Examples of using "Salvo" in a sentence and their french translations:
Ton secret sera bien gardé.
Je ne les sauve pas.
mais n'a pas pu être sauvé
Il est arrivé sans encombre.
Ton secret sera bien gardé.
- Ils seront en sécurité avec elle.
- Elles seront en sécurité avec elle.
Je me dis : "Elle est à l'abri sous ce rocher."
Rien n'est vrai que ce qu'on ne dit pas.
Qui se noie propose une maison, qui a été sauvé ne donne pas même une brique.
" Pour moi, si le destin / de ma vie à ce jour n'eût pas marqué la fin, / il eût de mes aïeux conservé la demeure : / la perte d'Ilion ordonne que je meure. "
Il est sain et sauf, et un peu plus sage. Rester ensemble peut être difficile dans ces forêts sombres et denses.
Il n'est rien arrivé, à part une lettre sans importance.
Dieu est le créateur. Le ciel et la terre et les hommes, tout a été créé par Dieu sauf Dieu lui-même.
Je n'ai pas d'autre idole que l'Académie française.
Sa présence imprévue a frappé tous les yeux. / " Celui que vous cherchez, dont la faveur des dieux / a conservé les jours, le voici. "
Le héros poursuivait ce douloureux discours ; / mais sa mère attendrie en arrête le cours. / " Oh ! qui que vous soyez, le ciel vous est propice : / de la belle Didon la bonté protectrice / accueillera vos dieux, et votre peuple, et vous. "
" Tels que vous les voyez dans les airs rassemblés, / et remis de l'effroi qui les avait troublés, / en chantant battre l'air de leurs ailes bruyantes ; / ainsi vos compagnons et leurs nefs triomphantes / voguent à pleine voile ; et, rendant grâce au sort, / ils entrent, ou bientôt vont entrer dans le port. "
Les Strophades ( la Grèce ainsi nomma ces îles ) / aux nochers rassurés présentent leurs asiles ; / et, de loin dominant les flots ioniens, / sur leurs tranquilles bords appellent les Troyens. / Vain espoir ! Céléno, la reine des Harpies, / infecta ces beaux lieux de ses troupes impies, / depuis que Calaïs à leur brutale faim / du malheureux Phinée arracha le festin.
Tout bénit d'Actium la terre inattendue : / on dresse des autels ; on offre au roi des dieux / des expiations, de l'encens et des vœux ; / on s'applaudit d'avoir, comme une terre amie, / franchi de nos vainqueurs la contrée ennemie. / Enfin de nos lutteurs l'essaim est assemblé ; / sur leurs corps demi-nus des flots d'huile on coulée : / à ces jeux paternels nous volons avec joie, / et notre cœur palpite au souvenir de Troie.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "