Translation of "Dansons" in Spanish

0.007 sec.

Examples of using "Dansons" in a sentence and their spanish translations:

Dansons.

Bailemos.

- Dansons, voulez-vous ?
- Dansons, veux-tu ?

Bailemos, ¿de acuerdo?

Dansons, chéri !

Bailemos, amorcito.

Nous dansons ensemble.

Nosotras bailamos juntas.

Dansons jusqu'à l'aube !

¡Bailemos hasta el amanecer!

Dansons, voulez-vous ?

Bailemos, ¿de acuerdo?

Dansons toute la nuit !

¡Bailemos toda la noche!

Dansons sur sa chanson.

Bailemos esta canción.

Elle chante, il joue de la guitare et nous dansons.

- Ella canta, él toca la guitarra y nosotros bailamos.
- Ella canta, él toca la guitarra y nosotras bailamos.

Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.

No existe tal cosa, en esta etapa de la historia del mundo en los Estados Unidos, algo como prensa independiente. Ustedes lo saben y yo lo sé. No hay uno solo de ustedes que se atreva a escribir sus opiniones honestas y si lo hicieran sabemos de antemano que nunca saldría en la prensa. A mí me pagan cada semana para mantener mis opiniones honestas fuera del periódico con el que tengo relación. A otros de ustedes les pagan salarios similares por cosas similares y cualquiera de ustedes que quisiera ser tan tonto como para escribir opiniones honestas andaría por las calles buscando otro empleo. Si se permitiera que mis opiniones honestas aparecieran en una edición de mis periódicos, antes de veinticuatro horas, mi ocupación ya habría desaparecido. El negocio de los periodistas es destruir la verdad, mentir abiertamente, pervertir, satanizar, haciendo reverencias a los pies de los ricos, y vender a su país y a su raza por su pan de cada día. Ustedes lo saben y yo lo sé, y ¿qué locura es esta de brindar por una prensa independiente? Somos payasos saltarines, ellos mueven los hilos y nosotros bailamos. Nuestros talentos, nuestras posibilidades y nuestras vidas son todas la propiedad de otros hombres. Somos prostitutas intelectuales.