Translation of "Andern" in French

0.003 sec.

Examples of using "Andern" in a sentence and their french translations:

Die Liebe will nichts von dem andern, sie will alles für den andern.

L'amour ne veut rien des autres, il veut tout aux autres.

Ich wurde mit mehreren andern entlassen.

J'ai été viré, avec plusieurs autres.

Wer andern eine Grube gräbt, fällt selbst hinein.

Une mauvaise action se retourne toujours contre vous.

Willst du dich selber erkennen, so sieh, wie die andern es treiben! Willst du die andern verstehn, blick in dein eigenes Herz!

Si tu souhaites te comprendre toi-même, alors regarde comment les autres le font. Si tu souhaites comprendre les autres, regarde dans ton propre cœur.

Bill war bei den andern Kindern seiner Schule sehr beliebt.

Bill était très aimé des autres enfants de son école.

Es ist oft dem einen zugedacht und dem andern beschert.

Souvent ce qu'on destine à l'un, on l'offre à l'autre.

Alle Menschen haben Zugang zu Gott, aber jeder einen andern.

Tous les hommes ont accès à Dieu mais chacun un accès différent.

Wir sind alle stark genug, um zu ertragen, was andern zustößt.

Nous sommes tous assez fort pour supporter ce qui arrive aux autres.

Bücher sind Bienen, die Blütenstaub von einem Geist zum andern tragen.

Les livres sont des abeilles qui portent le pollen d'un esprit à l'autre.

Wer dem andern den Finger ins Maul steckt, der will gebissen sein.

Celui dont le doigt est dans la gueule de l'autre va se faire mordre.

Was du nicht willst, dass man dir tu’, das füg’ auch keinem andern zu.

Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas que l'on te fasse.

Ein Berg wird nie den andern treffen, doch könn' zwei Menschen dies wohl schaffen.

Jamais montagne ne viendra à une autre montagne, mais pour deux êtres humains, une rencontre est bel et bien possible.

Was du nicht willst, dass man dir tu, das füg auch keinem andern zu.

Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas que l'on te fasse.

Das Gepräge dieser Münzen ist auf der einen Seite vertieft und auf der andern erhaben.

La frappe de ces pièces est en creux sur une face et en relief sur l'autre.

Die Freiheit besteht darin, dass man alles das tun kann, was einem andern nicht schadet.

La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui.

- Eine Hand wäscht die andere.
- Eine Hand wäscht die andere!
- Ein Dienst ist des andern wert.

Une main lave l'autre.

- Freiheit besteht darin, alles machen zu können, was keinem anderen schadet.
- Die Freiheit besteht darin, dass man alles das tun kann, was einem andern nicht schadet.

La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui.

Jeder, welcher aus den ersten Jugendträumen erwacht ist, eigene und fremde Erfahrung beachtet, sich im Leben, in der Geschichte der Vergangenheit und des eigenen Zeitalters, endlich in den Werken der großen Dichter umgesehen hat, wird, wenn nicht irgendein unauslöschlich eingeprägtes Vorurteil seine Urteilskraft lähmt, wohl das Resultat erkennen, dass diese Menschenwelt das Reich des Zufalls und des Irrtums ist, die unbarmherzig darin schalten, im Großen wie im Kleinen, neben welchen aber noch Torheit und Bosheit die Geißel schwingen: daher es kommt, dass jedes Bessere nur mühsam sich durchdrängt, das Edle und Weise sehr selten zur Erscheinung gelangt und Wirksamkeit oder Gehör findet, aber das Absurde und Verkehrte im Reiche des Denkens, das Platte und Abgeschmackte im Reiche der Kunst, das Böse und Hinterlistige im Reiche der Taten, nur durch kurze Unterbrechungen gestört, eigentlich die Herrschaft behaupten; hingegen das Treffliche jeder Art immer nur eine Ausnahme, ein Fall aus Millionen ist, daher auch, wenn es sich in einem dauernden Werke kund gegeben, dieses nachher, nachdem es den Groll seiner Zeitgenossen überlebt hat, isoliert dasteht, aufbewahrt wird, gleich einem Meteorstein, aus einer andern Ordnung der Dinge, als die hier herrschende ist, entsprungen.

Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.