Examples of using "Campos" in a sentence and their french translations:
Où sont tes champs ?
Ils travaillent aux champs.
produisant constamment de nouveaux champs magnétiques.
le déplacement de ces champs magnétiques
Les champs magnétiques sont invisibles.
Les conditions sanitaires dans les camps de réfugiés étaient terribles.
Par exemple, si vous avez 10 champs de formulaire,
bien sûr, cet événement est causé par le déplacement des champs magnétiques
Les États-Unis exploitent des camps de concentration sur notre frontière sud.
Des barricades sur les Champs-Élysées, ce n'est pas tous les jours que ça arrive.
comme vous travaillez dans le champ comme les champs pétrolifères.
Pas grand-chose à voir avec des choses comme les parallèles de vol et les champs magnétiques
La principale cause de mortalité dans les camps de réfugiés est la pénurie de nourriture.
Pendant l'époque stalinienne, les prisonniers des camps de concentration devenaient esclaves au service de l'État.
Tremblant, j'offre mes vœux aux nymphes des bocages, / au fier dieu des combats ; et mes pieux hommages / sollicitent des dieux un présage plus doux.
" Sur une vaste mer un long exil t'attend ; / enfin tu parviendras aux rives d'Occident, / dans la riche Hespérie, où de ses belles ondes / le Tibre baigne en paix des campagnes fécondes. "
" Vos malheurs sont finis, votre asile assuré ; / vous n'allez point chercher sur de lointaines rives / un empire inconnu, des terres fugitives. "
La grêle frappa, dans tout le pays d’Égypte, tout ce qui était dans les champs, depuis l’homme jusqu’à la bête ; toute herbe des champs fut abattue par la grêle et tout arbre des champs brisé.
" Cours détromper Anchise, et guide les Troyens / des rivages de Crète aux bords ausoniens. "
" Là, des fiers Locriens s'élève la cité ; / là, commandant en paix à l'humble Pétilie, / Philoctète est content d'un coin de l'Italie ; / et, de Salente enfin inondant les sillons, / Idomenée au loin répand ses bataillons. "
Tel, enfin triomphant de sa digue impuissante, / un fier torrent s'échappe, et l'onde mugissante / traîne, en précipitant ses flots amoncelés, / pâtre, étable et troupeau, confusément roulés.
Chaque jour a son deuil ; l'animal expirant / perd la douce lumière, ou traîne un corps mourant : / plus d'épis pour l'été, plus de fruits pour l'automne, / et sur ces bords affreux la mort seule moissonne.
" Soit qu'aux champs de Saturne, aux rivages latins, / appelés par les dieux, vous suiviez vos destins ; / soit qu'aux champs fraternels de l'heureuse Sicile / chez un prince allié vous cherchiez un asile ; / comptez sur mes bienfaits, comptez sur mes secours. "
Bien loin de ma patrie est une vaste terre, / que consacra Lycurgue au grand dieu de la guerre : / dans des temps plus heureux, les dieux hospitaliers / unissaient les Troyens à ces peuples guerriers.
Dès qu'on put se fier à l'humide élément, / sitôt que de l'Auster l'heureux frémissement / promit à notre course une mer sans naufrage, / nos vaisseaux reposés s'élancent du rivage : / on part, on vole au gré d'un vent rapide et doux ; / et la ville et le port sont déjà loin de nous.
" Par cette mort sanglante Hélénus en partage / obtint une moitié de son riche héritage, / et du nom de Chaon, né du sang des Troyens, / appela ces vallons les Champs Chaoniens : / Pergame fut le nom que prit la citadelle. "
L'intérieur de ce parc est rempli de forêts, de lacs, de ruisseaux, de pâturages et de lieux de chasse, et au milieu s'élève l'édifice avec ses créneaux dorés, ses ailes couvertes de plomb, ses pavillons, ses terrasses et ses corridors.
" Anténor, de la Grèce affrontant la furie, / a bien pu pénétrer dans les mers d'Illyrie, / a bien osé franchir ce Timave fameux / dont l'onde impétueuse, en torrents écumeux, / par sept bouches sortant et tombant des montagnes, / court d'une mer bruyante inonder les campagnes. "
Tel, au sein des moissons quand la flamme rapide, / au gré des vents s'élance : ou lorsqu'à gros bouillons, / engloutissant l'espoir de nos riches sillons, / entraînant les forêts dans ses vagues profondes, / un torrent en grondant précipite ses ondes ; / le berger s'épouvante, et d'un roc escarpé / prête de loin l'oreille au bruit qui l'a frappé.
" Ces continents, dit-on, séparés par les ondes, / réunis autrefois, ne formaient qu'un pays ; / mais, par les flots vainqueurs tout à coup envahis, / à l'onde usurpatrice ils ont livré la terre, / dont le double rivage à l'envi se resserre : / ainsi, sans se toucher, se regardent de près, / et les bords d'Hespérie, et l'île de Cérès. / Entr'eux la mer mugit, et ses ondes captives / tour à tour en grondant vont battre les deux rives : / sublime phénomène, étranges changements, / de l'histoire du monde éternels monuments ! "
La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.
" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "
" Si le Tibre jamais me reçoit dans ses ports, / si ces murs tant promis s'élèvent sur ses bords, / unis par la naissance, unis par l'infortune, / nos maux seront communs, notre gloire commune. / Oui, nos peuples, heureux d'une longue union, / ne feront qu'un seul peuple et qu'un seul Ilion ; / et des fils d'Ausonie et des enfants d'Épire / même sang, même amour réuniront l'empire. / Puisse un esprit semblable animer nos neveux ! "