Examples of using "Leis" in a sentence and their french translations:
des lois telles que le droit civil
avec de bonnes lois et coutumes.
- Nous devons toujours obéir aux lois.
- On devrait toujours se soumettre à la loi.
Les lois doivent être respectées.
Mais nos lois ne fonctionnent plus.
Toutes les lois ne sont pas justes.
Nul n'est censé ignorer la loi.
Les lois de la nature sont immorales.
Le bon citoyen obéit à la loi.
en plus ils ont juste appliqué les lois
- La nature ne brise jamais ses propres lois.
- La nature ne rompt jamais ses propres lois.
certaines lois, alors tu ne vas pas avoir
Nous avons adopté des lois strictes pour empêcher que cela n'arrive.
Les mauvaises lois sont la pire forme de tyrannie.
avec les lois GDPR et vous faites des affaires
les lois sont la question sur pourquoi ce n'est pas possible en ce moment,
mais tu vas commencer voir des problèmes avec les lois
L'Europe est plus stricte avec les lois que
La société doit rejeter les lois qui conduisent à la discrimination raciale.
et ce qui se passe avec les lois, je ne sais pas.
Alors que les lois sur cette question sont les mêmes depuis 85 ans
La rotation de la Terre autour du Soleil est soumise à de nombreuses lois physiques complexes.
Ces dernières années, les travailleurs du secteur des services ont fait pression pour de nouvelles lois pour obtenir des arrêts maladie payés
Une entreprise loin d'être institutionnalisée, n'a que ses propres lois et est fermée à l'extérieur.
Dans une réalité tridimensionnelle, les forces comme l'électromagnétisme opèrent seulement tridimensionnellement et se comportent selon les lois traditionnelles de la physique.
Tous veulent fuir ces lieux et ce bord sacrilège, / où l'hospitalité n'a plus de privilège.
Le lâche, tant qu'Hector humilia la Grèce, / respecta cet enfant, ses malheurs et son nom, / mais, dès que le destin servit Agamemnon, / l'intérêt dans son cœur faisant taire la gloire, / oublia l'amitié pour suivre la victoire. / Le cruel ( que ne peut l'ardente soif de l'or ! ) / égorge Polydore, et saisit son trésor ; / et la terre cacha sa victime sanglante.
Et là, son équitable voix / dicte ses jugements, et proclame ses lois ; / dispense également les travaux de Carthage, / ou par l'arrêt du sort en règle le partage ; / voit, juge, ordonne tout, et d'une noble ardeur / hâte de ses états la future grandeur. / Tout à coup, au milieu d'une foule bruyante, / des étrangers, tendant une main suppliante, / de leurs concitoyens entrent environnés, / et frappent du héros les regards étonnés.
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
Afin de vivre en accord avec les lois de la nature, l'oiseau doit voler, le serpent ramper, le poisson nager et l'homme aimer. Et c'est pourquoi, si l'homme, au lieu d'aimer les gens, leur fait du mal, il agirait de manière aussi étrange, que si l'oiseau se mettait à nager et le poisson à voler.
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
" De cent verrous d'airain les robustes barrières / refermeront de Mars les portes meurtrières ; / la Discorde au dedans, fille affreuse d'enfer, / hideuse, y rougira sous cent cables de fer, / et, sur l'amas rouillé des lances inhumaines, / de sa bouche sanglante en vain mordra ses chaînes. "