Translation of "Charme" in Portuguese

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Examples of using "Charme" in a sentence and their portuguese translations:

Il a un certain charme.

Ele tem um certo charme.

Son auto-dérision me charme.

Sua maneira de rir de si mesma me encanta.

Les vieux trains ont leur charme.

Os trens antigos têm seu charme.

Paris a beaucoup de charme pour une japonaise.

Paris é um lugar de grande encanto para as mulheres japonesas.

La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme.

A beleza apraz aos olhos, a bondade encanta a alma.

J'aime cette peinture, non pas parce que c'est un chef-d'œuvre mais parce qu'elle a du charme.

Eu gosto deste retrato, não porque é uma obra-prima, mas porque tem charme.

C'était un beau jeune homme, au visage presque féminin, auquel la colère et le hâle ajoutaient du charme.

Ele era um belo rapaz, com rosto quase feminino, ao qual adicionava charme a cólera e o bronzeado.

Adressant donc sa voix à l'aîné des Amours : / " O toi, l'honneur, l'appui, le charme de mes jours, / enfant vainqueur des dieux, souverain de la terre, / de que la flèche insulte aux flèches du tonnerre. "

Resolve, assim, falar ao alígero Amor: / “Meu filho, és minha força, és todo o meu poder; / só tu não temes, filho, os dardos com que o Pai Supremo fulminou Tifeu gigante; / recorro, pois, a ti, venho implorar-te auxílio".

Le rivage des mers nous invite au repos. / Des travaux aux rameurs le sort fait le partage ; / et les autres, couchés sur l'aride rivage, / dorment au bruit de l'onde, et jusqu'au jour naissant / goûtent d'un doux sommeil le charme assoupissant.

Sorteados os que vão cedo pegar nos remos, / desembarcamos e no seco e doce grêmio / da praia os corpos lassos estendemos: / pesado sono as forças nos restaura.

La reine cependant par cent et cent discours / de la rapide nuit veut prolonger le cours : / s'enivrant à longs traits d'un poison qu'elle adore, / elle interroge Énée, et l'interroge encore. / Elle trouve du charme à ses moindres récits ; / et, quand Priam, Hector, Andromaque et son fils, / ont fait couler ses pleurs, quand son âme étonnée, / en connaissant Achille, a frémi pour Énée, / des guerriers moins fameux veut connaître le nom, les coursiers de Rhésus, / les troupes de Memnon.

E noite adentro Dido se entretinha / em compridas conversas com Eneias, / bebendo sem saber, a desditosa, / gota a gota o veneno da paixão. / A respeito de Príamo e de Heitor / fazia mil perguntas, indagava / com quais armas Memnon, filho da Aurora, / combatera; que tais os corcéis de Diomedes / e qual era de Aquiles a estatura.

Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.

Na claridade, Eneias aparece, / qual um deus no semblante e na postura; / com seu sopro divino, a genitora / dera ao filho formosa cabeleira, / da juventude o róseo viço e a sedutora / graça que de seus olhos se irradiava: / qual pelas mãos do artista se realça / do marfim a beleza, ou quando em rútilo ouro / se engasta a prata ou o mármore de Paros.