Examples of using "Rota" in a sentence and their french translations:
Prenez le chemin le plus court pour aller à Paris.
Mais ça va me faire dévier sur la gauche ou sur la droite.
Bonne nouvelle : on a retrouvé le circuit de la chaîne du froid.
- C'est le plus court chemin vers Paris.
- C'est le chemin le plus court jusqu'à Paris.
Quelle route emprunter ?
Cette corde fait partie de cette chaîne du froid.
Ce canyon nous envoie dans une autre direction.
Descendre la gorge en rappel nous a éloignés de la chaîne du froid.
Dès l'instant où naît l'être humain, c'est vers la mort que son chemin le conduit.
est à plus de 16 km au nord-est d'ici, sur ce circuit de la chaîne du froid.
On arrive au bout du circuit de la chaîne du froid. Le village Emberá n'est plus qu'à quelques kilomètres.
Cependant le vent tombe et meurt avec le jour. / Des Cyclopes cruels j'aborde le séjour : / je l'ignorais.
Ils partent : l'aquilon gonfle, en sifflant, leurs voiles ; / au gré du souffle heureux qui frémit dans leurs toiles, / ils fendent de la mer les bruyants tourbillons, / et la proue en fuyant laisse au loin ses sillons.
À ces mots je m'éloigne, en retournant les yeux / vers ces murs fraternels, cette terre chérie, / et vais sur l'onde encor poursuivre une patrie. / Nous côtoyons d'abord ces sommets escarpés / que les traits de la foudre ont si souvent frappés ; / de là, vers l'Italie un court trajet nous mène. / Le jour tombe ; et la nuit, de son trône d'ébène, / jette son crêpe obscur sur les monts, sur les flots.
" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "
" Enfin du mont Ida le bois religieux, / là nous attend le sort, là nous guident les dieux. / Mais apaisons d'abord les puissances de l'onde ; / et, si le vent nous sert, si le ciel nos seconde, / trois jours nous porteront sur ces bords désirés. "
De là le feu divin, pour nous guider, sans doute, / vers la forêt d'Ida suit sa brillante route, / prolonge dans les airs ses sillons radieux, / jette une odeur de soufre, et se perd à nos yeux.
" Souffrez qu'en vos forêts notre triste naufrage / retrouve les secours que nous ravit l'orage. / Si le pieux Énée à nos vœux est rendu, / si dans les champs latins son peuple est attendu, / vers ces bords désirés nous suivrons notre course. "
" Là s'adressaient nos pas, lorsqu'un astre funeste, / déchaînant la tempête, et courrouçant les eaux, / parmi d'affreux rochers a jeté nos vaisseaux ; / et de nos compagnons échappés au naufrage / à peine un petit nombre a gagné le rivage. "
Le vent tonne en courroux sur les mers qu'il tourmente ; / le flot monte et retombe en montagne écumante ; / l'œil ne distingue plus ni le jour, ni la nuit ; / le pilote éperdu, que la frayeur conduit, / abandonne au hasard sa course vagabonde. / Sur nous le ciel mugit ; sous nos pieds la mer gronde ; / le tonnerre redouble, et de l'air ténébreux / mille horribles éclairs sont les astres affreux.