Translation of "Mercê" in French

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Examples of using "Mercê" in a sentence and their french translations:

Estou à tua mercê.

- Je suis à votre merci.
- Je suis à ta merci.

Se você deve ao gerente do banco mil libras, está à mercê dele. Se você lhe deve um milhão de libras, ele está à sua mercê.

Si vous devez mille livres à votre banquier, vous êtes à sa merci, mais si vous lui devez un million de livres, il est à la vôtre.

Mas isso também nos deixa muito perto dos penhascos e à mercê da maré.

Mais ça nous amène aussi près de ces falaises, où on sera à la merci de la marée.

À nossa casa me dirijo para ver – / ah, se fosse possível! – se ela havia / voltado para lá. Todo o edifício encontro / invadido e à mercê da sanha grega.

Je cherche en vain. Grands dieux ! si le sort moins cruel, / si le ciel l'eût conduite au palais paternel ! / J'y cours. Déjà les Grecs s'en étaient rendus maîtres.

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "