Examples of using "Adversário" in a sentence and their french translations:
Une tactique dangereuse. Son rival éliminé,
Le rival ajoute lui aussi une fioriture.
C'est un bon partenaire de tennis pour moi.
J'ai maté mon adversaire en employant mes deux tours.
et dissout son ennemi avec des enzymes digestives. Une contre-attaque réussie.
L'objectif des deux armées est d'emprisonner le roi de l'adversaire.
Une bonne stratégie offrira des opportunités de manœuvres tactiques capables d'affaiblir les défenses de l'adversaire.
Avec leurs chevaux attaquant et créant des menaces dans le champ de l'adversaire, l'armée en uniforme blanc a remporté la victoire.
Aux échecs, chaque armée effectue des manœuvres pour gagner des positions avantageuses sur le champ de bataille ou pour infliger des pertes matérielles à l'adversaire.
L'égalité est le résultat le plus fréquent des matchs fermés, dans lesquels chaque joueur cherche avant tout à restreindre les actions de l'adversaire.
Parfois, l'un des joueurs parvient à forcer l'adversaire à faire un mouvement qui lui fait perdre. On dit alors qu'il a mis l'adversaire en zugzwang.
La stratégie, c'est-à-dire le plan d'action, de l'armée en uniforme noir s'est avérée supérieure à celle de son adversaire, puisque c'est cette force armée qui a gagné la bataille.
Le gambit est une manœuvre d'ouverture dans laquelle on propose généralement un pion pour obtenir un avantage de position, pour briser la structure centrale de l'adversaire ou pour accélérer le développement des pièces.
Par le moyen d'une manœuvre astucieuse, l'armée en uniforme noir captura la dame de l'adversaire, et il se rendit, car sans sa figure la plus précieuse, il serait inutile de continuer à se battre. La bataille était perdue.
La prise « en passant » ne peut être effectuée que dans le mouvement immédiatement après celui où un pion tente de dépasser une case contrôlée par l'adversaire. Si cela ne se produit pas à ce moment-là, cela ne peut pas être fait par la suite.
La combinaison est une manœuvre tactique, généralement en une séquence de deux coups ou plus, qu'un joueur effectue en sacrifiant du matériel, souvent de manière spectaculaire, afin de mettre le roi de l'adversaire en échec ou de le mettre dans une situation irrémédiablement désavantageuse.
Si le joueur touche délibérément une de ses pièces, il doit la déplacer, à condition qu'il puisse effectuer un mouvement valide avec elle. S'il touche délibérément une pièce de l'adversaire, celle-ci doit être capturée, si la capture est légalement possible. Cette règle s'applique à toutes les compétitions d'échecs formelles. Les joueurs qui ont l'intention de ne pas respecter cette règle, lors de matchs amicaux, doivent en convenir à l'avance.
Les blancs : tour sur a1, pion sur b6, roi sur c8. Les noirs : pions sur a7 et b7, roi sur a8, fou sur b8. Les blancs mettent l'adversaire en zugzwang en jouant la tour en a6, après quoi les noirs n'ont que deux options : prendre la tour sur a6 ou déplacer leur fou vers n'importe quelle autre case de la diagonale b8-h2. Dans le premier cas, les blancs avancent leur pion de b6 à b7 et offrent échec et mat. Dans la seconde situation, la tour blanche prend le pion noir sur a7, avec le même résultat.