrer des jeux en l'honneur d'Apollon, qui avait en ce lieu un temple célèbre.

Cedo deixamos de avistar as altanadas / cidadelas feácias; perlongamos / o litoral do Epiro; o porto da Caônia / adentrando, atingimos a cidade, / empoleirada numa encosta, de Butroto.

Les rocs phéaciens ont fui dans les nuages. / De l'Épire déjà nous côtoyons les bords ; / la ville de Chaon nous reçoit dans ses ports ; / et, de loin dominant sur la plaine profonde, / Buthrote a réparé les fatigues de l'onde.

"Estas partes, porém, do litoral da Itália / mais próximas de nós, e que se banham / nas mesmas águas deste nosso mar, evita, / que estão de aqueus perversos infestadas."

" Mais fuis la mer perfide et la côte d'Épire : / des Grecs nos ennemis ce bord est infesté. "

Eis porém que, de Tênedos saindo, / dois dragões (horripilo-me ao contar) / na superfície do mar calmo alongam / seus imensos anéis e, lado a lado, / avançam rumo ao nosso litoral.

Quand deux affreux serpents, sortis de Ténédos, / ( j'en tremble encor d'horreur ! ) s'allongent sur les flots ; / par un calme profond, fendant l'onde écumante.

"Do litoral de Troia se avistava / Tênedos, ilha que ficou famosa / e prosperou sob o troiano cetro / (hoje não passa de inseguro ancoradouro); / os gregos para lá se transferiram, / na retirada costa se escondendo."

" Une île, Ténédos est son antique nom, / s'élève au sein des mers, à l'aspect d'Ilion. / Avant nos longs malheurs, qui sont tombés sur elle, / son port fut florissant ; mais sa rade infidèle / n'offre plus qu'un abri peu propice au nocher. / Là, sur des bords déserts les Grecs vont se cacher. "

Depois de longa estada no Epiro, o herói embarca e vai fundear a frota no litoral da Itália, onde, seguindo os conselhos de Heleno, primeiro faz um sacrifício à deusa Juno, a fim de apaziguar essa inimiga dos troianos.

Après un assez long séjour en Épire, le héros se rembarque et va toucher la côte d'Italie, où, suivant les avis d'Hélénus, il fait d'abord un sacrifice à Junon, pour calmer cette déesse ennemie des Troyens.

"Ânimo, pois, vamos seguir a rota / que os deuses nos indicam. Propiciemos / os ventos e partamos para o reino / de Cnossos, que daqui não fica longe; / se nos assiste Júpiter, a frota / em três dias fundeia em litoral cretense.”

" Enfin du mont Ida le bois religieux, / là nous attend le sort, là nous guident les dieux. / Mais apaisons d'abord les puissances de l'onde ; / et, si le vent nous sert, si le ciel nos seconde, / trois jours nous porteront sur ces bords désirés. "

Já as estrelas Aurora afugentara / e começava a enrubescer, quando avistamos / ao longe montes mal distintos e, aflorando / a pouco e pouco, o litoral da Itália. / “Itália!”, explode Acates por primeiro, / e com júbilo “Itália!” os demais clamam, / saudando o encontro.

Les astres pâlissaient, l'Aurore matinale / semait de ses rubis la rive orientale, / lorsqu'insensiblement un point noir et douteux / de loin paraît, s'élève et s'agrandit aux yeux. / C'était le Latium. Partout la joie éclate : / " Latium ! Latium ! " crie aussitôt Achate ; / " Latium ! Latium ! " disent nos cris joyeux. / Tous, d'un commun transport, nous saluons ces lieux.

"Oxalá vosso chefe, Eneias, impelido / pela mesma procela que vos trouxe, / presente aqui estivesse! Aliás, eu vou mandar / um grupo de homens experientes vasculhar / o nosso litoral de ponta a ponta, / a ver se, tendo naufragado, ele não anda / perdido em nossas matas, nossas vilas”.

" Hélas ! et plût au ciel que le même naufrage / eût conduit votre chef sur le même rivage ! / Je vais, jusqu'aux confins de mes vastes états, / partout faire chercher la trace de ses pas : / peut-être nous saurons quel désert, quelle ville / à ses destins errants ont offert un asile. "

Logo que chega a primavera, Anquises manda / largar as velas aos caprichos do destino. / Então com lágrimas nos olhos vou deixando / o porto, o pátrio litoral, toda a planície / onde um dia foi Troia. Ao mar me entrego, / qual exilado, com meu filho, os companheiros, / nossos penates, nossos grandes deuses.

L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.

Colhem-se as velas e se aproa à costa. / Tendo a forma dum arco recortado / no litoral a leste, o ancoradouro / é defendido à entrada por penedos / escarpados que estendem mar adentro / dois altos braços, contra os quais a salsa espuma / se arremessa; da praia está a fugir o templo.

On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.

Pensei: “Não é que ela vai mesmo, sã e salva, / ver Micenas, Esparta, esposo, pais e filhos, / à pátria regressando em triunfo, qual rainha / à frente de um cortejo de mulheres / de Ílio e de toda a Frígia escravizadas! / Depois de Príamo haver sido morto a espada! / Depois de Troia ter ardido em vasto incêndio! / Depois de o litoral dardânio tantas vezes / ter-se embebido em nosso sangue!"

Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !