Examples of using "Destino" in a sentence and their french translations:
C’est le destin.
J'ai découvert mon destin.
Je crois au destin.
- C'est ton destin.
- C'est ta destinée.
- C'est ton sort.
- C'est votre sort.
- C'est votre destinée.
- C'est votre destin.
pleurer à son sort
C'est notre destin.
Peut-être est-ce le destin.
Je ne crois pas au destin.
Quelle est notre destination ?
Ne provoque pas le destin.
- Tu as atteint ta destination.
- Vous avez atteint votre destination.
- Tu tiens mon sort entre tes mains.
- Mon sort est entre tes mains.
- Mon sort est entre vos mains.
- Nous avons finalement atteint notre destination.
- Nous atteignîmes enfin notre but.
C'est notre destin.
Le destin m'a souri.
- C'est mon destin.
- C'est ma destinée.
- C'est mon sort.
- C'est ton destin.
- C'est ta destinée.
Rien ne justifie son tragique destin.
Je crois au destin, mais je sais aussi que le destin peut être changé.
Notre destin dépend de nos décisions.
leur sort était le même
Le destin est parfois cruel.
- Quelle est votre ultime destination ?
- Quelle est votre destination finale ?
On ne peut fuir son destin.
On ne peut pas échapper au destin.
Nul ne peut fuir son destin.
Nul ne peut échapper à son destin.
Tu ne peux pas fuir ton destin.
Tu es le maître de ton propre destin.
Le destin mêle les cartes et nous jouons.
Rien ne désunit un couple lié par le sort.
Je suis le destin qui m'est imposé.
Je suis le destin qui m'est imposé.
- Tu ne peux pas échapper à ton destin.
- Vous ne pouvez pas échapper à votre destin.
- Il te faut choisir ton propre destin.
- Il te faut choisir ta propre destinée.
- Il vous faut choisir votre propre destin.
- Il vous faut choisir votre propre destinée.
C'est le sort d'un héros d'être persécuté.
On ne peut pas échapper à son destin.
- Je place mon destin entre tes belles mains.
- Je place mon destin entre vos belles mains.
La destinée de Rome était de conquérir le monde.
C'est un parfait exemple de destin cruel.
Le destin mêle les cartes et nous jouons.
La vie est un voyage et non une destination.
Toute personne qui cherche à contrôler sa destinée ne trouvera jamais la paix.
En déclencher un seul a suffi pour que le sort de ce cafard soit scellé.
Devenir enseignant est mon but et ma vocation.
Cruel est mon destin et bien tristes mes jours.
La mort est le destin de chacun.
Je viens de prendre connaissance du destin tragique d'Hypatie.
l'idée selon laquelle nous sommes le capitaine de notre destin
Le film relate le destin tragique des esclaves au XVIIIe siècle.
Mme Harris est très réservée sur l'avenir de son fils.
Un navire cargo, à destination d'Athènes, a sombré en Méditerranée sans laisser de trace.
Mademoiselle, combien doit-on coller de timbres pour cette lettre à destination de San-Francisco ?
Le destin décide qui entrera dans ta vie, mais c'est toi qui décides qui y restera.
J'approche tout doucement du moment où les philosophes et les imbéciles ont la même destinée.
Je ne crois pas à un destin qui échoit à quelqu'un, quoi qu'il fasse. Mais je crois à un destin qui lui échoit s'il ne fait rien.
" Mais vous, quelle tempête ou quelle erreur nouvelle / vous porta de si loin sur ces bords étrangers ? "
Je chante les combats et ce guerrier pieux / qui, banni par le sort des champs de ses aïeux, / et des bords phrygiens conduit dans l'Ausonie, / aborda le premier aux champs de Lavinie.
Ne luttons pas contre le destin. Il vaut mieux que nous lui permettions de nous prendre par les cheveux et de nous traîner là où il souhaite nous élever ou nous rabaisser.
" Reconnais à mon sort les célestes décrets. / C'en est fait ; du destin la volonté jalouse / ne t'a point pour compagne accordé ton épouse. "
Aux plus lointains climats, sur les plaines de l'onde, / tous prêts d'accompagner ma course vagabonde.
" Comme vous fugitive, / comme vous exilée, enfin sur cette rive / j'ai trouvé le repos ; partagez sa douceur : / malheureuse, j'appris à plaindre le malheur. "
Surtout le tendre Énée est touché de leur sort : / au fidèle Gyas, aux valeureux Cloanthe / prodigue ses regrets et sa douleur touchante ; / tantôt il s'attendrit sur le sort de Lycus, / et tantôt de ses pleurs honore Caïcus.
C'est là qu'étaient ses armes, / c'est là qu'était son char ; là, son superbe espoir / veut voir la terre entière adorer son pouvoir.
Nous hâtons à regret ce départ douloureux ; / je leur dis en pleurant : " Adieu, vivez heureux ! / Vous ne redoutez plus la fortune inconstante ; / et nous, tristes jouets d'une si longue attente, / le sort de mer en mer nous promène à son gré. "
"Pars, emmène les tiens de ces funestes lieux, / du triomphe des Grecs épargne-leur l'insulte : / Ilion te remet le dépôt de leur culte. / Cherche-leur un asile, et qu'au-delà des mers / leur nouvelle cité commande à l'univers ! "
Ainsi dans son refus il demeure obstiné ; / vainement de nos pleurs il est environné ; / vainement mon épouse, et mon fils, et moi-même, / le conjurons, pour lui, pour ses enfants qu'il aime, / de ne pas achever de déchirer nos cœurs, / et de n'aggraver pas le poids de nos malheurs.
" Non, je ne change point ; mes volontés suprêmes, / ma fille, en tous les temps demeureront les mêmes. / Vous verrez s'élever ces remparts tant promis ; / dans le palais des cieux vous verrez votre fils. "
" Berceau de nos aïeux, ces lieux nous redemandent : / la déesse ma mère et les dieux le commandent. "
" Les Troyens aveuglés vainement l'entendirent. / Sans cet aveuglement, sans le courroux des dieux, / dans les flancs entr'ouverts du colosse odieux / nous aurions étouffé les fléaux près d'éclore ; / et toi, chère Ilion, je te verrais encore ! "
" O mon fils, que poursuit l'affreux destin de Troie ! / Cassandre, et mon esprit s'en souvient avec joie, / Cassandre, me dit-il, par des avis certains / m'a cent fois de ma race annoncé les destins, / et les champs d'Italus, et les bords d'Hespérie. "
" À travers les écueils, le courroux de la mer, / nous cherchons les beaux lieux promis par Jupiter : / là nous attend la paix ; là nos yeux avec joie / verront se relever les murailles de Troie. / Vivez, conservez-vous pour les jours du bonheur. "
"S'il vit, si quelque dieu veille à sa destinée, / c'est assez : notre espoir va renaître avec lui. / Et vous, dont nos malheurs sollicitent l'appui, / si vous nous protégez contre la violence, / je connais sa justice et sa reconnaissance : / croyez que ces états s'applaudiront un jour / d'avoir par des bienfaits provoqué son amour. "
Le sort de Laocoon, qui avait lancé une javeline contre les flancs du cheval, et que deux serpents dévorent avec ses deux enfants, en présence de tout le peuple troyen, achève de persuader que ce cheval est un monument religieux.
Déjà l'Ida s'éclaire, et de l'astre du jour / l'étoile du matin annonce le retour ; / les Grecs de toutes parts ont investi les portes. / " C'en est fait, m'écriai-je : ô Destin ! tu l'emportes. " / Je pars, reprends mon père, et, guidé par les dieux, / transporte sur l'Ida ce fardeau précieux.
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
Mais un bruit menaçant vient alarmer son âme : / un jour doit s'élever, des cendres de Pergame, / un peuple, de sa ville orgueilleux destructeur, / et du monde conquis vaste dominateur : / du sort impérieux tel est l'ordre suprème.
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
" Hélas ! par cet espoir j'aimais à me venger ; / à nos malheurs passés j'opposais cette joie, / et Rome adoucissait les désastres de Troie : / chaque jour cependant reproduit nos malheurs. / Grand roi ! quand mettrez-vous un terme à nos douleurs ? "
" Là s'adressaient nos pas, lorsqu'un astre funeste, / déchaînant la tempête, et courrouçant les eaux, / parmi d'affreux rochers a jeté nos vaisseaux ; / et de nos compagnons échappés au naufrage / à peine un petit nombre a gagné le rivage. "
Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée / marqua par cent malheurs sa mort infortunée, / il périt, en voyant de ses derniers regards / brûler son Ilion et tomber ses remparts. / Ce potentat, jadis si grand, si vénérable, / n'est plus qu'un tronc sanglant, qu'un débris déplorable, / dans la foule des morts tristement confondu, / hélas ! et sans honneur sur le sable étendu.
" Mais, pour mieux vous calmer, je veux de votre Énée / suivre dans tout son cours la haute destinée. / De ce fils, votre amour, cent combats glorieux / signaleront bientôt le bras victorieux. / Vainqueur de l'Ausonie, à ses peuples dociles / il donnera des mœurs, et des lois, et des villes. / Là, tandis que l'état fleurira sous ses lois, / le printemps aux frimas succédera trois fois. "
" Rebutés par dix ans de batailles, / las de languir sans fruit au pied de nos murailles, / las de voir par le sort leurs assauts repoussés, / les Grecs, courbant des ais avec art enchâssés, / d'un cheval monstrueux en forment l'édifice : / Pallas leur inspira ce fatal artifice. / C'est un vœu, disaient-ils, pour un retour heureux. "
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "