Examples of using "Amid" in a sentence and their french translations:
Je dis, on obéit : nos lances détachées / sous des gazons épais avec soin sont cachées.
Au milieu du massacre de Borodino, Ney a mené son corps en attaque après attaque sur les terrassements
À peine il aperçoit ces soldats inhumains, / une horrible fureur de Corèbe s'empare ; / il s'élance au milieu de la foule barbare.
J'entends tonner les coups de leur main foudroyante ; / tout tombe : je crois voir, de son faîte orgueilleux, / Ilion tout entier s'écrouler dans les feux.
Quand je mourrai, enterrez-moi au milieu de nos plaines, sur un tertre au milieu des steppes de ma si douce Ukraine.
" Une île est au milieu des ondes écumeuses, / fière d'un sol fécond, de cent villes fameuses, / berceau de nos aïeux et du grand Jupiter. "
Le cou dressé, levant une crête sanglante, / de leur tête orgueilleuse ils dominent les eaux ; / le reste au loin se traîne en immenses anneaux.
Vers la gauche, à ces mots, éclate le tonnerre ; / et, des voûtes des cieux s'élançant vers la terre, / un astre dans la nuit traînant de longs éclairs / semble sur le palais tomber du haut des airs.
Une île est dans les mers, qu'un golfe étroit sépare / des hauteurs de Mycone et des rocs de Gyare, / délices de Thétis, chère au dieu du trident : / longtemps elle flotta sur l'abîme grondant ; / enfin, du dieu du jour la main reconnaissante / fixa de son berceau la destinée errante ; / et l'heureuse Délos, dans un profond repos, / défia le caprice des vents et des flots.
" Seul, désarmé, d'abord sur cette foule immense / son timide regard se promène en silence ; / tout à coup il s'écrie : " O sort ! ô désespoir ! / Quelles mers, quels pays voudront me recevoir ? / La Grèce me poursuit, et, par ma mort certaine, / les Troyens furieux vont assouvir leur haine ! " "
Il dit : et la fureur enflamme mes esprits ; / je m'élance à travers le feu, le sang, les cris, / partout où la vengeance, où mon aveugle rage / et d'horribles clameurs appellent mon courage.
" Qu'as-tu fait de ton père appesanti par l'âge, / d'une épouse, d'un fils, entourés de carnage, / entourés d'ennemis, et qui, sans mon secours, / par la flamme ou le fer auraient fini leurs jours ? "
" Et toi, pour cette nuit, quittant tes traits divins, / enfant ainsi que lui, prends ses traits enfantins ; / et lorsque, dans le feu d'une fête brillante, / qu'échauffera du vin la vapeur enivrante, / Didon va t'imprimer des baisers pleins d'ardeur, / mon fils, glisse en secret ton poison dans son cœur. "
Ce peu de mots à peine a redoublé leur rage ; / soudain, tels que dans l'ombre, avides de ravage, / court de loups dévorants un affreux bataillon, / qu'irrite de la faim le pressant aiguillon, / et que les fruits affreux de leur amour sauvage / attendent dans la nuit, altérés de carnage ; / au centre de la ville, au plus fort des combats, / nous volons à la gloire, ou plutôt au trépas. / Sur nous la nuit étend ses ailes ténébreuses.