Examples of using "Costa" in a sentence and their french translations:
large des côtes de Northumbrie.
Je suis de la côte Est.
Je suis de la côte Ouest.
Je dois vite atteindre la rive.
Ils ont navigué le long de la côte occidentale de l'Afrique.
et il pourrait y avoir à manger le long de la côte.
Il y en a plein tout le long de la côte.
Ma ville se trouve à quelques kilomètres de la côte.
Venez avec moi sur la côte sud de la France !
J'escalade la falaise ou je longe la falaise le long de la côte ?
Sur la côte, les changements de marée peuvent être immenses.
pillards apparaissent sans avertissement au large de la côte est de l'Angleterre.
L'île se situe à un mille de la côte.
Mais la marée haute a attiré des périls plus grands encore sur le rivage.
Cette ville est à deux milles de la côte.
Sur la côte britannique, une crevette de 4 cm est piégée.
Plus du tiers de la population mondiale vit près d'une côte.
- Plus du tiers de la population mondiale vit à proximité d'une côte.
- Plus du tiers de la population mondiale vit près d'une côte.
Je dois vite atteindre la rive. Cette aventure ne fait que commencer.
migrent sur 5 000 km sur la côte ouest de l'Amérique.
Au large de l'Alaska, les saumons remontent la rivière vers leur frayère.
Résigné, je me dirigeais vers le rivage. J'ai été attiré par quelque chose sur ma gauche.
Le vent du nord fait rage, fouettant vague après vague le rivage rocheux.
Mes souvenirs d'enfance sont dominés par la côte rocheuse, l'estran et la forêt de kelp.
Les premières images d'un calmar géant ont été prises en 2012 au large des côtes japonaises.
Selon les sagas du vieux norrois, ils avaient une base fortifiée sur la côte baltique, à Jomsborg.
Des Troyens cependant, fatigués par l'orage, / les cris impatients appellent le rivage, / et pour gagner la rive ils redoublent d'efforts.
Cependant le vent tombe et meurt avec le jour. / Des Cyclopes cruels j'aborde le séjour : / je l'ignorais.
"Enfin, je ne veux rien perdre de votre gloire : / reprenez de plus haut cette importante histoire ; / contez-moi d'Ilion les terribles assauts, / et les pièges des Grecs, et leurs mille vaisseaux, / et vos longues erreurs sur la terre et sur l'onde ; / car le soleil sept fois a fait le tour du monde, / depuis que, poursuivi par un sort odieux, / votre noble infortune a fatigué les dieux. "
Là il reçoit sur son bord un malheureux Grec de la suite d'Ulysse, nommé Acheménide, qui était resté sur cette côte abandonné par ses compagnons.
Une île est dans les mers, qu'un golfe étroit sépare / des hauteurs de Mycone et des rocs de Gyare, / délices de Thétis, chère au dieu du trident : / longtemps elle flotta sur l'abîme grondant ; / enfin, du dieu du jour la main reconnaissante / fixa de son berceau la destinée errante ; / et l'heureuse Délos, dans un profond repos, / défia le caprice des vents et des flots.
Pour animer la joie, il ajoute au festin / un doux nectar mûri par un soleil fertile, / qu'au départ leur donna le bon roi de Sicile. / Déjà leurs maux cédaient à la douce liqueur ; / il y joint ce discours, plus puissant sur leur cœur:
D'autres gagnent la mer, et d'une course agile / volent à leurs vaisseaux demander un asile, / ou vers l'affreux cheval courent épouvantés, / et rentrent dans les flancs qui les avaient portés.
Si les efforts des Portugais n'avaient point réussi, il est assez probable que nous serions restés les maîtres d'une portion de la côte; plus tard nous aurions sans doute découvert les mines de l'intérieur.
" Une île, Ténédos est son antique nom, / s'élève au sein des mers, à l'aspect d'Ilion. / Avant nos longs malheurs, qui sont tombés sur elle, / son port fut florissant ; mais sa rade infidèle / n'offre plus qu'un abri peu propice au nocher. / Là, sur des bords déserts les Grecs vont se cacher. "
Énée sort du nuage et paraît tout à coup ; il adresse son compliment à la reine, qui lui fait une réception très favorable, et se hâte d’envoyer des provisions de toute espèce à ses compagnons restés sur le rivage.
Tout à coup de l'Etna je vois de loin la cime ; / de la profonde mer j'entends gronder l'abîme ; / j'entends le bruit lointain des rochers écumants, / et de l'onde en courroux les longs mugissements. / Avec le noir limon de ses grottes profondes / je vois monter, tomber, et remonter les ondes.
On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "