Examples of using "Ordens" in a sentence and their french translations:
À vos ordres.
Je suivais les ordres.
- Tom suit les ordres.
- Tom obéit aux ordres.
J'ai des ordres.
Je ne fais qu'obéir aux ordres.
- Exécute mes ordres !
- Exécutez mes ordres !
Nous devons exécuter ses ordres.
Je n'obéirai pas à ces ordres.
Vous ne pouvez pas me donner d'ordres.
- Je ne prends mes ordres de vous.
- Je ne prends mes ordres de toi.
Ne posez pas de questions, contentez-vous de suivre les ordres.
Il travaille sous mes ordres.
Vous ne pouvez pas me donner d'ordres.
- Ne pose pas de questions, contente-toi de suivre les ordres.
- Ne posez pas de questions, contentez-vous de suivre les ordres.
Vous êtes ici pour obéir à mes ordres.
Je vendrai le bateau suivant vos instructions.
Il faut savoir obéir avant que de commander.
Ce n'est pas la peine de discuter avec moi, je ne fais qu'exécuter des ordres supérieurs.
Je ne peux pas ignorer les ordres de mon officier supérieur.
- Je me tiens à votre disposition.
- Je suis à ta disposition.
- Je suis à votre service.
- Je suis à ton service.
- Je suis là pour toi.
- Je me tiens à votre disposition.
- Je suis à ta disposition.
- Je suis à votre disposition.
- Je suis à toi.
- Je suis à vous.
Je dis, on obéit : nos lances détachées / sous des gazons épais avec soin sont cachées.
" Nous avons des amis, malgré notre infortune / d'Aceste, des Troyens, l'origine est commune ; / la Sicile, ses ports, ses trésors sont à nous, / et l'ami d'Ilion voudra l'être de vous. "
Le jeune homme riche et complaisant se sentait étrangement attiré par la stricte vie ascétique menée par les membres de quelques-uns des ordres monastiques.
Neptune, offensé de ce qu’on a pu exciter sans ses ordres une tempête dans ses états, vient l’apaiser, et renvoie les vents dans leurs prisons.
Un facile succès couronne son message : / il parle, il adoucit la superbe Carthage, / de sua puissante reine apprivoise l'orgueil, / et les Troyens déjà sont sûrs d'un doux accueil.
Nous hâtons à regret ce départ douloureux ; / je leur dis en pleurant : " Adieu, vivez heureux ! / Vous ne redoutez plus la fortune inconstante ; / et nous, tristes jouets d'une si longue attente, / le sort de mer en mer nous promène à son gré. "
Aussi, pour réprimer leur fougue vagabonde, / Jupiter leur creusa cette prison profonde, / entassa des rochers sur cet affreux séjour, / et leur donna pour maître un roi qui, tour à tour / irritant par son ordre ou calmant leurs haleines, / sût tantôt resserrer, tantôt lâcher les rênes.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.