Translation of "Prêtre" in Portuguese

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Examples of using "Prêtre" in a sentence and their portuguese translations:

Je suis prêtre.

Sou sacerdote.

Tom est un prêtre.

Tom é um padre.

Le prêtre est athée.

O padre é ateu.

Tom veut devenir prêtre.

Tom quer ser padre.

Mon frère est devenu prêtre.

Meu irmão virou padre.

Ce prêtre est un homme bon.

Este padre é um bom homem.

Le prêtre les déclara mari et femme.

O sacerdote os declarou marido e mulher.

Vous ne ressemblez pas à un prêtre.

Você não parece um padre.

- Le prêtre bénit la congrégation à la fin de la messe.
- La messe terminée, le prêtre bénit l'assemblée.

O padre abençoou a congregação no final da missa.

Marie est morte dans les bras du prêtre.

Maria morreu nos braços do padre.

- Comme il était habillé en noir, on aurait dit un prêtre.
- Comme il était habillé en noir, il ressemblait à un prêtre.
- Comme il était habillé de noir, il ressemblait à un prêtre.
- Comme il était habillé de noir, on aurait dit un prêtre.

Desde que ele estava vestido de preto, ele parecia um padre.

Le prêtre qui parle français sera là la semaine prochaine.

O padre que fala francês estará aqui na semana que vem.

Prêtre du dieu des mers, pour le rendre propice, / Laocoon offrait un pompeux sacrifice.

Laocoonte, / sacerdote indicado por sorteio / para o ofício a Netuno, então solene / ao pé do altar sacrificava um belo touro.

J'ai entendu qu'un prêtre homo a été promu au rang d'évêque, mais ça s'est révélé être une invention.

Ouvi que um sacerdote gay havia sido promovido ao cargo de bispo, mas no final era invenção.

De là il se rend en Épire, où régnait Hélénus, fils de Priam, prêtre d' Apollon, et mari d'Andromaque veuve d'Hector.

De lá ele foi para o Epiro, onde reinava um filho de Príamo, Heleno, sacerdote de Apolo, e marido de Andrômaca, viúva de Heitor.

De même que la chenille choisit, pour y poser ses œufs, les feuilles les plus belles ; ainsi le prêtre pose ses malédictions sur nos plus belles joies.

Assim como a lagarta escolhe as mais formosas folhas para desovar, assim o padre lança sua maldição sobre as alegrias mais formosas.

Tel, d'un coup incertain par le prêtre frappé, / mugit un fier taureau, de l'autel échappé, / qui, du fer suspendu victime déjà prête, / à la hache trompée a dérobée sa tête.

Qual berra e muge o touro, que, ferido, / do altar escapa procurando sacudir / da cerviz o machado não certeiro.

Tout fuit épouvanté. Le couple monstrueux / marche droit au grand prêtre ; et leurs corps tortueux / d'abord vers ses deux fils en orbe se déploie, / dans un cercle écaillé saisit sa faible proie, / l'enveloppe, l'étouffe, arrache de son flanc / d'affreux lambeaux suivis de longs ruisseaux de sang.

Ante a visão chocante, espavoridos / precipitamo-nos em várias direções. / Determinadas, as serpentes correm / até Laocoonte, mas primeiro / enlaça cada qual do antiste um filho, / e as infelizes presas, a dentadas, / têm devorados seus pequenos corpos.

Ruy López de Segura, prêtre et célèbre joueur d'échecs espagnol du XVIe siècle, a écrit un livre de 150 pages, appelé Libro del Ajedrez, sur les études exhaustives qu'il a faites sur l'ouverture (1.e4 e5 2.♘f3 ♘c6 3.♗b5) qui porte son nom.

Ruy López de Segura, sacerdote e famoso enxadrista espanhol do século 16, escreveu um livro de 150 páginas, chamado Libro del Ajedrez, sobre os exaustivos estudos que fez sobre a abertura (1.e4 e5 2.♘f3 ♘c6 3.♗b5) que leva o seu nome.

" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "

"Porém não soube, insano, silenciar / e jurei que se a sorte eu tivesse algum dia / de vitorioso retornar à minha pátria, / Palamedes teria um vingador; / e do ódio os aguilhões contra mim se excitaram. / Foi esta a causa principal de minha ruína: / Ulisses começou então a me aterrar / com mil e uma acusações; não se passava / um só dia sem que ele divulgasse / entre as tropas boatos maliciosos / a meu respeito e procurasse descobrir / armas que contra mim pudesse usar. / Só sossegou depois que por obra de Calcas…"