Examples of using "Füßen" in a sentence and their french translations:
Ces chaussures vont à mon pied.
- Et mon cul, c'est du poulet ?
- Tu joues avec mes pieds ?
- Tu me fais marcher ?
Le ciel est sous leurs pieds
J'ai des ampoules aux pieds.
L'homme est muni de deux pieds.
Le sol se déroba sous ses pieds.
- Ne piétinez pas dans la salle de séjour avec les pieds boueux.
- Arrête de piétiner le salon avec des pieds boueux.
Il danse devant elle sur ses pieds et sur ses mains.
Ses jambes sont des colonnes d'albâtre, posées sur des bases d'or pur.
des milliers de kilomètres qu'ils plient leurs petits pieds
On ne peut pas marcher pieds nus sur du sable brûlant.
J'ai froid aux pieds.
- Le droit des autres personnes ne doit pas être foulé aux pieds.
- Le droit des autres personnes ne doit pas être piétiné.
Grâce à ses pattes rembourrées, même un mâle de six tonnes peut passer inaperçu.
Tu es assez grand pour tenir sur tes propres pieds.
Pourquoi cherche-t-il à couper l'herbe sous le pied de son frère ?
Quand on chatouille les pieds de maman, elle est immédiatement bien réveillée.
J'ai senti quelque chose toucher mes pieds.
Il utilisa un épluche-légumes pour retirer la corne qu'il avait sous les pieds.
Mes pieds, qui avaient tant enflé que je ne pouvais presque plus marcher, sont guéris.
Celui qui se comporte comme un ver ne peut pas ensuite se plaindre de se faire marcher dessus.
- Tu dois t'agenouiller à mes pieds, me baiser la main et jurer que je suis un ange.
- Vous devez vous agenouiller à mes pieds, me baiser la main et jurer que je suis un ange.
Et il parcourt le poème dans une strophe métrique très complexe, et il meurt debout,
Les citoyens ont voté avec leurs pieds. Maintenant le dernier magasin spécialisé du coin a dû s'avouer vaincu face à la supériorité d'une chaîne de grands magasins.
Lorsqu'on ne vous recevra pas et qu'on n'écoutera pas vos paroles, sortez de cette maison ou de cette ville et secouez la poussière de vos pieds.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.