Translation of "Polydore" in Portuguese

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Examples of using "Polydore" in a sentence and their portuguese translations:

Énée ignorait que ce roi perfide, voyant les Troyens vaincus et leur ville détruite, était devenu l'ami des Grecs, qu'il avait fait égorger le jeune Polydore, et qu'il s'était emparé du dépôt.

Eneias não sabia que aquele rei traiçoeiro, vendo os troianos derrotados e sua cidade destruída, se tornara amigo dos gregos e que ele mandara matar o jovem Polidoro, apoderando-se-lhe dos bens.

Il se rend d'abord dans une presqu'ile de la Thrace, où régnait Polymnestor, ancien ami et allié des Troyens, et gendre de Priam qui lui avait confié le plus jeune de ses enfants, nommé Polydore, avec une partie de ses trésors.

Ele se dirige primeiro a uma península da Trácia, onde reinava Polimestor, antigo amigo e aliado dos troianos, e genro de Príamo, que lhe confiara o mais novo de seus filhos, Polidoro, com boa parte de seus tesouros.

Au moment où il se prépare à faire un sacrifice au dieu de la Thrace, et que pour parer l'autel il arrache quelques arbrisseaux, il entend une voix plaintive : c'est celle de Polydore qui avait été inhumé en cet endroit, et qui l'avertit de s'éloigner d'une contrée où règnent le parjure et la soif des richesses.

No momento em que se prepara para fazer um sacrifício ao deus da Trácia, e para adornar o altar arranca alguns arbustos, ele ouve uma voz queixosa: é a de Polidoro, que tinha sido enterrado naquele lugar e que o aconselha a se afastar de uma região onde imperavam o perjúrio e a sede de riquezas.

Le lâche, tant qu'Hector humilia la Grèce, / respecta cet enfant, ses malheurs et son nom, / mais, dès que le destin servit Agamemnon, / l'intérêt dans son cœur faisant taire la gloire, / oublia l'amitié pour suivre la victoire. / Le cruel ( que ne peut l'ardente soif de l'or ! ) / égorge Polydore, et saisit son trésor ; / et la terre cacha sa victime sanglante.

Polimestor, que era o tal rei, quando a Fortuna / se retira de Troia e lhe permite a ruína, / ao bando passa de Agamêmnon vitorioso / e, rompendo com todas as leis santas, / trucida Polidoro e do ouro se apodera. / A que extremos não levas os mortais, / ó detestável sede de riquezas!

Mais Polydore attend les suprêmes honneurs : / on relève sa tombe, on l'arrose de pleurs ; / les autels sont parés de festons funéraires ; / le cyprès joint son deuil au deuil de ces mystères ; / des femmes d'Ilion les cheveux sont épars ; / le lait, le sang sacré coulent de toutes parts ; / nous renfermons son âme en son asile sombre, / et d'un dernier adieu nous saluons son ombre.

Preparamos, portanto, os funerais / de Polidoro: muita terra amontoamos / sobre seu túmulo; a seus Manes erigimos / altares, que cobrimos de listões / roxos, azuis e fúnebre cipreste, / enquanto em volta, desgrenhadas, como é praxe / das carpideiras, as troianas o pranteiam. / Oferecendo-lhe em navetas espumante / e morno leite e, em páteras, o sacro / sangue das hóstias, encerramos no sepulcro / o errante espírito e em voz alta lhe dizemos, / na tripla saudação, o adeus supremo.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”