Translation of "Vents" in Portuguese

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Examples of using "Vents" in a sentence and their portuguese translations:

Les vents sont forts.

Os ventos estão fortes.

Les vents de mer sont humides.

Os ventos que vêm do mar são úmidos.

Des vents forts ont accompagné la pluie.

Ventos fortes acompanharam a chuva.

Le toit fut arraché à cause des vents forts.

O telhado foi arrancado devido aos fortes ventos.

Une chaîne de montagnes protège la vallée des vents du nord.

Uma cadeia de montanhas protege o vale dos ventos do norte.

Ces vents nous ont emporté à plus de 6 km des débris.

Graças aos ventos, fomos levados para 6 km de distância dos destroços.

Les vents de mars et les pluies d'avril laissent place aux fleurs de mai.

Os ventos de março e as chuvas de abril trazem depois as flores de maio.

Là, sous de vastes monts, / le dieu tient enchaînés dans leurs gouffres profonds / les vents tumultueux, les tempêtes bruyantes.

Ali, numa caverna imensa, o rei / Éolo domina os ventos tumultuosos, / as ruidosas borrascas, e os mantém, / em sujeição contínua, prisioneiros.

Neptune, offensé de ce qu’on a pu exciter sans ses ordres une tempête dans ses états, vient l’apaiser, et renvoie les vents dans leurs prisons.

Ofendido pelo fato de em seus domínios ter sido possível desencadear-se uma tempestade sem suas ordens, Netuno vem acalmá-la e manda os ventos de volta para suas prisões.

" Commandez à vos vents de servir ma furie ; / dispersez sur les mers ou noyez leurs vaisseaux, / et de leurs corps épars couvrez au loin les eaux. "

"Os teus ventos enfurece, / aqueles barcos põe a pique ou despedaça, / e pelo mar espalha os corpos dos troianos".

Il dit ; et sa prière / paie un juste tribut à Minerve guerrière, / qui daigna la première accueillir nos vaisseaux, / heureux triomphateurs et des vents et des eaux.

Invocamos então a proteção divina / de Minerva das armas ressonantes, / ela a primeira por quem fomos recebidos / naquela hora para nós tão jubilosa.

Aussitôt, appelant Eurus et le Zéphyre, / " Eh quoi ! sans mon aveu, quoi ! dans mon propre empire, / d'une race rebelle enfants audacieux, / vents, vous osez troubler et la terre et les cieux ! "

O Euro e o Zéfiro chama e assim lhes fala: / “É vossa origem que vos faz tão atrevidos? / Já ousais céus e terras confundir / e essas massas enormes soerguer / sem minha permissão, ó ventos loucos?"

Il voit les cieux sereins ; et, du haut de la poupe, / d'un signe impérieux il avertit sa troupe. / Nous partons, nous fuyons, nous volons sur les eaux, / et déployons aux vents les ailes des vaisseaux.

No céu sereno vendo todos os indícios / de bom tempo, da popa faz vibrar / alto e claro o sinal da partida; então nós, / acampamento levantado, às naus voltamos / e nos mastros as velas desfraldamos.

Ces devoirs accomplis, le signal est donné ; / et les voiles, des vents appelant les haleines, / tournent sur les longs bras de leurs longues antennes. / Nous partons, nous fuyons d'un cours précipité / ce rivage suspect, par les Grecs habité.

Depois de haver cumprido esses deveres, / religiosamente, sem demora / ao mar as pontas reviramos das antenas / velíferas, deixando aquelas terras / suspeitas, onde os gregos têm colônias.

" Et nous, nous, vos enfants, attendus dans les cieux, / privés de nos vaisseaux par les vents furieux, / victimes du dépit d'une fière déesse, / sa main du Latium nous écarte sans cesse ! / Grand dieu ! de notre encens est-ce donc là le prix ? "

"E nós, herdeiros do teu sangue e candidatos / à celeste mansão, perdidos, como vês, / nossos navios (oh que absurdo!), simplesmente / para aplacar a sanha a um coração cruel, / vítimas somos e nos vemos afastados / para longe das costas italianas. / É este o prêmio a que fazemos jus / por nossa devoção? Desta maneira / é que pretendes restaurar o nosso império?”

Le rapide Zéphire, et les fiers aquilons, / et les vents de l'Afrique, en naufrages féconds, / tous bouleversent l'onde, et des mers turbulentes / roulent les vastes flots sur leurs rives tremblantes. / On entend des nochers les tristes hurlements, / et des cables froissés les affreux sifflements.

