Examples of using "Troiano" in a sentence and their french translations:
" Nous avons des amis, malgré notre infortune / d'Aceste, des Troyens, l'origine est commune ; / la Sicile, ses ports, ses trésors sont à nous, / et l'ami d'Ilion voudra l'être de vous. "
Énée et les Troyens déjà sont rassemblés ; / sur des tapis de pourpre avec pompe étalés / chacun a pris sa place, et leur rang la décide.
" Quoique leur ennemi, Teucer vantait leur gloire ; / il se disait issu de leurs antiques rois ; / surtout, je m'en souviens, il vantait vos exploits. "
La flotte double plusieurs des caps de la Sicile, et aborde enfin à Drépane, ville et port de cet endroit de l'île où régnait Aceste, prince troyen.
Sa présence imprévue a frappé tous les yeux. / " Celui que vous cherchez, dont la faveur des dieux / a conservé les jours, le voici. "
Énée est lui-même trompé. Didon l’embrasse, le caresse comme le fils du prince Troyen; et peu à peu la passion de l’amour se glisse dans son âme.
" Une île, Ténédos est son antique nom, / s'élève au sein des mers, à l'aspect d'Ilion. / Avant nos longs malheurs, qui sont tombés sur elle, / son port fut florissant ; mais sa rade infidèle / n'offre plus qu'un abri peu propice au nocher. / Là, sur des bords déserts les Grecs vont se cacher. "
" Entends-moi donc : ce fils, si cher à mon amour, / Ascagne, par son père attendu dans ce jour, / se prépare à porter aux remparts de Carthage / les restes précieux des feux et du naufrage. "
Le sort de Laocoon, qui avait lancé une javeline contre les flancs du cheval, et que deux serpents dévorent avec ses deux enfants, en présence de tout le peuple troyen, achève de persuader que ce cheval est un monument religieux.
Mais un bruit menaçant vient alarmer son âme : / un jour doit s'élever, des cendres de Pergame, / un peuple, de sa ville orgueilleux destructeur, / et du monde conquis vaste dominateur : / du sort impérieux tel est l'ordre suprème.
" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "