Translation of "Misère" in Portuguese

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Examples of using "Misère" in a sentence and their portuguese translations:

Ils vivent dans la misère.

- Eles estão vivendo na miséria.
- Elas estão vivendo na miséria.

La misère lui a appris à se débrouiller seul.

A pobreza tinha o ensinado a se virar sozinho.

La misère est la mère de tous les vices.

A pobreza é a mãe de todos os vícios.

Et se battent vraiment pour se sortir de la misère.

que estão lutando para vencer a pobreza extrema.

Jadis j'étais riche, mais maintenant je vis dans la misère.

Um dia fui rico, mas hoje vivo na miséria.

Ne vous moquez pas de la misère des autres, car bientôt viendra la vôtre.

Não zombe da miséria de outrem, porque em breve virá a sua.

- On reconnait ses vrais amis dans la misère.
- C'est dans le malheur que l'on reconnaît ses amis.

Um amigo verdadeiro é reconhecido nas horas difíceis.

Lève-toi à présent et cesse de songer en ce lieu cruel où ne règne que misère.

Levanta-te agora e deixa de sonhar neste lugar cruel, morada de desditas.

" O comble de grandeur ainsi que de misère ! / Non, vous ne voyez pas une ombre mensongère ; / oui, malgré moi je vis, et pour souffrir encor. "

“Eu vivo, sim, embora a vida arraste / entre as mais sérias e mais duras provações; / de qualquer forma, ainda respiro, podes crer / no que estás vendo."

" Toi, fils d'Achille ! Non, il ne fut point ton père. / D'un ennemi vaincu respectant la misère, / le meurtrier d'Hector, dans son noble courroux, / ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, / et, pour rendre au tombeau des dépouilles si chères, / il me renvoya libre au palais de mes pères. "

"De outra maneira se houve o próprio Aquiles, / meu inimigo, que tua língua mentirosa / chama de pai: teve o pudor de respeitar-me / os direitos e a fé do suplicante; / ao cadáver de Heitor as honras do sepulcro / concedeu, permitindo-me voltar / em paz aos meus domínios.”

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”