Examples of using "Porém" in a sentence and their french translations:
Pourtant, le massacre continue.
Mais il y a tellement de bruit
Elle est pauvre, mais heureuse.
Il est riche mais inamical.
- Il est petit mais fort.
- Il est petit mais costaud.
Elle était pauvre, mais elle était honnête.
Je n'ai pas d'argent, mais j'ai des rêves.
Elle est pauvre, mais heureuse.
Je veux une voiture économique mais puissante.
Pourtant, la chanteuse ne renie pas ses origines.
Même si je suis fauché, j’ai encore acheté un livre.
Il faut être prudent, mais non pas timide.
mais plus encore d'une perspective de catégorie,
mais ce sont tous des rebonds, se désabonne, comme,
Mais, il y a un truc à ce plug-in.
Tu devines probablement ce qui va arriver.
- La loi est dure, mais c'est la loi.
- La loi est dure, mais c'est ainsi.
Les chats peuvent monter aux arbres, mais pas les chiens.
Tomber est permis ; se relever est ordonné.
C'est comique, mais tragique.
ça m'a donné des résultats rapides, mais la plupart de ceux
et je ne recommande pas ça, mais plus encore,
Il est bon d'être important mais il est encore plus important d'être bon.
Je le pensais occupé, mais en fait il était libre.
Et donc nous aimons les phrases. Et même plus, nous aimons les langues.
Je peux faire ceci et cela, mais la merde tourne toujours mal.
mais ce sont les bases, les clés mots, effacer et tags,
Je comprends, mais je ne peux pas être d'accord.
Mon ami, c'est peut-être un problème, mais résolvons-le.
Le mot « mais » est beaucoup plus important que le mot « et ».
mais la clé n'est pas juste avoir des vidéos sur votre site,
Mais quand je n'ai pas eu comme grand d'une audience de Twitter,
et ils n'en aiment pas les sensations : c'est un effet secondaire non voulu.
- Les valises métalliques sont sans aucun doute plus résistantes mais beaucoup plus onéreuses.
- Les valises métalliques sont sans aucun doute plus résistantes mais bien plus chères.
Rousseau était fou, mais influent; Hume était sain d'esprit, mais n'avait pas de disciples.
C'est très bien d'être important, mais c'est plus important d'être quelqu'un de bien.
- Toki Pona est une jeune fille très simple qui, cependant, ne se rend pas facilement.
- Toki Pona est une jeune fille très simple. Pourtant, elle ne se rend pas facilement.
Toki pona est une langue très simple. La maîtriser, cependant, est très difficile.
Le "R" français est similaire au "R" allemand, bien que ce dernier soit plus guttural.
Individuellement, les gens sont parfaitement non prévisibles. Mais en masse, ils le sont plus que parfaitement.
La loi est dure, mais c'est la loi.
Les peintres et sculpteurs sous les Nazis représentaient souvent le nu, mais il leur était interdit de montrer un quelconque défaut physique.
Les chats peuvent monter aux arbres, mais pas les chiens.
Main nonchalante appauvrit, la main des diligents enrichit.
" Je devrais... Mais des flots il faut calmer la rage ; / un autre châtiment suivrait un autre outrage. "
Et le mâle incirconcis, qui n’aura pas retranché la chair de son excroissance, sera supprimé lui-même du sein de son peuple pour avoir enfreint mon alliance.
Et votre père s’est joué de moi, et a changé dix fois mon salaire ; mais Dieu ne lui a pas permis de me faire du mal.
Mais leur plume défend ces oiseaux de la mer : / leur troupe, impénétrable aux atteintes du fer, / part, et laisse, en fuyant dans sa retraite obscure, / les mets demi-rongés, et son odeur impure.
Les directeurs généraux millionnaires étaient traités en héros par la presse, mais plus maintenant.
J'ai tenté d'ouvrir la porte mais je n'ai pas pu parce qu'elle était verrouillée.
" Hélas ! et plût aux cieux que mon sort l'eût permis ! / Mais, ou le vent contraire, ou l'affreuse tempête, / souvent retint leur flotte à partir déjà prête. "
" Mais fuis la mer perfide et la côte d'Épire : / des Grecs nos ennemis ce bord est infesté. "
Quand deux affreux serpents, sortis de Ténédos, / ( j'en tremble encor d'horreur ! ) s'allongent sur les flots ; / par un calme profond, fendant l'onde écumante.
Mais nos concitoyens, / sous les armes des Grecs ignorant les Troyens, / du temple de Pallas lancent sur notre tête / d'une grêle de traits l'effroyable tempête.
Dévouée aux horreurs de ses funestes feux, / Didon surtout, Didon le dévore des yeux ; / et, le cœur agité d'un trouble qui l'étonne, / admire et les présents et celui qui les donne.
Chaque préposition a une signification définie et fixe ; mais si nous devons utiliser n'importe quelle préposition et que le sens direct ne nous montre pas quelle préposition nous devons choisir nommément, alors nous utilisons la préposition « je » qui ne possède pas de signification propre.