Investem pelo mar ao mesmo tempo, / e todo o agitam desde as profundezas, / Euro, Noto, Áfrico e sua corte de procelas, / arremessando imensas vagas para as praias. / Levanta-se o clamor dos navegantes. / O cordame estridula.

Tels, quand des vents rivaux les fières légions / se disputent de l'air les vastes régions, / le rapide Zéphyr, l'Autan plus prompt encore, / l'Eurus, fier de monter les coursiers de l'Aurore, / ébranlent les forêts, troublent la paix des airs, / et Neptune en courroux bouleverse les mers.

Tal o embate dos ventos na tormenta / desencadeada: o Noto, o Zéfiro e, exultante, / o Euro, puxado por corcéis da Aurora; / ruge açoitada a mata e Nereu, numa nuvem / de espuma, se embravece e, brandindo o tridente, / desde a mor profundeza agita o mar.

Là, pour les dieux s'élève un auguste édifice; / là, viendra l'innocence invoquer la justice ; / contre les flots grondants et les vents orageux / le commerce a ses ports ; le théâtre a ses jeux, / et déjà, de la scène ornements magnifiques, / les marbres africains sont taillés en portiques.

Áreas elegem / da corte de justiça e do augusto senado. / Aqui se draga o porto, ali se assentam / profundos alicerces para um teatro, / ou se talham do mármore colunas / imensas destinadas a adornar / o magnífico palco projetado.

Pareil est son habit, pareil est son carquois ; / sa flèche semble attendre un habitant des bois ; / un souple brodequin compose sa chaussure ; / au-dessus du genou, les nœuds de sa ceinture / de ses légers habits serrent les plis mouvants / et ses cheveux épars flottent au gré des vents.

Do ombro pendura, à caçadora, / arco leve, deixando seus cabelos / flutuarem soltos ao sabor do vento; / com a longa veste arrepanhada por um laço, / desnudos tem os joelhos.

Des deux côtés du port un vaste roc s'avance, / qui menace les cieux de son sommet immense ; / balancés par les vents, des bois ceignent son front ; / a ses pieds le flot dort dans un calme profond ; / et des arbres touffus l'amphithéâtre sombre / prolonge sur les flots la noirceur de son ombre.

De ambos os lados, vasta é a penedia / e contra o céu projetam-se dois cumes, / ao pé dos quais, por longo espaço, as águas / proporcionam seguro e calmo abrigo. / No alto, um cenário de árvores frondosas / batidas pelo vento, um bosque espesso / que para baixo estende escura sombra.

Tel, au sein des moissons quand la flamme rapide, / au gré des vents s'élance : ou lorsqu'à gros bouillons, / engloutissant l'espoir de nos riches sillons, / entraînant les forêts dans ses vagues profondes, / un torrent en grondant précipite ses ondes ; / le berger s'épouvante, et d'un roc escarpé / prête de loin l'oreille au bruit qui l'a frappé.

Bem assim – quando o incêndio se propaga / na seara, à frente dos furentes austros; / ou quando da montanha a rápida torrente / se precipita e arrasa as sementeiras / vicejantes e os campos amanhados, / desarraigadas árvores levando / de roldão – o pastor, que, surpreendido, / de pé na crista de elevada rocha, / estupefato, o ruído fica ouvindo.

Ainsi parla mon père, et deux taureaux sacrés / sont aux dieux protecteurs offerts en sacrifice : / l'un rend à nos destins le dieu des mers propice, / et l'autre d'Apollon implore les faveurs ; / ensuite deux brebis diverses de couleurs / sont offertes aux dieux de l'orageux empire, / la noire aux Vents fougueux, la blanche au doux Zéphyre.

Assim tendo falado, nos altares / as adequadas vítimas imola: / um touro a ti, glorioso Apolo, outro a Netuno, / ovelha preta aos temporais, branca aos favônios.

Palinure à l'instant, en ce péril nouveau, / vers la gauche a poussé son rapide vaisseau ; / et la voile et les vents secondant son audace, / la flotte obéissante a volé sur sa trace. / À la voix de mon père un effroi courageux / anime tous les cœurs : de ces bords orageux / nous fuyons à l'envi l'éternelle tempête.

Dito e feito. De pronto Palinuro / vira a bombordo a rangedora proa, / e o restante da frota à esquerda se mareia, / à ação dos ventos a dos remos se somando.

Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "

A ele então, / humilde, Juno roga nestes termos: / “Ó Éolo (pois a ti o pai dos deuses / e rei dos homens deu a faculdade / de as ondas amansar e de encrespá-las / com o auxílio do vento), uma gente que odeio / no momento navega o mar Tirreno, / levando para a Itália Ílio vencida / e seus penates".

Caché dans son nuage, il hésite, il balance, / veut savoir leur destin, veut savoir en quels lieux / les ont jetés les vents, les ont conduits les dieux, / quel sort les a sauvés, ou bien sur quel rivage / ils ont laissé la flotte échappée au naufrage, / et quels pressants besoins, quels intérêts nouveaux, / à Carthage ont conduit les chefs de ses vaisseaux.

Continuam / no interior da nuvem, que os esconde, / e, espreitando, procuram descobrir / que sucedera àqueles homens; onde a frota / estaria ancorada, e por que vinham / ali – tratava-se de um grupo eleito / dentre as tripulações de todos os navios / e que, implorando proteção em alta voz, / se dirigia ao templo.

Une île est dans les mers, qu'un golfe étroit sépare / des hauteurs de Mycone et des rocs de Gyare, / délices de Thétis, chère au dieu du trident : / longtemps elle flotta sur l'abîme grondant ; / enfin, du dieu du jour la main reconnaissante / fixa de son berceau la destinée errante ; / et l'heureuse Délos, dans un profond repos, / défia le caprice des vents et des flots.

Solo sagrado existe em pleno oceano, / gratíssimo a Netuno Egeu e a Dóris, / mãe das Nereidas; ilha errante fora outrora, / indo entre costa e costa ao sabor da corrente, / até que Apolo, o deus do arco de prata, / por filial devoção prendê-la a Giara / decidisse e à alta Míconos, de modo / que ela habitada enfim pudesse rir dos ventos.

" Là, l'oracle repose et demeure immobile. / Mais si la porte, ouverte aux zéphyrs indiscrets, / de l'arrêt fugitif leur livre les secrets, / ils volent dispersés sous les roches profondes. / Elle, au lieu d'assembler leurs feuilles vagabondes, / de ses oracles vains aux vents abandonnés / laisse errer au hasard les mots désordonnés ; / et qui vient consulter sa réponse inutile, / maudit en s'éloignant l'antre de la sibylle. "

"Normalmente, ali ficam ordenados; / porém, se a porta se abre e uma corrente de ar / ergue e embaralha as tenras folhas, a adivinha / pelo largo aposento as deixa a voejar, / jamais se preocupando em apanhá-las, / para os versos repor na ordem primitiva. / E os consulentes sem resposta se retiram, / a sibilina cova esconjurando."

Mais les heures déjà dans le silence et l'ombre / au milieu de sa course ont guidé la nuit sombre : / Palinure s'éveille et consulte les mers ; / il écoute les vents, interroge les airs ; / des astres de la nuit il observe la course ; / cherche d'un œil savant les Hyades et l'Ourse, / du Bouvier paresseux l'astre resplendissant, / et l'Orion armé d'un or éblouissant.

Nem bem a Noite, conduzida pelas Horas, / à metade chegara de seu curso, / quando salta do leito Palinuro / e diligente estuda os ventos um a um, / com apurado ouvido as vozes lhes captando; / observa os astros, que declinam no silêncio / do céu: passa de Arcturo às Híades chuvosas / e das Ursas a Orion do arco e do alfanje de ouro.

On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.

Colhem-se as velas e se aproa à costa. / Tendo a forma dum arco recortado / no litoral a leste, o ancoradouro / é defendido à entrada por penedos / escarpados que estendem mar adentro / dois altos braços, contra os quais a salsa espuma / se arremessa; da praia está a fugir o templo.

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".

Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "

Aprestar os navios manda Anquises, / para largar enquanto o vento é favorável. / Respeitoso, dirige-lhe a palavra / o intérprete de Apolo: “Anquises, tu que foste / considerado digno da sublime / união com Vênus, ó mortal aos deuses caro, / que foste salvo de ambos os excídios / de Pérgamo, eis da Ausônia a terra é teu solar; / solta as velas e vai a ela aportar. / Mas é preciso que navegues para além / da costa próxima, porque da Ausônia a parte / que te franqueia Apolo, fica do outro lado. / Parte, ó pai venturoso, que contigo / levas o amor e a devoção do nobre filho. / E é só, não devo retardar-te com discursos, / quando os austros começam a soprar.”