Examples of using "Levando" in a sentence and their french translations:
ce qui entraîne une noyade accidentelle des nageurs.
- Ne pousses-tu pas le bouchon trop loin ?
- Ne poussez-vous pas le bouchon trop loin ?
Tom promène son chien.
n'arrive pas à tenir compte de cette différence fondamentale
emportant ses derniers rayons avec lui.
On a essayé de lui remonter le moral en l'emmenant faire une sortie.
Ils emmènent Marie à la salle des urgences.
Tout bien considéré, il a une vie heureuse.
les mots clés que vos pages obtiennent du trafic pour,
comment pourriez-vous tenir compte de cette différence fondamentale
Toutes choses égales par ailleurs, le résultat est meilleur que je ne l'espérais.
une position défensive sur les deux routes principales menant de Smolensk à Moscou.
responsable du massacre de plusieurs léopards par des foules en colère qui ont décidé de prendre les choses en main.
Compte tenu de l'heure, ce n'est pas une grande surprise qu'il n'y ait pas beaucoup de gens.
Déjà, fier d'accomplir un ordre qui le flatte, / l'Amour poursuit sa route, et, conduit par Achate, / porte aux enfants de Tyr les présents d'Ilion.
Alors Laban dit à Jacob : Qu’as-tu fait ? Pourquoi m’as-tu trompé, et emmènes-tu mes filles comme des captives par l’épée ?
De quelle manière peut-on empêcher les gens de ne penser qu'à leurs besoins et à leurs préoccupations, en les amenant à se considérer comme un élément d'une plus grande communauté ?
Il s’enfuit, avec tout ce qui lui appartenait ; il se leva, traversa le fleuve, et se dirigea vers la montagne de Galaad. Le troisième jour, on annonça à Laban que Jacob s’était enfui.
" Entends-moi donc : ce fils, si cher à mon amour, / Ascagne, par son père attendu dans ce jour, / se prépare à porter aux remparts de Carthage / les restes précieux des feux et du naufrage. "
Derrière le palais il était une issue, / une porte des Grecs encore inaperçue ; / et deux chemins secrets de ces grands bâtiments / réunissaient entr'eux les longs compartiments. / En des temps plus heureux, c'était par cette porte / qu'Andromaque souvent, sans pompe, sans escorte, / se rendait vers Priam, et, plus souvent encor, / menait à ses aïeux le jeune fils d'Hector.
" Calchas veut qu'aussitôt la voile se déploie : / tous nos traits impuissants s'émousseront sur Troie, / si, dans les murs d'Argos revolant sur les eaux, / les Grecs ne vont chercher des augures nouveaux. "
Là, les femmes de Troie, avançant lentement, / à Pallas apportaient un riche vêtement, / se meurtrissant le sein, humblement gémissantes ; / l'habit sacré brillait dans leurs mains suppliantes : / Pallas baissait les yeux, et repoussait leur don.
" Didon, pleine d'effroi, hâte soudain sa fuite : / ceux qu'une même horreur, ou que la crainte excite, / attroupés en secret, veulent suivre son sort. / Des vaisseaux étaient prêts à s'éloigner du bord, / leur troupe s'en saisit ; de leur asile avare / on tire les trésors de ce monstre barbare. / Maîtres de sa richesse, et bravant son courroux, / ils voguent. Une femme a conduit ces grands coups. "
Tel, au sein des moissons quand la flamme rapide, / au gré des vents s'élance : ou lorsqu'à gros bouillons, / engloutissant l'espoir de nos riches sillons, / entraînant les forêts dans ses vagues profondes, / un torrent en grondant précipite ses ondes ; / le berger s'épouvante, et d'un roc escarpé / prête de loin l'oreille au bruit qui l'a frappé.
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "
" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "