Examples of using "Terras" in a sentence and their french translations:
Il y a encore des terres non civilisées.
Il possède beaucoup de terre.
Autre pays, autre coutume.
Le Duc possède beaucoup de terres.
On m'a refusé l'accès à ses terres.
Il fut un temps où il possédait beaucoup de terres.
de la terre et de la mer, des rivières, des montagnes et des plaines.
Beaucoup d'Arméniens ont été contraints à quitter leur terre.
Les carcajous prospèrent sur les terres glacées du nord,
" Nous avons des amis, malgré notre infortune / d'Aceste, des Troyens, l'origine est commune ; / la Sicile, ses ports, ses trésors sont à nous, / et l'ami d'Ilion voudra l'être de vous. "
Errant en cent climats, triste jouet des flots, / longtemps le sort cruel poursuivit ce héros, / et servit de Junon la haine infatigable. / Que n'imagina point la déesse implacable.
Ces devoirs accomplis, le signal est donné ; / et les voiles, des vents appelant les haleines, / tournent sur les longs bras de leurs longues antennes. / Nous partons, nous fuyons d'un cours précipité / ce rivage suspect, par les Grecs habité.
" D'abord ce Latium, cette terre fatale, / tu les crois séparés par un court intervalle ; / mais la mer, devant toi s'agrandissant toujours, / de ta longue carrière allongera le cours. "
Aussitôt, appelant Eurus et le Zéphyre, / " Eh quoi ! sans mon aveu, quoi ! dans mon propre empire, / d'une race rebelle enfants audacieux, / vents, vous osez troubler et la terre et les cieux ! "
Il dit ; et, du revers de son sceptre divin, / du mont frappe les flancs : ils s'ouvrent, et soudain / en tourbillons bruyants l'essaim fougueux s'élance, / trouble l'air, sur les eaux fond avec violence.
" Un jour, du grand Teucer rejetons glorieux, / les Romains, disiez-vous, règneraient en tous lieux ; / un jour leur race illustre, en conquérants féconde, / gouvernerait la terre, assujettirait l'onde. / Vous me l'aviez promis : qui vous a fait changer ? "
Là, d'incroyables bruits, jusqu'à nous parvenus, / étonnent notre oreille : on nous dit qu'Hélénus, / enfant du dernier roi de la triste Pergame, / possède de Pyrrhus et le sceptre et la femme ; / qu'il commande à des Grecs, et qu'un dernier lien / met la veuve d'Hector dans les bras d'un Troyen.
Le bruit court qu'un grand roi, notre ennemi cruel, / Idomenée, a fui le trône paternel ; / qu' abandonnés des Grecs, les rivages de Crète / promettent aux Troyens une douce retraite.
À l'opposé du Tibre et des champs d'Ausonie, / des riches Tyriens heureuse colonie, / Carthage élève aux cieux ses superbes remparts, / séjour de la fortune et le temple des arts. / Aucun lieu pour Junon n'eut jamais tant de charmes : / Samos lui plaisait moins.
" Lorsqu'enfin de plus près tu verras la Sicile, / et que des bancs étroits qui séparent cette île / l'embouchure à tes yeux ira s'agrandissant, / que sur la gauche alors ton cours s'arrondissant / laisse à droite cette île et ses gorges profondes. "
Ainsi dit Jupiter ; mais il craint que Didon, / ignorant les destins des enfants d'Ilion, / ne leur ferme les murs de sa cité nouvelle : / il lui députe alors son messager fidèle.
S'agitant de fureur dans leurs prisons tremblantes, / ils luttent en grondant, ils s'indignent du frein. / Au haut de son rocher, assis le sceptre en main, / Éole leur commande ; il maîtrise, il tempère / du peuple impétueux l'indocile colère : / s'ils n'étaient retenus, soudain cieux, terre, mers, / devant eux rouleraient emportés dans les airs.
" Ces continents, dit-on, séparés par les ondes, / réunis autrefois, ne formaient qu'un pays ; / mais, par les flots vainqueurs tout à coup envahis, / à l'onde usurpatrice ils ont livré la terre, / dont le double rivage à l'envi se resserre : / ainsi, sans se toucher, se regardent de près, / et les bords d'Hespérie, et l'île de Cérès. / Entr'eux la mer mugit, et ses ondes captives / tour à tour en grondant vont battre les deux rives : / sublime phénomène, étranges changements, / de l'histoire du monde éternels monuments ! "
Joseph établit son père et ses frères et leur donna droit de propriété dans le pays d’Égypte, dans le meilleur territoire, celui de Ramsès, comme l’avait ordonné Pharaon. Joseph nourrit son père, ses frères et toute la maison de son père, donnant des vivres selon les besoins de chaque famille.
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "
Quand Troie eut succombé, quand le fer et les feux / eurent détruit ses murs condamnés par les dieux, / et que, de ses grandeurs étonné de descendre, / le superbe Ilion fut caché sous la cendre, / innocents et proscrits, pour fixer nos destins, / il nous fallut chercher des rivages lointains. / Soumis aux lois du sort, aux oracles fidèle, / sous les hauteurs d'Antandre et du mont de Cybèle, / j'équipe des vaisseaux, incertain sur quel bord / vont nous guider les dieux, va nous jeter le sort.
Je vais au roi pontife, et m'explique en ces mots : / " O toi qui fais parler d'une voix véridique / les lauriers de Claros, le trépied prophétique ; / que ne trompent jamais ni le flanc des taureaux, / ni le ciel, ni le vol ni le chant des oiseaux ; / que me veulent les dieux ? Tous d'une voix commune / dans les champs d'Hespérie appellent ma fortune. "