Translation of "Reçut" in Portuguese

0.013 sec.

Examples of using "Reçut" in a sentence and their portuguese translations:

Il me reçut aimablement.

Ele me recebeu amavelmente.

Tom ne reçut jamais de prix.

O Tom nunca ganhou um prêmio.

Chacun d'entre eux reçut un prix.

Cada um deles recebeu um prêmio.

Il reçut un bon nombre de lettres ce matin.

- Ele recebeu um bom número de cartas nesta manhã.
- Ele recebeu muitas cartas nesta manhã.

Il reçut un télégramme disant que sa mère était décédée.

- Ele recebeu um telegrama dizendo que a mãe dele tinha morrido.
- Ele recebeu um telegrama dizendo que sua mãe havia morrido.

- Elle reçut l'argent de lui.
- Elle a reçu l'argent de lui.

Ela conseguiu o dinheiro por ele.

- Il me reçut aimablement.
- Il a eu la bonté de me recevoir.

Ele me recebeu amavelmente.

- Elle reçut un présent de son petit ami.
- Elle reçut un présent de son copain.
- Elle a reçu un présent de son ami.
- Elle a reçu un présent de son copain.
- Elle a reçu un présent de son petit copain.
- Elle reçut un présent de son petit copain.

Ela ganhou um presente de seu namorado.

Un bois pompeux s'élève au milieu de Carthage ; / il reçut ses enfants préservés du naufrage. / Là, la bêche en fouillant découvrit à leurs yeux / la tête d'un coursier, symbole belliqueux ; / ce signe fut pour eux le signe de la gloire, / et Junon à ce gage attacha la victoire.

Havia um bosque / fresco e umbroso no centro da cidade, / onde os penos, batidos pelas vagas / e tempestades, logo que chegaram, / o presságio de Juno confirmaram, / de fogoso corcel desenterrando / a cabeça, sinal, conforme a deusa, / de que aquela nação seria incomparável / na guerra e rica pelos séculos afora.

" La reine de ces lieux est la belle Didon : / elle reçut le jour dans la riche Sidon ; / mais, d'un frère cruel fuyant la barbarie, / son courage en ces lieux s'est fait une patrie. / L'histoire de ses maux voudrait un long discours ; / je vais en peu de mots vous en tracer le cours. "

"A soberana é Dido, proveniente / da cidade de Tiro, de onde o irmão / fê-la fugir. Longa seria a narração, / com pormenores, da injustiça cometida / contra ela, mas da história vou fazer / um resumo dos fatos principais".

Sa barbe hérissée, et ses habits poudreux, / le sang noir et glacé qui collait ses cheveux, / ses pieds qu'avaient gonflés, par l'excès des tortures, / les liens dont le cuir traversait leurs blessures ; / son sein encor percé des honorables coups / qu'il reçut sous nos murs en combattant pour nous : / tout de ses longs malheurs m'offrait l'image affreuse.

A barba esquálida, os cabelos empastados / de sangue ele trazia e, pelo corpo, / os numerosos ferimentos recebidos / em torno aos muros, defendendo a pátria.

Il y fait joindre encor le sceptre qu'Ilione / reçut du vieux Priam, et sa riche couronne, / qui réunit à l'or l'éclat du diamant ; / enfin, de son collier le superbe ornement, / ces trésors arrondis, ces perles que l'aurore / de l'onde orientale autrefois vit éclore : / il veut ; et son ami court, docile à sa loi, / remplir les vœux d'un père, et les ordres d'un roi.

E mais o cetro que ostentara outrora / Ilíone, de Príamo a mais velha / das filhas, e um colar de pérolas perfeitas, / e uma coroa de ouro cravejada / de pedras raras. O expedito Acates / prontamente aos navios se dirige.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”