Translation of "Ninfas" in French

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Examples of using "Ninfas" in a sentence and their french translations:

Em mil coisas pensando, às ninfas da floresta / e a Marte Augusto, protetor dos campos trácios, / suplico que conjurem tal presságio, / convertendo em propícia a sinistra visão.

Tremblant, j'offre mes vœux aux nymphes des bocages, / au fier dieu des combats ; et mes pieux hommages / sollicitent des dieux un présage plus doux.

"Tenho em meu séquito catorze ninfas / dotadas de beleza deslumbrante, / das quais a mais bonita, Deiopeia, / a ti unirei em matrimônio, será tua, / para que, em paga de teus bons serviços, / passe contigo os dias todos de sua vida / e te gere a mais linda descendência.”

" Douze jeunes beautés ornent ma cour brillante ; / Déiope, la plus jeune et la plus séduisante, / unie à vos destins par les nœuds les plus doux, / acquittera les soins que j'exige de vous ; / et d'Éole à jamais la compagne fidèle / un jour lui donnera des enfants dignes d'elle. "

De frente para o mar há uma caverna, / debaixo de rochedos salientes. / Lá moram ninfas, dentro há fontes de água doce / e, talhados na pedra, assentos naturais. / Nesse porto seguro as naus batidas / pela tormenta não precisam ficar presas / por amarra nenhuma à terra firme, / nem pelo dente adunco da âncora retidas.

En face, un antre frais, sous des rochers pendants, / fait jaillir une eau douce en ruisseaux abondants ; / autour règnent des bancs taillés par la nature. / La naïade se plaît sous cette grotte obscure, / qui présente à la fois un antre aux matelots, / une eau pure à la soif, un asile au repos; / et, sans qu'un fer mordant par son poids les arrête, / les vaisseaux protégés y bravent la tempête.

Qual Diana a marcar – aljava ao ombro – / o compasso da dança pelas margens / do Eurotas, pelos píncaros do Cinto; / mil Oréades seguem-na formando / grupos ao seu redor, enquanto ela, mais alta / que todo o séquito das ninfas, se destaca / avançando garbosa e enchendo o coração / de Latona de um júbilo secreto.

Telle, dans tout l'éclat de sa divinité, / quand Diane paraît, quand ses jeunes compagnes, / les nymphes des forêts, des vallons, des montagnes, / sur lhes hauteurs du Cynthe, au bord de l'Eurotas, / bondissant en cadence, accompagnent ses pas : / à la tête des chœurs, Diane, au milieu d'elles, / surpasse en majesté toutes ces immortelles : / jeune, le front paré de son croissant divin, / un carquois sur l'épaule, et son arc à la main, / elle marche ; sa grâce en marchant se déploie, / et le cœur de Latone en palpite de joie.

Assim Vênus falou; e logo o filho: / “Não vi ninguém, de tuas irmãs nenhuma / sequer ouvi, ó... como irei chamar-te? / Donzela? Teu semblante nada tem / de uma simples mortal, nem timbre humano / tem a tua voz, ó deusa – pois divina / deves ser. Não serás a irmã de Apolo, / ou do sangue das ninfas tu nasceste?"

Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "