Translation of "Traits" in Portuguese

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Examples of using "Traits" in a sentence and their portuguese translations:

Nous avions tant de traits en commun.

Nós tínhamos muito em comum.

La Chine a des traits caractéristiques chinois.

A China tem características chinesas.

Le Japon a de nombreux traits très distinctifs.

O Japão tem muitas características distintas.

Système de reconnaissance. Lorsque vous voyez quelqu'un, votre esprit traite les traits

sistema de reconhecimento. Você vê alguém com seus olhos, sua mente processa os recursos de

À force de voir des émoticônes partout, je perds l'habitude de chercher des traits d'humour dans les textes eux-mêmes.

Depois de ver tantos emoticons em todo lugar, estou perdendo o costume de procurar traços de humor nos próprios textos.

Il s'arrête à leur vue, il saisit à l'instant / et son arc, et ses traits qui sifflent en partant. / Leurs chefs, qu'enorgueillit une ramure altière, / déjà percés de traits roulent sur la poussière ; / puis il poursuit la troupe à travers la forêt ; / sa main lance à chacun l'inévitable trait.

Detém-se, apanha as armas – o arco e as flechas / velozes – que trazia o fiel Acates. / Em primeiro lugar, os próprios guias, / que orgulhosos entonam as cabeças, / de arbóreos chifres adornadas, ele abate; / depois cuida dos outros, perseguindo / com seus disparos a manada inteira, / que foge em confusão pela frondosa mata.

" Et toi, pour cette nuit, quittant tes traits divins, / enfant ainsi que lui, prends ses traits enfantins ; / et lorsque, dans le feu d'une fête brillante, / qu'échauffera du vin la vapeur enivrante, / Didon va t'imprimer des baisers pleins d'ardeur, / mon fils, glisse en secret ton poison dans son cœur. "

"Por uma noite só, não mais, toma a figura / e os gestos do menino, que conheces / e, sendo tu também menino, saberás / facilmente imitar; e quando Dido / arrebatada de alegria te tomar / no colo, em meio ao fausto do festim / e às libações a Baco oferecidas, / e te abraçar e te cobrir de doces beijos, / dissimuladamente a paixão lhe bafeja / e no sangue lhe instila o teu veneno”.

Mais nos concitoyens, / sous les armes des Grecs ignorant les Troyens, / du temple de Pallas lancent sur notre tête / d'une grêle de traits l'effroyable tempête.

Logo, porém, do alto do templo, verdadeira / chuva de dardos disparados pelos nossos / cai sobre nós, causando triste morticínio, / tudo devido às armas e penachos / gregos, que nos serviam de disfarce.

Sans cesse l'on attaque, on repousse sans cesse ; / d'un côté la Phrygie, et de l'autre la Grèce, / font voler, font pleuvoir les pierres et les traits.

Mas outras vão surgindo, e a tempestade / de pedras e de tudo o que nos era / dado atirar não cessa.

Tous sur des lits brodés, admirent tour à tour / l'air, le regard brillant, les traits du faux Ascagne, / sa douce voix, ses dons que la grâce accompagne.

Todos admiram muito os presentes de Eneias, / e mais ainda a formosura do menino – / o olhar radiante, as róseas faces, qual de um deus, / e a doçura que tem na voz (de imitação); / elogiam bastante o manto primoroso / e o véu bordado a ouro em toda a orla / com motivos artísticos de acanto.

À l'abri des rochers, et sous de noirs ombrages, / il laisse ses vaisseaux ; et, deux traits à la main, / suivi du seul Achate, il se fraie un chemin.

Na arborizada enseada esconde a frota, / junto de uma caverna, sob as sombras / longas e densas da frondosa mata. / Põe-se a caminho, acompanhado por Acates / apenas e empunhando um par de dardos / em largas lâminas de ferro terminados.

" Calchas veut qu'aussitôt la voile se déploie : / tous nos traits impuissants s'émousseront sur Troie, / si, dans les murs d'Argos revolant sur les eaux, / les Grecs ne vont chercher des augures nouveaux. "

"Logo em seguida, Calcas anuncia / que é preciso empreender a retirada / pelo mar, porque Pérgamo não pode / ser arrasada pelas armas dos argivos, / a menos que se vá buscar à Grécia / novos auspícios e o favor de Palas, / nas curvas quilhas o paládio lhe levando."

De l'éclat de ses traits Didon reste frappée ; / de ses malheurs, de lui son âme est occupée. / "O noble sang des dieux, que je plains vos revers ! / dit elle. Quel destin vous jette en ces déserts ? "

Pasmada tanto da presença quanto / das grandes desventuras de tal homem, / a rainha fenícia assim lhe fala: / “Que maus fados, ó sangue de uma deusa, / entre perigos tão terríveis te perseguem? / Que força te arremessa a tão bravias plagas?"

