Examples of using "Hath" in a sentence and their french translations:
Et votre père s’est joué de moi, et a changé dix fois mon salaire ; mais Dieu ne lui a pas permis de me faire du mal.
Un homme peut pêcher avec le ver qui a mangé d'un roi, et manger le poisson qui s'est nourri de ce ver.
Nul n'a jamais vu Dieu; le Fils unique, qui est tourné vers le sein du Père, lui l'a fait connaître.
Toute la richesse que Dieu a ôtée à notre père appartient à nous et à nos enfants. Fais maintenant tout ce que Dieu t’a dit.
Les champs ont produit une bonne moisson.
Dieu a pris à votre père son troupeau, et me l’a donné.
" Vous tous, qui conservez l'ardeur du premier âge, / dont le sang, jeune encore, enflamme le courage, / mes chers enfants, fuyez. "
Le figuier forme ses premiers fruits et les vignes en fleur exhalent leur parfum.
Ne sommes-nous pas regardées par lui comme des étrangères, puisqu’il nous a vendues, et qu’il a mangé notre argent ?
- Il me dit, ma chère Gertrude, qu'il a trouvé la source du dérangement de votre fils.
- Il prétend, ma chère Gertrude, avoir trouvé le principe et la source du dérangement de votre fils.
- Il me dit, ma chère Gertrude, qu'il a trouvé le point capital et la source de tout le dérangement de votre fils.
Nuit effroyable ! hélas ! de ces scènes affreuses / qui pourrait retracer les tragiques horreurs? / Quels yeux pour ce désastre auraient assez de pleurs?
- Le hurlement fait paraître le loup plus gros qu'il n'est.
- La peur rend le loup plus grand qu'il ne l'est.
Ainsi parle Apollon. On tressaille, on s'écrie : / " Quels sont ces bords ? quelle est cette antique patrie / où le sort nous appelle, où le ciel pour toujours / de nos longues erreurs doit terminer le cours ? "
" Non, non, ce ne sont point ces objets de ta haine, / non, ce n'est point Pâris, ni l'odieuse Hélène, / c'est le courroux des dieux qui renverse nos murs. "
" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "
" Au sortir d'Ilion, notre antique séjour, / (peut-être d'Ilion vous savez l'infortune) / traînant de mers en mers une vie importune, / enfin l'onde en courroux m'a jeté dans ces lieux. "
Et le mâle incirconcis, qui n’aura pas retranché la chair de son excroissance, sera supprimé lui-même du sein de son peuple pour avoir enfreint mon alliance.
Ainsi, Cyrus, roi de Perse, déclara : notre seigneur Dieu du Ciel m'a donné tous les royaumes de la terre et il m'a chargé de lui construire une maison à Jérusalem, qui se trouve au royaume de Juda. Qui que ce soit parmi vous tous, son peuple, que le Seigneur, son Dieu, soit avec lui et qu'il monte au ciel !
Le Troyen cependant ne meurt pas sans vengeance, / la fureur quelquefois ranime sa vaillance ; / tour à tour on éprouve, ou répand la terreur ; / on fuit, et l'on poursuit ; on tombe, on est vainqueur ; / partout des pleurs, du sang, des hurlements terribles, / et la mort qui renaît sous cent formes horribles.
" Comme vous fugitive, / comme vous exilée, enfin sur cette rive / j'ai trouvé le repos ; partagez sa douceur : / malheureuse, j'appris à plaindre le malheur. "
Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil ?
Un bouclier d'Abas, devenu ma conquête, / du temple par mes mains a décoré le faîte ; / et je grave au-dessous du monument guerrier : ÉNÉE AUX GRECS VAINQUEURS RAVIT CE BOUCLIER.
" Vous, mon père, prenez nos dieux, nos vases saints ; / je ne puis y toucher avant qu'une onde pure / du sang dont je suis teint m'ait lavé da souillure. "
"S'il vit, si quelque dieu veille à sa destinée, / c'est assez : notre espoir va renaître avec lui. / Et vous, dont nos malheurs sollicitent l'appui, / si vous nous protégez contre la violence, / je connais sa justice et sa reconnaissance : / croyez que ces états s'applaudiront un jour / d'avoir par des bienfaits provoqué son amour. "
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
" Et nous, nous, vos enfants, attendus dans les cieux, / privés de nos vaisseaux par les vents furieux, / victimes du dépit d'une fière déesse, / sa main du Latium nous écarte sans cesse ! / Grand dieu ! de notre encens est-ce donc là le prix ? "
" Le perfide poursuit avec sécurité : / " Grand roi, vous apprendrez la simple vérité. / D'abord, je l'avourai, ma patrie est la Grèce : / de nier mon pays je n'ai point la faiblesse ; / le sort peut, sur Sinon déployant sa rigueur, / le rendre malheureux, mais non pas imposteur. " "
Et, tel qu'un voyageur / qui sur un long serpent roulé dans son asile / appuie un pied pesant, soudain d'un saut agile / fuit le reptile affreux, qui, de terre élancé, s'allonge, et marche à lui fièrement courroucé : / tel ce Grec devant nous recule d'épouvante.
Jacob entendit les propos des fils de Laban, qui disaient : Jacob a pris tout ce qui était à notre père, et c’est avec le bien de notre père qu’il s’est acquis toute cette richesse. Jacob remarqua aussi le visage de Laban ; et voici, il n’était plus envers lui comme auparavant.
Et maintenant, mon fils, sois docile à ma voix, sur ce que je vais t’ordonner : va au menu bétail et prends moi deux beaux chevreaux et j’en ferai pour ton père un ragoût tel qu’il l’aime. Tu le présenteras à ton père et il mangera ; de sorte qu’il te bénira avant de mourir.
Et l’ange de Dieu me dit en songe : Jacob ! Je répondis : Me voici ! Il dit : Lève les yeux, et regarde : tous les boucs qui couvrent les brebis sont rayés, tachetés et marquetés ; car j’ai vu tout ce que te fait Laban.
La femme répondit au serpent : Les fruits des arbres du jardin, nous pouvons en manger ; mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez pas, vous n’y toucherez point, sous peine de mourir.
" O vous, l'amour, l'espoir et l'orgueil des Troyens, / Hector, quel dieu vous rend à vos concitoyens ? / Que nous avons souffert de votre longue absence ! / Que nous avons d'Hector imploré la présence ! "
" Que les dieux, s'il en est qui vengent l'innocence, / t'accordent, malheureux ! ta juste récompense ; / toi qui d'un sang chéri souilles mes cheveux blancs, / qui sous les yeux d'un père égorges ses enfants. "
" Si d'un peuple proscrit rien ne doit échapper, / si, pour que le destin n'aît plus rien à frapper, / tu veux joindre les tiens aux ruines de Troie, / attends : voici Pyrrhus qui vient chercher sa proie – / Pyrrhus qui fait tomber, sous le glaive cruel, / le fils aux yeux du père, et le père à l'autel : / du meurtre de nos rois encore dégouttante, / bientôt de notre sang sa main sera fumante. "
Jacob fit appeler Rachel et Léa, qui étaient aux champs vers son troupeau. Il leur dit : Je vois, au visage de votre père, qu’il n’est plus envers moi comme auparavant ; mais le Dieu de mon père a été avec moi. Vous savez vous-mêmes que j’ai servi votre père de tout mon pouvoir.
" Mais, pour mieux vous calmer, je veux de votre Énée / suivre dans tout son cours la haute destinée. / De ce fils, votre amour, cent combats glorieux / signaleront bientôt le bras victorieux. / Vainqueur de l'Ausonie, à ses peuples dociles / il donnera des mœurs, et des lois, et des villes. / Là, tandis que l'état fleurira sous ses lois, / le printemps aux frimas succédera trois fois. "
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
Aussi, pour réprimer leur fougue vagabonde, / Jupiter leur creusa cette prison profonde, / entassa des rochers sur cet affreux séjour, / et leur donna pour maître un roi qui, tour à tour / irritant par son ordre ou calmant leurs haleines, / sût tantôt resserrer, tantôt lâcher les rênes.
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "
Maintenant, lorsque Pharaon vous mandera et dira : « Quelles sont vos occupations ? » vous répondrez : « Tes serviteurs se sont adonnés au bétail depuis leur jeunesse jusqu’à présent et nous et nos pères. » C’est afin que vous demeuriez dans la province de Gessen, car les Égyptiens ont en horreur tout pasteur de menu bétail.
Ce peu de mots à peine a redoublé leur rage ; / soudain, tels que dans l'ombre, avides de ravage, / court de loups dévorants un affreux bataillon, / qu'irrite de la faim le pressant aiguillon, / et que les fruits affreux de leur amour sauvage / attendent dans la nuit, altérés de carnage ; / au centre de la ville, au plus fort des combats, / nous volons à la gloire, ou plutôt au trépas. / Sur nous la nuit étend ses ailes ténébreuses.
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "