Examples of using "Daquela" in a sentence and their french translations:
J'aime cette idée.
J'aime cette chanson.
Avez-vous besoin de cette télévision?
pour la croissance de cette entreprise.
Je n'aime pas ce magasin.
- Je n'aime pas cette femme.
- Je n'apprécie pas cette femme.
Le son venait de cette direction.
Avez-vous besoin de cette maison chic?
- Je ne pouvais pas me rappeler le titre de cette chanson.
- Je ne pus me rappeler le titre de cette chanson.
- Je n'ai pas pu me rappeler le titre de cette chanson.
Il n'est jamais revenu de cette expédition.
Cette race de chat n'a pas de queue.
Attends-moi près de cet arbre.
Je connais quelques étudiants de cette école.
- Je ne pouvais pas me rappeler le titre de cette chanson.
- Je ne pus me rappeler le titre de cette chanson.
J'ai aimé cette chanson.
Nous avons oublié que tu as des amis de cette ville-là.
- Les membres de cette tribu se sont établis le long du fleuve.
- Les membres de cette tribu se sont installés le long de la rivière.
Le soleil brille sur les toits rouges de ce village.
La nourriture dans mon pays n'est pas très différente de celle de l'Espagne.
La nourriture dans mon pays n'est pas très différente de celle de l'Espagne.
- Peu importe si ça tourne mal, elle ne mourra pas de cette maladie.
- Mais quoi qu'il arrive, elle ne mourra pas de cette maladie.
Je pensais t'avoir dit de ne rien acheter dans ce magasin.
Bienheureuse celle qui se marie avec un fils dont la mère est morte.
Ainsi parla Didon : attentifs à ces mots, / bouillants d'impatience, Achate et le héros / brûlent de se montrer, de briser le nuage.
Nuit effroyable ! hélas ! de ces scènes affreuses / qui pourrait retracer les tragiques horreurs? / Quels yeux pour ce désastre auraient assez de pleurs?
Comprendre sa propre langue natale, parlée par des locuteurs avec des accents étrangers, est déjà parfois très difficile, mais comprendre une autre langue que sa langue natale, même quand on la maîtrise très bien, parlée par des locuteurs avec des accents étrangers à cette langue, c'est pratiquement impossible.
Ce grand prince, au milieu de ses fils moissonnés, / terminant sous le fer ses jours infortunés, / d'un père, comme lui, déjà glacé par l'âge / tout à coup réveilla l'attendrissante image : / de mon épouse en pleurs, de mon malheureux fils, / mon amour consterné croit entendre les cris.
Mais un bruit menaçant vient alarmer son âme : / un jour doit s'élever, des cendres de Pergame, / un peuple, de sa ville orgueilleux destructeur, / et du monde conquis vaste dominateur : / du sort impérieux tel est l'ordre suprème.