Fixé sur ces tableaux, qu'il contemple à loisir, / le héros s'enivrait d'un douloureux plaisir : / soudain Didon paraît. Appui de sa couronne, / de ses jeunes guerriers l'élite l'environne ; / la grâce dans ses traits est jointe à la fierté.

Enquanto o herói dardânio, inteiramente absorto, / maravilhado esses painéis contempla, / Dido, a rainha, de beleza deslumbrante, / com grande escolta de guerreiros chega ao templo.

On voit le long des murs les échelles dressées ; / sur les degrés sanglants les cohortes pressées, / aux fronts des chapiteaux, aux sommets des piliers, / montent ; et, d'une main tenant leurs boucliers, / des traits retentissants repoussent la tempête ; / de l'autre, du palais ils saisissent le faîte.

Encostam no alto das paredes, / de ambos os lados da soleira, escadas, / que vão logo trepando. Enquanto o escudo, / ao braço esquerdo preso, os projéteis apara, / a mão direita estende-se buscando / agarrar os degraus mais elevados.

Elle dit : le nectar coule en l'honneur des dieux. / Didon au même instant de ses lèvres l'effleure ; / Bitias le reçoit ; on l'excite, et, sur l'heure / s'abreuvant à longs traits du nectar écumant, / la coupe aux larges bords est vide en un moment. / Le vase d'or circule, avec lui l'allégresse.

Sobre a mesa ela verte as primícias do vinho, / e tendo feito, assim, a libação dos deuses, / só com a ponta dos lábios toca a borda / da taça, que em seguida entrega a Bítias, / irônica exortando-o a beber; / sem perder um segundo ele mergulha / na pátera espumante o rosto e sorve / sofregamente o conteúdo até enxergar / o ouro no fundo; os outros próceres completam / a rodada.

Leurs traits sont d'une vierge ; un instinct dévorant / de leur rapace essaim conduit le vol errant ; / une horrible maigreur creuse leurs flancs avides, / surchargés d'aliments, sans en être nourris, / en un fluide infect en rendent les débris, / et de l'écoulement de cette lie impure / empoisonnent les airs, et souillent la verdure.

Essas aves / com rosto de mulher têm mãos aduncas, / fétido e frouxo ventre e a lividez / de eternas esfaimadas.

Je marche vers ces lieux ; mais son œil de plus près / à peine eut reconnu mon visage, mes traits, / distingué mes habits et mes armes troyennes, / elle tombe : son sang s'est glacé dans ses veines. / Elle reste longtemps sans force et sans couleur ; / mais enfin, rappelant un reste de chaleur :

Quando me vê chegar acompanhado / de guerreiros troianos, toma um susto / tão grande, que desmaia, o calor lhe fugindo / de todo o corpo; só depois de muito tempo / consegue recobrar-se e me dizer:

À ces mots je m'éloigne, en retournant les yeux / vers ces murs fraternels, cette terre chérie, / et vais sur l'onde encor poursuivre une patrie. / Nous côtoyons d'abord ces sommets escarpés / que les traits de la foudre ont si souvent frappés ; / de là, vers l'Italie un court trajet nous mène. / Le jour tombe ; et la nuit, de son trône d'ébène, / jette son crêpe obscur sur les monts, sur les flots.

Fazemo-nos à vela e vamos à vizinha / Acroceráunia, de onde ficam muito curtas / a rota e a travessia para a Itália. / Já o sol se põe e a sombra cobre a serrania.

La reine cependant par cent et cent discours / de la rapide nuit veut prolonger le cours : / s'enivrant à longs traits d'un poison qu'elle adore, / elle interroge Énée, et l'interroge encore. / Elle trouve du charme à ses moindres récits ; / et, quand Priam, Hector, Andromaque et son fils, / ont fait couler ses pleurs, quand son âme étonnée, / en connaissant Achille, a frémi pour Énée, / des guerriers moins fameux veut connaître le nom, les coursiers de Rhésus, / les troupes de Memnon.

E noite adentro Dido se entretinha / em compridas conversas com Eneias, / bebendo sem saber, a desditosa, / gota a gota o veneno da paixão. / A respeito de Príamo e de Heitor / fazia mil perguntas, indagava / com quais armas Memnon, filho da Aurora, / combatera; que tais os corcéis de Diomedes / e qual era de Aquiles a estatura.

Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.

Na claridade, Eneias aparece, / qual um deus no semblante e na postura; / com seu sopro divino, a genitora / dera ao filho formosa cabeleira, / da juventude o róseo viço e a sedutora / graça que de seus olhos se irradiava: / qual pelas mãos do artista se realça / do marfim a beleza, ou quando em rútilo ouro / se engasta a prata ou o mármore de Paros.

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”