Translation of "D'hector" in Portuguese

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Examples of using "D'hector" in a sentence and their portuguese translations:

Un désir curieux de mon âme s'empare ; / je brûle d'admirer un destin si bizarre, / de voir, d'entretenir le successeur d'Hector.

Surpreso e desejando ardentemente / conversar com Heleno e saber tudo / sobre tão relevantes ocorrências, / afasto-me do porto, a praia e as naus deixando.

De là il se rend en Épire, où régnait Hélénus, fils de Priam, prêtre d' Apollon, et mari d'Andromaque veuve d'Hector.

De lá ele foi para o Epiro, onde reinava um filho de Príamo, Heleno, sacerdote de Apolo, e marido de Andrômaca, viúva de Heitor.

" Apprend-il à marcher sur les pas de son père ? / Vers ses hautes vertus prend-il déjà l'essor ? / Promet-il d'être un jour digne neveu d'Hector ? "

"Do pai Eneias e de Heitor, seu tio, / os exemplos por certo hão de inspirar-lhe / a alma viril e o brio de dardânio.”

" O vous, l'amour, l'espoir et l'orgueil des Troyens, / Hector, quel dieu vous rend à vos concitoyens ? / Que nous avons souffert de votre longue absence ! / Que nous avons d'Hector imploré la présence ! "

“Ó salvação de Troia, esperança mais firme / dos dardânios! Que obstáculos tamanhos / te detiveram, de onde vens, meu caro Heitor? / Em que estado te vemos, já cansados, / tua cidade e teus amigos, de perder / vidas sem conta e aturar tantas aflições! / Que ultraje indigno o belo rosto te estragou? / Que feridas são essas?”

" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "

"Ah, quanto a ti, que sorte / te coube após perder tão nobre esposo? / Será que te sorriu fortuna à altura / da Andrômaca de Heitor, ou inda estás com Pirro?”

Là, d'incroyables bruits, jusqu'à nous parvenus, / étonnent notre oreille : on nous dit qu'Hélénus, / enfant du dernier roi de la triste Pergame, / possède de Pyrrhus et le sceptre et la femme ; / qu'il commande à des Grecs, et qu'un dernier lien / met la veuve d'Hector dans les bras d'un Troyen.

Aos ouvidos nos chega uma notícia incrível: / que de Príamo um filho, Heleno, era senhor / daquelas terras gregas; sucedera / no tálamo e no trono ao neto de Éaco, / Pirro, Andrômaca tendo assim de novo / esposado um de seus compatriotas.

" Toi, fils d'Achille ! Non, il ne fut point ton père. / D'un ennemi vaincu respectant la misère, / le meurtrier d'Hector, dans son noble courroux, / ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, / et, pour rendre au tombeau des dépouilles si chères, / il me renvoya libre au palais de mes pères. "

"De outra maneira se houve o próprio Aquiles, / meu inimigo, que tua língua mentirosa / chama de pai: teve o pudor de respeitar-me / os direitos e a fé do suplicante; / ao cadáver de Heitor as honras do sepulcro / concedeu, permitindo-me voltar / em paz aos meus domínios.”

Derrière le palais il était une issue, / une porte des Grecs encore inaperçue ; / et deux chemins secrets de ces grands bâtiments / réunissaient entr'eux les longs compartiments. / En des temps plus heureux, c'était par cette porte / qu'Andromaque souvent, sans pompe, sans escorte, / se rendait vers Priam, et, plus souvent encor, / menait à ses aïeux le jeune fils d'Hector.

Uma porta traseira camuflada, / não vista pelos gregos, dava acesso / a um passadiço entre os dois prédios do palácio, / por onde costumava Andrômaca, a infeliz, / nos bons tempos sozinha transitar, / em visita a seus sogros, ou levando / o pequeno Astianaz ao caro avô.

Au milieu des horreurs de ce jour sanguinaire, / trop digne d'achever l'ouvrage de son père, / du meurtrier d'Hector le barbare héritier, / Pyrrhus vient, et déploie Achille tout entier : / il menace, il attaque ; à sa fureur extrême, / les barrières, les murs, et la garde elle-même, / tout cède. Le bélier tonne à coups redoublés. / Arrachée à grand bruit de ses gonds ébranlés, / enfin, la porte tombe.

Pirro arremete, tão violento quanto o pai: / nem barreiras nem guardas o detêm; / de seu aríete já aos golpes repetidos / a porta vai cedendo e, por fim arrancados / da couceira, os batentes vêm abaixo.

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”