Examples of using "Sacrifício" in a sentence and their french translations:
- Son sacrifice ne sera pas vain.
- Son sacrifice ne restera pas vain.
Le sacrifice d'individus assure la survie de la colonie.
L'apprentissage d'une langue étrangère représente un effort considérable et un sacrifice courageux.
L'apprentissage d'une langue étrangère représente un effort considérable et un sacrifice courageux.
En arrivant, il rencontre Andromaque dans un bois, offrant un sacrifice près du tombeau simulé de Hector, qu'elle arrosait de larmes.
" Le jour fatal arrive, et ma mort était prête ; / déjà des saints bandeaux on entourait ma tête, / déjà brillait le fer. "
Le mariage n’est pas le plaisir, c’est le sacrifice du plaisir, c’est l’étude de deux âmes qui pour toujours désormais auront à se contenter l’une de l’autre.
Le match aurait été perdu si Judit, avec beaucoup d'habileté et de ruse, n'avait pas forcé Ferenc à accepter le sacrifice de sa dame, après quoi la situation d'égalité « par noyade » s'est produite.
" Quand le perfide Ulysse eut à sa lâche envie, / vous ne l'ignorez pas, immolé ce héros, / en silence d'abord pleurant ses noirs complots, / pleurant de mon ami la triste destinée, / je traînais dans le deuil ma vie infortunée. "
Après un assez long séjour en Épire, le héros se rembarque et va toucher la côte d'Italie, où, suivant les avis d'Hélénus, il fait d'abord un sacrifice à Junon, pour calmer cette déesse ennemie des Troyens.
Hélénus, méditant ces mystères profonds, / de sa tête sacrée abaisse les festons, / présente à Jupiter un pompeux sacrifice, / implore d'Apollon la bonté protectrice, / me conduit dans son temple, et me dit :
" Dans ces extrémités, incertains que résoudre, / tremblants, nous envoyons interroger Délos, / et le trépied fatal nous répond en ces mots : / " Par le sang d'une vierge offerte en sacrifice, / la Grèce à son départ obtint un vent propice : / il faut encor du sang ; et d'un Grec à son tour, / la mort doit de sa flotte acheter le retour... "
Le Troyen cependant ne meurt pas sans vengeance, / la fureur quelquefois ranime sa vaillance ; / tour à tour on éprouve, ou répand la terreur ; / on fuit, et l'on poursuit ; on tombe, on est vainqueur ; / partout des pleurs, du sang, des hurlements terribles, / et la mort qui renaît sous cent formes horribles.
" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "
Au moment où il se prépare à faire un sacrifice au dieu de la Thrace, et que pour parer l'autel il arrache quelques arbrisseaux, il entend une voix plaintive : c'est celle de Polydore qui avait été inhumé en cet endroit, et qui l'avertit de s'éloigner d'une contrée où règnent le parjure et la soif des richesses.
Ainsi parlaient mes dieux : ce n'était point d'un songe / l'illusion nocturne et le grossier mensonge ; / c'étaient leurs saints bandeaux, leurs regards, leurs accents, / et tous mes sens émus me les montraient présents. / Tremblant, je me relève ; et, d'une ardeur pieuse, / je lève au ciel ma voix, ma main religieuse ; / aux dieux hospitaliers je rends un juste honneur, / et je cours à mon père annoncer mon bonheur.