Translation of "Rota" in French

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Examples of using "Rota" in a sentence and their french translations:

Pegue a rota mais curta para Paris.

Prenez le chemin le plus court pour aller à Paris.

Mas, assim, irei desviar-me da nossa rota.

Mais ça va me faire dévier sur la gauche ou sur la droite.

Boas notícias, voltámos à rota de cadeia fria,

Bonne nouvelle : on a retrouvé le circuit de la chaîne du froid.

Esta é a rota mais curta até Paris.

- C'est le plus court chemin vers Paris.
- C'est le chemin le plus court jusqu'à Paris.

- Qual rota tomar?
- Que estrada tomar?
- Que caminho tomar?

Quelle route emprunter ?

Isto faz claramente parte da antiga rota de cadeia fria.

Cette corde fait partie de cette chaîne du froid.

E, agora, a ravina força-nos a mudar de rota,

Ce canyon nous envoie dans une autre direction.

Fazer rapel no desfiladeiro afastou-nos da rota de cadeia fria

Descendre la gorge en rappel nous a éloignés de la chaîne du froid.

Assim que um homem nasce, sua rota já leva à morte.

Dès l'instant où naît l'être humain, c'est vers la mort que son chemin le conduit.

Ainda está a mais de 15 km a nordeste da rota de cadeia fria.

est à plus de 16 km au nord-est d'ici, sur ce circuit de la chaîne du froid.

Estamos a aproximar-nos do fim da rota de cadeia fria e a aldeia Embarra fica apenas a alguns quilómetros.

On arrive au bout du circuit de la chaîne du froid. Le village Emberá n'est plus qu'à quelques kilomètres.

Enquanto o sol se põe e os ventos esmorecem, / sem conhecer bem nossa rota, fatigados, / arribamos à costa dos Ciclopes.

Cependant le vent tombe et meurt avec le jour. / Des Cyclopes cruels j'aborde le séjour : / je l'ignorais.

Os austros o velame logo enfunam / e céleres vogamos pelas ondas / espumosas, seguindo a rota que nos traçam / tanto o piloto quanto os próprios ventos.

Ils partent : l'aquilon gonfle, en sifflant, leurs voiles ; / au gré du souffle heureux qui frémit dans leurs toiles, / ils fendent de la mer les bruyants tourbillons, / et la proue en fuyant laisse au loin ses sillons.

Fazemo-nos à vela e vamos à vizinha / Acroceráunia, de onde ficam muito curtas / a rota e a travessia para a Itália. / Já o sol se põe e a sombra cobre a serrania.

À ces mots je m'éloigne, en retournant les yeux / vers ces murs fraternels, cette terre chérie, / et vais sur l'onde encor poursuivre une patrie. / Nous côtoyons d'abord ces sommets escarpés / que les traits de la foudre ont si souvent frappés ; / de là, vers l'Italie un court trajet nous mène. / Le jour tombe ; et la nuit, de son trône d'ébène, / jette son crêpe obscur sur les monts, sur les flots.

"Com vinte naus me fiz ao mar, deixando a Frígia; / a luz da deusa-mãe a me indicar a rota, / eu seguia o traçado do destino. / Mal me restaram sete naus, danificadas / pelas ondas que o vento encapelou".

" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "

"Ânimo, pois, vamos seguir a rota / que os deuses nos indicam. Propiciemos / os ventos e partamos para o reino / de Cnossos, que daqui não fica longe; / se nos assiste Júpiter, a frota / em três dias fundeia em litoral cretense.”

" Enfin du mont Ida le bois religieux, / là nous attend le sort, là nous guident les dieux. / Mais apaisons d'abord les puissances de l'onde ; / et, si le vent nous sert, si le ciel nos seconde, / trois jours nous porteront sur ces bords désirés. "

Nós a vemos passar roçando o teto / e claramente mergulhar nos bosques do Ida, / de nossa fuga a rota assinalando; / atrás de si deixa brilhante e longa esteira, / e do local da queda, em largo raio, / sobe um quente vapor cheirando a enxofre.

De là le feu divin, pour nous guider, sans doute, / vers la forêt d'Ida suit sa brillante route, / prolonge dans les airs ses sillons radieux, / jette une odeur de soufre, et se perd à nos yeux.

"Que nos seja / permitido varar a frota fraturada / pelos ventos, cortar em vossos bosques / madeira para as quilhas, para os remos, / a fim de que – se a Itália nos espera / e se recuperarmos companheiros / e nosso príncipe – felizes retomemos / a rota que traçamos para o Lácio".

" Souffrez qu'en vos forêts notre triste naufrage / retrouve les secours que nous ravit l'orage. / Si le pieux Énée à nos vœux est rendu, / si dans les champs latins son peuple est attendu, / vers ces bords désirés nous suivrons notre course. "

"Nossa rota levava a tal destino. / Eis de repente o proceloso Oríon, / encapelando as ondas, nos empurra / para ocultos baixios, e, ajudado / pelo ímpeto dos austros, nos dispersa / completamente sobre as ondas, sob a vaga / salgada e entre recifes sem passagem; / aqui estamos os poucos que escapamos / e nadando alcançamos vossas praias".

" Là s'adressaient nos pas, lorsqu'un astre funeste, / déchaînant la tempête, et courrouçant les eaux, / parmi d'affreux rochers a jeté nos vaisseaux ; / et de nos compagnons échappés au naufrage / à peine un petit nombre a gagné le rivage. "

Rapidamente o vento agita as águas / e, a grande altura os escarcéus erguendo, / nos joga e espalha pelo vasto abismo; / enquanto a densa espuma encobre o firmamento, / o aguaceiro nos rouba a luz do dia / e mil relâmpagos as nuvens rasgam. / Da rota somos arrancados e vagamos / às cegas sobre as águas; nem sequer / Palinuro, o piloto, é capaz de saber / se é dia ou noite, num tal tempo, não podendo / o rumo certo achar por entre as ondas.

Le vent tonne en courroux sur les mers qu'il tourmente ; / le flot monte et retombe en montagne écumante ; / l'œil ne distingue plus ni le jour, ni la nuit ; / le pilote éperdu, que la frayeur conduit, / abandonne au hasard sa course vagabonde. / Sur nous le ciel mugit ; sous nos pieds la mer gronde ; / le tonnerre redouble, et de l'air ténébreux / mille horribles éclairs sont les astres affreux.