Examples of using "Chamas" in a sentence and their french translations:
Comment tu t'appelles ?
On ventile les flammes.
La maison était en flammes.
Le bâtiment est en feu.
L'appartement est en feu.
- Plusieurs immeubles étaient en feu.
- Plusieurs immeubles étaient la proie des flammes.
- La maison est en flammes !
- La maison brûle !
La maison est en train de brûler.
ils croyaient que tu vivais sur le feu
L'hôtel a été réduit en cendres.
Les marins abandonnèrent le navire en flammes.
Les flammes se propagèrent rapidement sur le sol.
Un charbon ardent fait brûler les autres.
Les pompiers se précipitèrent à l'intérieur de la maison en feu.
Comment appelles-tu ta mère ?
Mais c'est aussi magique de regarder les flammes.
La maison est en train de brûler.
L'immeuble est en feu.
- Comment est-ce que tu t'appelles ?
- Comment tu t'appelles ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Comment tu t’appelles ?
Les pompiers ont découvert en arrivant la maison bien en feu.
- Comment est-ce que tu t'appelles ?
- Comment tu t'appelles ?
- Comment vous appelez-vous ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Quel est votre nom ?
- Quel est ton nom ?
- Elle ne me pisserait même pas dessus si j'étais en feu.
- Elle me laisserait crever la gueule ouverte.
- Comment est-ce que tu t'appelles ?
- Comment tu t'appelles ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Quel est ton nom ?
- Comment te nomme-t-on ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Comment tu t’appelles ?
- Comment est-ce que tu t'appelles ?
- Comment tu t'appelles ?
- Comment vous appelez-vous ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Quel est votre nom ?
- Quel est ton nom ?
- Comment t'appelles-tu ?
Il se précipita à travers la fumée aveuglante et les flammes qui sifflaient, jusqu'à ce qu'il atteigne les enfants.
La voiture de Tom brûle.
Le feu couve sous la cendre.
J'entends tonner les coups de leur main foudroyante ; / tout tombe : je crois voir, de son faîte orgueilleux, / Ilion tout entier s'écrouler dans les feux.
Tom fit tout ce qu'il put pour sauver les enfants pris au piège dans le bâtiment en flammes.
Il dit ; et de plus près / les flammes cependant menacent le palais ; / et, d'un cours plus rapide avançant vers leur proie, / en tourbillons fougueux leur fureur se déploie.
Je m'éloigne, et Cypris / défend au glaive, au feu, d'attenter à son fils : / le fer respectueux tombe à sa voix puissante ; / devant elle s'enfuit la flamme obéissante.
Achate, au même instant, prend un caillou qu'il frappe ; / la rapide étincelle en petillant s'échappe ; / des feuilles l'ont reçue. Alors dans son berceau / Achate d'un bois sec nourrit ce feu nouveau ; / et bientôt au brasier d'une souche brûlante / cherche, attise, et saisit la flamme étincelante.
Plus loin, et sous l'abri d'une roche profonde, / de la voûte des bois partout environnés, / déjà nous reprenions nos mets abandonnés, / déjà le feu brûlait sur l'autel de nos Lares.
Enfer chrétien, du feu. Enfer païen, du feu. Enfer mahométan, du feu. Enfer hindou, des flammes. À en croire les religions, Dieu est né rôtisseur.
- Comment est-ce que tu t'appelles ?
- Comment tu t'appelles ?
- Comment vous appelez-vous ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Quel est votre nom ?
- Quel est ton nom ?
- Comment te nomme-t-on ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Comment tu t’appelles ?
- Comment vous appelez-vous ?
- Vous vous appelez comment ?
Je cherche autour de moi si quelque ami me reste : / tous ont péri... Poussés d'un désespoir funeste, / tous de nos toits brûlants se sont précipités.
" Mais les plus éclairés, se défiant des Grecs, / veulent que, sans tarder, ces présents trop suspects / soient livrés à la flamme, ou plongés dans les ondes, / ou qu'on en fouille au moins les cavités profondes. "
- Comment est-ce que tu t'appelles ?
- Comment tu t'appelles ?
- Comment vous appelez-vous ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Quel est votre nom ?
- Quel est ton nom ?
- Comment te nomme-t-on ?
- Comment t'appelles-tu ?
- Comment tu t’appelles ?
Il dit : et la fureur enflamme mes esprits ; / je m'élance à travers le feu, le sang, les cris, / partout où la vengeance, où mon aveugle rage / et d'horribles clameurs appellent mon courage.
" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "
Du fond de leurs vaisseaux ils tirent le froment / à demi corrompu par l'humide élément. / De Cérès aussitôt le trésor se déploie ; / le feu sèche leurs grains, et la pierre les broie : / le banquet se prépare ; on partage aux vaisseaux / ces aliments sauvés de la fureur des eaux.
Là, sont accumulés tous les trésors de Troie, / et les vases d'or pur, et les tables des dieux, / et des pontifes saints les vêtements pompeux. / Autour de cet amas de dépouilles captives / se pressent les enfants et les mères plaintives.
Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
Le vieillard, à ces mots, / de son cœur oppressé poussant de longs sanglots : / " Il est, il est venu ce jour épouvantable, / ce jour de nos grandeurs le terme inévitable : / Ilion, les Troyens, tout est anéanti. / De Jupiter sur nous le bras appesanti / livre aux enfants d'Argos leur malheureuse proie. "
" Non; et, quoique ma gloire en rougisse tout bas, / quoiqu'un si lâche exploit déshonore mon bras, / du moins de ce fléau j'aurai purgé la terre ; / son sang paîra le sang qu'a coûté cette guerre, / satisfera ma rage, et celle des Troyens, / et les mânes plaintifs de mes concitoyens. "
" Moi, d'un jeune orgueilleux, trop digne de son père, / souffrant l'amour superbe et la fierté sévère, / j'ai rampé sous un maître, et, par mille revers, / passé de Troie en cendre à l'opprobre des fers. / Bientôt, nouveau Pâris, jusqu'à Lacédémone / mon dédaigneux époux court ravir Hermione ; / et, fuyant des plaisirs par la force obtenus, / il m'abandonne esclave à l'esclave Hélénus. "
Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "