Examples of using "Woe" in a sentence and their french translations:
Malheur à lui !
- Malheur aux vaincus !
- Malheur aux vaincus !
- Malheur aux vaincus !
- Malheur aux vaincus !
Malheur à lui !
- Pauvre de moi !
- Malheur à moi !
et malheur à toi
Malheur aux vaincus.
Il vaut mieux dire « pauvre de moi » que « pauvres de nous ».
L'absence est le plus grand des maux.
Une femme, c'est la misère d'un homme.
Malheur à ceux qui sont obèses dans une société où la norme est d'être mince.
Malheur à qui est seul, mes amis, et il faut croire que l’isolement a vite fait de détruire la raison.
Malheur à l'enfant qui parle correctement l'anglais ; il n'en sera que moqué parmi ses camarades de classe.
" Il faut fléchir Pallas, il faut offrir des vœux, / et conduire en nos murs ce colosse pompeux. "
" Jupiter même aux Grecs souffle un feu belliqueux, / excite les mortels, et soulève les dieux. "
" Venez, qu'un même sort tous les deux nous rassemble ; / venez, nous périrons, ou nous vivrons ensemble. "
" O comble de grandeur ainsi que de misère ! / Non, vous ne voyez pas une ombre mensongère ; / oui, malgré moi je vis, et pour souffrir encor. "
Mais moi je dis : « Je suis à bout, je suis à bout. Malheur à moi ! Car les traîtres trahissent, oui, les traîtres trahissent traîtreusement. »
" Voilà Priam, et voilà notre histoire ! / Les murs de Junon même en gardent la mémoire. / Oui, jusque dans ces lieux la gloire a ses honneurs, / l'humanité ses droits, et la pitié ses pleurs. "
En ces moments affreux, / qui n'implorai-je point des hommes et des dieux ! / Non, Ilion en feu, non, cette nuit terrible, / pour ce cœur déchiré n'eut rien de plus horrible.
" Comme vous fugitive, / comme vous exilée, enfin sur cette rive / j'ai trouvé le repos ; partagez sa douceur : / malheureuse, j'appris à plaindre le malheur. "
" Quand le perfide Ulysse eut à sa lâche envie, / vous ne l'ignorez pas, immolé ce héros, / en silence d'abord pleurant ses noirs complots, / pleurant de mon ami la triste destinée, / je traînais dans le deuil ma vie infortunée. "
" – Eh bien, cours aux enfers conter ce que tu vois ; / dis au fils de Thétis que son sang dégénère. "
" Hélas ! par cet espoir j'aimais à me venger ; / à nos malheurs passés j'opposais cette joie, / et Rome adoucissait les désastres de Troie : / chaque jour cependant reproduit nos malheurs. / Grand roi ! quand mettrez-vous un terme à nos douleurs ? "
" Thymète le premier, soit lâche trahison, / soit qu'ainsi l'ordonnât le destin d'Ilion, / des Grecs favorisant la perfide entreprise, / dans nos murs aussitôt prétend que l'on l'introduise. "
Quand Jupiter, du haut de la voûte éthérée, / contemplant et la terre et la mer azurée, / et les peuples nombreux dans l'univers épars, / sur la Libye enfin arrête ses regards.
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
Céléno reste seule, et ses cris menaçants / font du haut d'un rocher entendre ces accents : / " Lâches usurpateurs de notre antique terre ! / Quoi ! pour un vil butin vous nous livrez la guerre ! "
Ainsi, parmi les cris, les sanglots et les larmes, / d'un touchant entretien elle goûte les charmes ; / lorsque, de son tyran successeur couronné, / Hélénus de sa cour s'avance environné, / nous reconnaît, nous mène à sa nouvelle Troie, / et mêle à chaque mot une larme de joie.
À ces mots, qui doublent mes alarmes, / je ne sais quel délire égara mes esprits ; / mais, tandis qu'éperdu, tremblant d'être surpris, / aux lieux les moins frayés je confiais ma fuite, / ma chère épouse, hélas ! que je crois à ma suite... / Sort cruel ! est-ce toi qui nous en séparas ? / Le chemin, trop pénible, arrêta-t-il ses pas ? / Ou dans ces noirs sentiers s'est-elle enfin perdue ? / Je ne sais.
" Mais, vous, puis-je connaître / de quel sang vous sortez, quels lieux vous ont vu naître, / où s'adressent vos pas ? " Elle dit. Le héros, / poussant du fond du cœur de douloureux sanglots : / " O déesse ! dit-il, si du sort qui m'accable / j'essayais de conter l'histoire lamentable, / dans ce triste récit j'épuiserais le jour. "
" La nuit tombe ; et déjà les célestes flambeaux, / penchant vers leur déclin, invitent au repos. / Mais, si de nos malheurs vous exigez l'histoire, / s'il faut en rappeler l'affligeante mémoire, / quoiqu'au seul souvenir de ces scènes d'horreur / mon cœur épouvanté recule de terreur, / j'obéis. "