Examples of using "Vanquished" in a sentence and their french translations:
Malheur aux vaincus.
- Malheur aux vaincus !
- Malheur aux vaincus !
- Malheur aux vaincus !
- Malheur aux vaincus !
" Tout l'espoir des vaincus est un beau désespoir. "
Ce n'est pas au vaincu de discuter l'art de la guerre.
Le Troyen cependant ne meurt pas sans vengeance, / la fureur quelquefois ranime sa vaillance ; / tour à tour on éprouve, ou répand la terreur ; / on fuit, et l'on poursuit ; on tombe, on est vainqueur ; / partout des pleurs, du sang, des hurlements terribles, / et la mort qui renaît sous cent formes horribles.
" Venons-nous, violant les droits sacrés des hommes, / porter ici le fer et le feu destructeur ? / Non : tant d'audace, hélas ! ne sied pas au malheur. "
Plus bas, le fer en main, d'intrépides cohortes / se pressent en dedans, et protègent les portes. / Ma fureur se réveille en ces moments d'effroi ; / je vole à leur secours, au secours de mon roi.
" Eh bien ! dédaignez donc mes prières, mes larmes ; / je pars : la mort pour moi n'eut jamais tant de charmes. / Rendez-moi l'ennemi, rendez-moi les combats : / tous les Grecs aujourd'hui ne nous survivront pas. "
Tout à coup d'Apollon je vois le saint-ministre, / tout pâle des horreurs de cette nuit sinistre, / portant ses dieux vaincus, traînant son petit-fils, / échapper à grands pas au fer des ennemis.
Le développement économique des nations vaincues, après une guerre, peut être rapide si elles ne sont pas pillées par les vainqueurs. Il y a deux raisons à cela. La première est que tout n'a pas été détruit : certaines choses ne sont que cassées et un effort de réparation relativement limité est multiplié par la valeur de ce qui reste en service. La seconde est la neutralisation des structures du pouvoir établi, qui fait souvent obstacle au progrès.
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "