Examples of using "Praias" in a sentence and their french translations:
Dans ce village, il y a deux plages.
Les plages de France sont magnifiques.
Mon pays a de belles plages, une nature luxuriante et un climat printanier éternel.
Au Brésil, Noël a lieu en plein été, et on le fête souvent sur la plage.
" Mais vous, quelle tempête ou quelle erreur nouvelle / vous porta de si loin sur ces bords étrangers ? "
" De deux infortunés daignez plaindre le sort ! / Un orage cruel nous jeta sur ce bord. "
Le rapide Zéphire, et les fiers aquilons, / et les vents de l'Afrique, en naufrages féconds, / tous bouleversent l'onde, et des mers turbulentes / roulent les vastes flots sur leurs rives tremblantes. / On entend des nochers les tristes hurlements, / et des cables froissés les affreux sifflements.
Quand Jupiter, du haut de la voûte éthérée, / contemplant et la terre et la mer azurée, / et les peuples nombreux dans l'univers épars, / sur la Libye enfin arrête ses regards.
" Dans ces extrémités, incertains que résoudre, / tremblants, nous envoyons interroger Délos, / et le trépied fatal nous répond en ces mots : / " Par le sang d'une vierge offerte en sacrifice, / la Grèce à son départ obtint un vent propice : / il faut encor du sang ; et d'un Grec à son tour, / la mort doit de sa flotte acheter le retour... "
Les Strophades ( la Grèce ainsi nomma ces îles ) / aux nochers rassurés présentent leurs asiles ; / et, de loin dominant les flots ioniens, / sur leurs tranquilles bords appellent les Troyens. / Vain espoir ! Céléno, la reine des Harpies, / infecta ces beaux lieux de ses troupes impies, / depuis que Calaïs à leur brutale faim / du malheureux Phinée arracha le festin.
" Lorsqu'enfin de plus près tu verras la Sicile, / et que des bancs étroits qui séparent cette île / l'embouchure à tes yeux ira s'agrandissant, / que sur la gauche alors ton cours s'arrondissant / laisse à droite cette île et ses gorges profondes. "
De Ténédos leurs nefs partent sans bruit, / la lune en leur faveur laisse régner la nuit ; / l'onde nous les ramène, et la torche fatale / a fait briller ses feux sur la poupe royale. / À cet aspect, Sinon, que le ciel en courroux, / qu'une folle pitié protégea contre nous, / aux Grecs impatients ouvre enfin la barrière.
" Là s'adressaient nos pas, lorsqu'un astre funeste, / déchaînant la tempête, et courrouçant les eaux, / parmi d'affreux rochers a jeté nos vaisseaux ; / et de nos compagnons échappés au naufrage / à peine un petit nombre a gagné le rivage. "