Examples of using "Raça" in a sentence and their french translations:
Cette race de chat n'a pas de queue.
il a dit que nous étions tous, sans distinction de race,
Les bombes atomiques sont un danger pour la race humaine.
Cette entreprise embauche des gens sans se préoccuper de race, de religion ou de nationalité.
Cette alliance, établie entre moi et entre toi et ta postérité dernière, je l’érigerai en alliance perpétuelle, étant pour toi un Dieu comme pour ta postérité après toi.
" Là du grand Dardanus la race a pris naissance : / où fut votre berceau, sera votre puissance. "
Dieu dit à Abraham : Pour toi, sois fidèle à mon alliance, toi et ta postérité après toi dans tous les âges.
" De la vaste cité qui frappe vos regards / les enfants d'Agénor ont bâti les remparts ; / ces champs sont la Libye ; une race guerrière / contre ses ennemis en défend la frontière. "
Lorsqu'il portait ses dieux chez ces fameux Albains, / nobles fils d'Ilion, et pères des Romains, / créait du Latium la race triomphale, / et des vainqueurs des rois la ville impériale !
À l’âge de huit jours, que tout mâle, dans vos générations, soit circoncis par vous ; même l’enfant né dans ta maison, ou acheté à prix d’argent parmi les fils de l’étranger, qui ne sont pas de ta race.
Par un berger troyen sa beauté dédaignée, / l'odieux jugement qui fit rougir son front, / Hébé pour Ganymède essuyant un affront.
Le Seigneur répondit : Certes, Sara, ton épouse, te donnera un fils, et tu le nommeras Isaac. Je maintiendrai mon pacte avec lui, comme pacte perpétuel à l’égard de sa descendance.
" Une île est au milieu des ondes écumeuses, / fière d'un sol fécond, de cent villes fameuses, / berceau de nos aïeux et du grand Jupiter. "
Voici le pacte que vous observerez, qui est entre moi et vous, jusqu’à ta dernière postérité : circoncire tout mâle d’entre vous. Vous retrancherez la chair de votre excroissance, et ce sera un symbole d’alliance entre moi et vous.
Mais un bruit menaçant vient alarmer son âme : / un jour doit s'élever, des cendres de Pergame, / un peuple, de sa ville orgueilleux destructeur, / et du monde conquis vaste dominateur : / du sort impérieux tel est l'ordre suprème.
" Le perfide poursuit avec sécurité : / " Grand roi, vous apprendrez la simple vérité. / D'abord, je l'avourai, ma patrie est la Grèce : / de nier mon pays je n'ai point la faiblesse ; / le sort peut, sur Sinon déployant sa rigueur, / le rendre malheureux, mais non pas imposteur. " "
De la reine des nuits la course vagabonde, / et les feux éclipsés du grand astre du monde, / le pouvoir qui, créant l'homme et les animaux, / leur versa de la vie et les biens et les maux, / les orages, les feux, le char glacé de l'Ourse, / et les astres gémeaux qui conduisent sa course, / l'Hyade et ses torrents ; dit pourquoi des hivers / les jours si promptement se plongent dans les mers ; / d'où vient des nuits d'été la lenteur paresseuse. / Enfin, sur mille tons sa voix mélodieuse / chantait l'ordre des cieux et des astres divers ; / et sa noble harmonie imitait leurs concerts.
" Si le Tibre jamais me reçoit dans ses ports, / si ces murs tant promis s'élèvent sur ses bords, / unis par la naissance, unis par l'infortune, / nos maux seront communs, notre gloire commune. / Oui, nos peuples, heureux d'une longue union, / ne feront qu'un seul peuple et qu'un seul Ilion ; / et des fils d'Ausonie et des enfants d'Épire / même sang, même amour réuniront l'empire. / Puisse un esprit semblable animer nos neveux ! "