Translation of "Bosque" in French

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Examples of using "Bosque" in a sentence and their french translations:

Perdeu-se no bosque.

- Il a perdu son chemin dans les bois.
- Il a perdu son chemin dans la forêt.

Os ladrões se esconderam no bosque.

Les voleurs se cachèrent dans les bois.

Há um bosque perto do riacho.

Près du ruisseau se trouve un bois.

Há uma picada que atravessa o bosque.

Il y a un sentier qui passe à travers le bois.

Ele encontrou um cachorro abandonado no bosque.

Il trouva un chien abandonné dans la forêt.

Ele se perdeu enquanto andava no bosque.

Il se perdit en marchant dans les bois.

Estava muito tranquilo no bosque de árvores.

C'était tellement paisible dans le bosquet.

Um dia ela encontrou um lobo no bosque.

Un jour, elle rencontra un loup dans les bois.

Depois da chuva crescem muitos cogumelos no bosque.

- Après la pluie, de nombreux champignons poussent dans les bois.
- Après la pluie, beaucoup de champignons poussent dans la forêt.

Se o tempo deixar, eles irão ao bosque colher cogumelos.

Si le temps le permet, ils iront dans les bois ramasser des champignons.

Prorrompe em lágrimas, enchendo todo o bosque / de lamento e soluços dolorosos.

Elle dit ; et soudain / d'un long ruisseau de pleurs elle inonde son sein / et fait entendre au loin sa plainte attendrissante.

Ao chegar, ele encontra Andrômaca em um bosque, oferecendo um sacrifício próximo ao túmulo simulado de Heitor, que ela banhava em lágrimas.

En arrivant, il rencontre Andromaque dans un bois, offrant un sacrifice près du tombeau simulé de Hector, qu'elle arrosait de larmes.

Nesse bosque, inesperado / espetáculo trouxe-lhe o primeiro / alívio aos seus temores; ousa Eneias, / aqui, por vez primeira, esperar salvação, / mais confiante ficando em superar / a vexatória situação em que se achava.

Là, du héros troyen un objet plein de charmes, / pour la première fois, vint suspendre les larmes, / et fit luire à ses yeux quelques rayons d'espoir.

Na caligem da noite solitária ambos seguiam pelo reino de Plutão, amplo solar das sombras incorpóreas, qual viajores que, ao luar fraco e inconstante, o bosque trilham quando Júpiter com nuvens esconde o céu e a treva ao mundo rouba as cores.

Tous les deux, s’avançant dans ces tristes royaumes Habités par le vide et peuplés de fantômes, Marchoient à la lueur du crépuscule obscur, Tel, lorsqu’un voile épais des cieux cache l’azur, Au jour pâle et douteux de leur lumière avare, Dans le fond des forêts le voyageur s’égare.

Mal terminava, eis de repente tudo em volta / sinto tremer – umbrais, o bosque de loureiros / do deus, o monte inteiro – qual em curso / um terremoto, e no santuário, agora aberto, / ouço gemer a trípode febeia. / Humildes prosternamo-nos e ouvimos / uma voz que nos diz:

Je dis : et tout à coup je sens de l'immortel / s'agiter le laurier, et le temple, et l'autel. / Le mont tremble ; chacun vers la terre s'incline, / et ces mots sont sortis de l'enceinte divine :

Num bosque à entrada da cidade, à margem / de um novo Xanto, Andrômaca ofertava / funéreos dons, solenes iguarias, / às cinzas do finado esposo e lhe evocava / os manes junto ao túmulo vazio, / de verde relva, e aos dois altares consagrados / aos seus pranteados Astianaz e Heitor.

Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.

De ambos os lados, vasta é a penedia / e contra o céu projetam-se dois cumes, / ao pé dos quais, por longo espaço, as águas / proporcionam seguro e calmo abrigo. / No alto, um cenário de árvores frondosas / batidas pelo vento, um bosque espesso / que para baixo estende escura sombra.

Des deux côtés du port un vaste roc s'avance, / qui menace les cieux de son sommet immense ; / balancés par les vents, des bois ceignent son front ; / a ses pieds le flot dort dans un calme profond ; / et des arbres touffus l'amphithéâtre sombre / prolonge sur les flots la noirceur de son ombre.

Havia um bosque / fresco e umbroso no centro da cidade, / onde os penos, batidos pelas vagas / e tempestades, logo que chegaram, / o presságio de Juno confirmaram, / de fogoso corcel desenterrando / a cabeça, sinal, conforme a deusa, / de que aquela nação seria incomparável / na guerra e rica pelos séculos afora.

Un bois pompeux s'élève au milieu de Carthage ; / il reçut ses enfants préservés du naufrage. / Là, la bêche en fouillant découvrit à leurs yeux / la tête d'un coursier, symbole belliqueux ; / ce signe fut pour eux le signe de la gloire, / et Junon à ce gage attacha la victoire.

"Vem-nos do monte de Cibele, em Creta, o culto, / da mãe dos deuses, nossa protetora, / e os Coribantes com seus címbalos e flautas; / do Ida cretense o nosso bosque Ideu / seu nome recebeu; remonta a Creta / o voto de silêncio nos mistérios / e a representação da deusa em leve carro / por uma junta de leões puxado, / por ser patrona da selvagem natureza."

" C'est de là que nous vient le culte de Cybèle, / par qui le soc apprit à vaincre un sol rebelle ; / de ses honneurs divins le mystère secret, / que jamais ne dévoile un témoin indiscret ; / et de l'airain sacré la bruyante allégresse, / et ces lions soumis qui traînent la déesse. "