" Mais qui pouvait si loin attendre une patrie ? / Et qui croyait Cassandre en ces temps malheureux ? / Cédons aux lois du sort, obéissons aux dieux. "
" Mais vous ne pourrez pas vous fixer sur ses bords, / que, pressés par la faim, dans votre rage extrême / vous n'ayez dévoré jusqu'à vos tables même. "
" Sa masse vous surprend ; mais ils ont craint, dit-on, / si dans les murs de Troie on pouvait l'introduire, / que son appui sacré ne sauvât votre empire, / de Pallas à vos murs ne rendît la faveur. "
" Pour ton frère, ô mon fils ! j'implore ton appui ; / va, court trouver Didon, et l'enflamme pour lui. / Qu'il l'aime, et qu'en dépit d'une fière déesse, / leurs transports amoureux secondent ma tendresse ! "
Et déjà sur la tombe appuyant mes genoux, / lutant contre la terre, et redoublant de force, / d'un troisième arbrisseau ma main pressait l'écorce, / quand du fond du tombeau ( j'en tremble encor d'effroi ! ) / une voix lamentable arrive jusqu'à moi :
Pour mon alliance, je la confirmerai sur Isaac, que Sara t’enfantera à pareille époque, l’année prochaine.
J'ai encore vu sous le soleil que la course n'est point aux agiles ni la guerre aux vaillants, ni le pain aux sages, ni la richesse aux intelligents, ni la faveur aux savants; car tout dépend pour eux du temps et des circonstances.
J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.
Tout à coup d'Apollon je vois le saint-ministre, / tout pâle des horreurs de cette nuit sinistre, / portant ses dieux vaincus, traînant son petit-fils, / échapper à grands pas au fer des ennemis.
" Teucer, je m'en souviens, banni de son pays, / dans Chypre, alors soumise à notre obéissance, / vint de Bélus mon père implorer la puissance. / Rempli d'un grand projet, de son état nouveau / il voulait que Bélus protégeât le berceau. "
Mais au fond du palais quel tableau lamentable ! / Partout l'effroi, le trouble et les gémissements : / les femmes, perçant l'air d'horribles hurlements, / dans l'enceinte royale errent désespérées ; / l'une embrasse à genoux ses colonnes sacrées, / l'autre y colle sa bouche, et ses mains, et ses yeux, / et par mille baisers leur fait de longs adieux.
Mais un bruit menaçant vient alarmer son âme : / un jour doit s'élever, des cendres de Pergame, / un peuple, de sa ville orgueilleux destructeur, / et du monde conquis vaste dominateur : / du sort impérieux tel est l'ordre suprème.
Etymologiquement, échec et mat signifie le « le roi est mort. » Cependant, le roi n'est pas « mort » dans le jeu d'échecs depuis longtemps. En fait, le roi est la seule pièce qui ne peut même pas être capturée, bien qu'échec et mat termine le jeu et, à proprement parler, peut être considéré comme une « mort » pour le roi.
" Cher et cruel époux ! si tu cours au trépas, / me dit-elle, à la mort traîne-nous sur tes pas ! / Si ton dernier effort peut être encore utile, / ah ! commence du moins par sauver cet asile. / Que deviendront un père, un enfant précieux, / et ton épouse, hélas ! jadis chère à tes yeux ? "
" La nuit tombe ; et déjà les célestes flambeaux, / penchant vers leur déclin, invitent au repos. / Mais, si de nos malheurs vous exigez l'histoire, / s'il faut en rappeler l'affligeante mémoire, / quoiqu'au seul souvenir de ces scènes d'horreur / mon cœur épouvanté recule de terreur, / j'obéis. "
" Là, l'oracle repose et demeure immobile. / Mais si la porte, ouverte aux zéphyrs indiscrets, / de l'arrêt fugitif leur livre les secrets, / ils volent dispersés sous les roches profondes. / Elle, au lieu d'assembler leurs feuilles vagabondes, / de ses oracles vains aux vents abandonnés / laisse errer au hasard les mots désordonnés ; / et qui vient consulter sa réponse inutile, / maudit en s'éloignant l'antre de la sibylle. "
Comment ai-je pu passer au travers ? Je l’ignore ; mais je n’oublierai jamais ce champ de bataille tragique, les morts, les blessés, les mares de sang, les fragments de cervelle, les plaintes, la nuit noire illuminée de fusées, et le 75 achevant nos blessés accrochés aux fils de fer qui nous séparent des lignes ennemies.
À ce sinistre aspect Anchise s'épouvante, / et s'écrie aussitôt d'une voix gémissante : " O notre unique asile ! ô bords hospitaliers ! / Pourquoi nous offrez-vous ces animaux guerriers ? / Les coursiers des combats sont l'effrayant présage ; / ils sont nés pour la guerre, on les dresse au carnage. / Mais ces mêmes coursiers, domptés par les humains, / traînent d'accord un char, se soumettent aux freins. / J'espère encor la paix. "
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "
" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "