Translation of "Andrômaca" in French

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Examples of using "Andrômaca" in a sentence and their french translations:

Ao chegar, ele encontra Andrômaca em um bosque, oferecendo um sacrifício próximo ao túmulo simulado de Heitor, que ela banhava em lágrimas.

En arrivant, il rencontre Andromaque dans un bois, offrant un sacrifice près du tombeau simulé de Hector, qu'elle arrosait de larmes.

De lá ele foi para o Epiro, onde reinava um filho de Príamo, Heleno, sacerdote de Apolo, e marido de Andrômaca, viúva de Heitor.

De là il se rend en Épire, où régnait Hélénus, fils de Priam, prêtre d' Apollon, et mari d'Andromaque veuve d'Hector.

"Ah, quanto a ti, que sorte / te coube após perder tão nobre esposo? / Será que te sorriu fortuna à altura / da Andrômaca de Heitor, ou inda estás com Pirro?”

" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "

Aos ouvidos nos chega uma notícia incrível: / que de Príamo um filho, Heleno, era senhor / daquelas terras gregas; sucedera / no tálamo e no trono ao neto de Éaco, / Pirro, Andrômaca tendo assim de novo / esposado um de seus compatriotas.

Là, d'incroyables bruits, jusqu'à nous parvenus, / étonnent notre oreille : on nous dit qu'Hélénus, / enfant du dernier roi de la triste Pergame, / possède de Pyrrhus et le sceptre et la femme ; / qu'il commande à des Grecs, et qu'un dernier lien / met la veuve d'Hector dans les bras d'un Troyen.

Uma porta traseira camuflada, / não vista pelos gregos, dava acesso / a um passadiço entre os dois prédios do palácio, / por onde costumava Andrômaca, a infeliz, / nos bons tempos sozinha transitar, / em visita a seus sogros, ou levando / o pequeno Astianaz ao caro avô.

Derrière le palais il était une issue, / une porte des Grecs encore inaperçue ; / et deux chemins secrets de ces grands bâtiments / réunissaient entr'eux les longs compartiments. / En des temps plus heureux, c'était par cette porte / qu'Andromaque souvent, sans pompe, sans escorte, / se rendait vers Priam, et, plus souvent encor, / menait à ses aïeux le jeune fils d'Hector.

Num bosque à entrada da cidade, à margem / de um novo Xanto, Andrômaca ofertava / funéreos dons, solenes iguarias, / às cinzas do finado esposo e lhe evocava / os manes junto ao túmulo vazio, / de verde relva, e aos dois altares consagrados / aos seus pranteados Astianaz e Heitor.

Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "