Examples of using "Ventos" in a sentence and their french translations:
- Bon débarras !
- Bon débarras !
Les vents sont forts.
Bon débarras !
Des vents forts ont accompagné la pluie.
Qui sème le vent, récolte la tempête.
Les vents de mer sont humides.
Le toit fut arraché à cause des vents forts.
Je viens de finir de lire Les Hauts de Hurlevent.
Mais s'il y a beaucoup de vent cette nuit, ça risque de le recouvrir.
Une chaîne de montagnes protège la vallée des vents du nord.
Ces vents nous ont emporté à plus de 6 km des débris.
Qui sème le vent, récolte la tempête.
" Nous les croyons partis ; sur les liquides plaines / nous croyons que le vent les remporte à Mycènes. "
Les vents de mars et les pluies d'avril laissent place aux fleurs de mai.
" Commandez à vos vents de servir ma furie ; / dispersez sur les mers ou noyez leurs vaisseaux, / et de leurs corps épars couvrez au loin les eaux. "
La flamme dévorait les toits de mes ancêtres, / et de l'embrasement les torrents furieux / de leur comble enflammé s'élançaient vers les cieux.
" Oui, du vieux Latium vous atteindrez les ports. "
Cependant le vent tombe et meurt avec le jour. / Des Cyclopes cruels j'aborde le séjour : / je l'ignorais.
Là, sous de vastes monts, / le dieu tient enchaînés dans leurs gouffres profonds / les vents tumultueux, les tempêtes bruyantes.
" Mais vous, quelle tempête ou quelle erreur nouvelle / vous porta de si loin sur ces bords étrangers ? "
S'agitant de fureur dans leurs prisons tremblantes, / ils luttent en grondant, ils s'indignent du frein. / Au haut de son rocher, assis le sceptre en main, / Éole leur commande ; il maîtrise, il tempère / du peuple impétueux l'indocile colère : / s'ils n'étaient retenus, soudain cieux, terre, mers, / devant eux rouleraient emportés dans les airs.
Ils partent : l'aquilon gonfle, en sifflant, leurs voiles ; / au gré du souffle heureux qui frémit dans leurs toiles, / ils fendent de la mer les bruyants tourbillons, / et la proue en fuyant laisse au loin ses sillons.
" Son empire est au fond de vos roches profondes : / qu'il y tienne sa cour, et, roi de vos cachots, / que votre Éole apprenne à respecter mes flots. "
Neptune, offensé de ce qu’on a pu exciter sans ses ordres une tempête dans ses états, vient l’apaiser, et renvoie les vents dans leurs prisons.
Palinure à l'instant, en ce péril nouveau, / vers la gauche a poussé son rapide vaisseau ; / et la voile et les vents secondant son audace, / la flotte obéissante a volé sur sa trace. / À la voix de mon père un effroi courageux / anime tous les cœurs : de ces bords orageux / nous fuyons à l'envi l'éternelle tempête.
Aussitôt, appelant Eurus et le Zéphyre, / " Eh quoi ! sans mon aveu, quoi ! dans mon propre empire, / d'une race rebelle enfants audacieux, / vents, vous osez troubler et la terre et les cieux ! "
" Ici nous ignorons dans quel climat nous sommes ; / ici nous ignorons et les lieux et les hommes : / des honneurs solennels vous paîront vos bienfaits. "
Il dit ; et, du revers de son sceptre divin, / du mont frappe les flancs : ils s'ouvrent, et soudain / en tourbillons bruyants l'essaim fougueux s'élance, / trouble l'air, sur les eaux fond avec violence.
" Enfin du mont Ida le bois religieux, / là nous attend le sort, là nous guident les dieux. / Mais apaisons d'abord les puissances de l'onde ; / et, si le vent nous sert, si le ciel nos seconde, / trois jours nous porteront sur ces bords désirés. "
" Dans ces extrémités, incertains que résoudre, / tremblants, nous envoyons interroger Délos, / et le trépied fatal nous répond en ces mots : / " Par le sang d'une vierge offerte en sacrifice, / la Grèce à son départ obtint un vent propice : / il faut encor du sang ; et d'un Grec à son tour, / la mort doit de sa flotte acheter le retour... "
Tels, quand des vents rivaux les fières légions / se disputent de l'air les vastes régions, / le rapide Zéphyr, l'Autan plus prompt encore, / l'Eurus, fier de monter les coursiers de l'Aurore, / ébranlent les forêts, troublent la paix des airs, / et Neptune en courroux bouleverse les mers.
" Souffrez qu'en vos forêts notre triste naufrage / retrouve les secours que nous ravit l'orage. / Si le pieux Énée à nos vœux est rendu, / si dans les champs latins son peuple est attendu, / vers ces bords désirés nous suivrons notre course. "
Anchise prend un vase orné d'une guirlande ; / et, joignant la prière à sa liquide offrande, / debout sur le tillac, s'écrie : " O dieu des flots ! / Vous qui leur commandez le trouble et le repos, / et vous, dieux du rivage, écoutez ma prière : / " Dieux puissants, nous touchons au bout de la carrière : / encore un vent propice, encore un souffle heureux. "
" Évite ce malheur. En vain de ton départ / les tiens impatients accusent le retard ; / en vain le vent t'appelle, en vain le temps te presse ; / toi-même va trouver, consulter la prêtresse ; / qu'elle-même te parle, et de ses rocs profonds / laisse échapper pour toi ses prophétiques sons, "
Cependant du héros, tandis que tout sommeille, / mille soins inquiets ont prolongé la veille. / Le jour naissant à peine a blanchi les coteaux, / il sort, va visiter ces rivages nouveaux : / sont-ils peuplés d'humains ou de monstres sauvages ?
Une île est dans les mers, qu'un golfe étroit sépare / des hauteurs de Mycone et des rocs de Gyare, / délices de Thétis, chère au dieu du trident : / longtemps elle flotta sur l'abîme grondant ; / enfin, du dieu du jour la main reconnaissante / fixa de son berceau la destinée errante ; / et l'heureuse Délos, dans un profond repos, / défia le caprice des vents et des flots.
Mais les heures déjà dans le silence et l'ombre / au milieu de sa course ont guidé la nuit sombre : / Palinure s'éveille et consulte les mers ; / il écoute les vents, interroge les airs ; / des astres de la nuit il observe la course ; / cherche d'un œil savant les Hyades et l'Ourse, / du Bouvier paresseux l'astre resplendissant, / et l'Orion armé d'un or éblouissant.
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "