Examples of using "Rumo" in a sentence and their french translations:
Le capitaine du bateau décide de changer de cap.
Sans l'aide des étoiles, nous avons perdu notre route sans espoir de la retrouver.
a prononcé quelques mots pour créer un momentum en faveur de la reprise.
Mais la NASA sans but nous envoie aujourd'hui des photos de Mars
Si une conversation ne se déroule pas trop bien, tente une approche différente.
migrent sur 5 000 km sur la côte ouest de l'Amérique.
Ils ont perdu leur chemin et s'éloignent les uns des autres plutôt que de manière disciplinée
Quand deux affreux serpents, sortis de Ténédos, / ( j'en tremble encor d'horreur ! ) s'allongent sur les flots ; / par un calme profond, fendant l'onde écumante.
Je restais seul... Des feux les lugubres clartés / guidaient mes pas tremblants et ma vue incertaine, / lorsqu'aux pieds de Vesta je vois l'affreuse Hélène.
Énée se rembarque, et se rend dans l'ile de Délos pour consulter l'oracle d'Apollon, qui lui ordonne d'aller s'établir dans le pays d'où les Troyens tirent leur origine.
Mon père ordonne alors de repasser les flots, / d'aller interroger les trépieds de Délos, / d'apprendre dans quels lieux doivent finir nos peines, / nos travaux renaissants, nos courses incertaines.
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "
Le vent tonne en courroux sur les mers qu'il tourmente ; / le flot monte et retombe en montagne écumante ; / l'œil ne distingue plus ni le jour, ni la nuit ; / le pilote éperdu, que la frayeur conduit, / abandonne au hasard sa course vagabonde. / Sur nous le ciel mugit ; sous nos pieds la mer gronde ; / le tonnerre redouble, et de l'air ténébreux / mille horribles éclairs sont les astres affreux.
Après la proposition et l’invocation, début ordinaire des poèmes épiques, le poète commence son récit à la septième année de l’expédition de son héros, c’est-à-dire, au temps où Énée, chef des Troyens, parti de la Sicile, et faisant voile pour l’Italie, est assailli d’une violente tempête, excitée par Éole, à la sollicitation de Junon, qui continue de poursuivre les habitants de Troie, après la ruine de leur patrie, et veut s’opposer à leur établissement en Italie, où les destins ont annoncé qu’ils seront les fondateurs d’un puissant empire.
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.