Translation of "Flancs" in Portuguese

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Examples of using "Flancs" in a sentence and their portuguese translations:

Les flancs de Napoléon étaient sécurisés, pour l'instant.

Os flancos de Napoleão estavam seguros, por enquanto.

Parmi ses nombreuses préoccupations croissantes figurait la sécurité de ses longs flancs exposés.

Uma suas montantes preocupações era a segurança de seus longos flancos expostos.

Sinon va ouvrir les flancs du cheval, et en fait sortir les guerriers qu'il recelait.

Sinon então abre os flancos do cavalo, franqueando a saída aos guerreiros que ali se escondiam.

" On le croit. Cependant, en ses flancs ténébreux / ils cachent des guerriers, et de ses antres sombres / une élite intrépide ose habiter les ombres. "

"Homens de escol sorteados dentre os mais / valentes e robustos são levados / furtivamente para dentro do colosso, / e todas as sombrias cavidades / daquele imenso ventre ficam cheias / de guerreiros armados até os dentes."

D'autres gagnent la mer, et d'une course agile / volent à leurs vaisseaux demander un asile, / ou vers l'affreux cheval courent épouvantés, / et rentrent dans les flancs qui les avaient portés.

Mas fogem muitos em desordem: para a costa, / buscando em disparada a segurança / de seus navios; ou, covardes miseráveis, / de novo se escondendo nas entranhas / bem conhecidas do gigante equino.

Il dit ; et, du revers de son sceptre divin, / du mont frappe les flancs : ils s'ouvrent, et soudain / en tourbillons bruyants l'essaim fougueux s'élance, / trouble l'air, sur les eaux fond avec violence.

Assim falando, volta a sua lança / na direção do cavo monte e empurra / a parede rochosa, e logo os ventos, / qual cerrado esquadrão, se precipitam / pela passagem que lhes é aberta / e em turbilhões as terras vão varrendo.

" Les Troyens aveuglés vainement l'entendirent. / Sans cet aveuglement, sans le courroux des dieux, / dans les flancs entr'ouverts du colosse odieux / nous aurions étouffé les fléaux près d'éclore ; / et toi, chère Ilion, je te verrais encore ! "

"E não fora o destino tão adverso / e o desvario que de todos se apossava, / Laocoonte nos teria convencido / a traspassar dos gregos o covil; / e estarias de pé, ó Troia, e te salvaras, / de Príamo ó soberba cidadela!"

Le sort de Laocoon, qui avait lancé une javeline contre les flancs du cheval, et que deux serpents dévorent avec ses deux enfants, en présence de tout le peuple troyen, achève de persuader que ce cheval est un monument religieux.

O destino de Laocoonte, que, tendo arremessado um dardo contra os flancos do cavalo, foi, com seus dois filhos, devorado por duas serpentes na presença de todo o povo troiano, acaba de levar este à persuasão de que aquele cavalo era um monumento religioso.

Des rideaux verdoyants de lianes dérobaient à la vue les flancs bruns des rochers voisins. Il s’élevait de tous les points de ce sol vierge un parfum primitif comme celui que devait respirer le premier homme sur les premières roses de l’Eden.

Verdejantes cortinas de lianas ocultavam os flancos castanhos dos rochedos vizinhos. Desprendia-se de todos os pontos daquele solo virgem um perfume primitivo qual o que deve ter aspirado o primeiro homem ao colher as primeiras rosas do Éden.

" Ce monstre d'une vierge a le sein ravissant ; / son visage est d'un homme ; à sa figure humaine / se joint le vaste corps d'une lourde baleine ; / ses flancs sont ceux d'un loup ; et de ce monstre, enfin, / la queue en s'allongeant se termine en dauphin. "

"Ela tem de um ser humano / o rosto, o colo e um belo torso de mulher, / mas a parte inferior disforme de seu corpo / termina em cauda de golfinho ou de baleia."

Leurs traits sont d'une vierge ; un instinct dévorant / de leur rapace essaim conduit le vol errant ; / une horrible maigreur creuse leurs flancs avides, / surchargés d'aliments, sans en être nourris, / en un fluide infect en rendent les débris, / et de l'écoulement de cette lie impure / empoisonnent les airs, et souillent la verdure.

Essas aves / com rosto de mulher têm mãos aduncas, / fétido e frouxo ventre e a lividez / de eternas esfaimadas.

" Sinon vainqueur insulte aux désastres de Troie. / Triomphant au milieu de nos murs enflammés, / un monstre affreux vomit des bataillons armés : / et, tandis que ses flancs enfantent leurs cohortes, / des milliers d'ennemis, se pressant sous nos portes, / fondent sur nos remparts à flots plus débordés / qu'ils n'ont jamais paru dans nos champs inondés. "

"No coração da cidadela estacionado, / o monstro equino sem parar despeja / homens armados, e Sinon, por toda a parte, / vencedor zombeteiro, ateia incêndios. / Milhares entram pelas portas bipatentes / (jamais da grã Micenas vieram tantos)."

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”