Examples of using "Steer" in a sentence and their french translations:
et j'étais incapable de me diriger.
Tu dois te tenir à l'écart de cette bande.
Cette minuscule souris sauterelle ferait mieux de garder ses distances.
Son bras gauche montre où le pilote doit diriger.
est censée diriger les événements mondiaux en arrière-plan.
Nous avons tous besoin d'une étoile pour guider nos vies.
Que ce soit eux ou moi, nous savions comment vite changer de conversation.
Lors d'un premier rendez-vous, il est préférable de ne pas aborder des sujets délicats.
Hé, gardez vos distances avec le patron, aujourd'hui, il a l'air vraiment énervé à propos de quelque chose.
- Bien sûr que vous pouvez vous fier à moi. Vous ai-je déjà fourni un mauvais tuyau ?
- Bien sûr que tu peux te fier à moi. T'ai-je déjà fourni un mauvais tuyau ?
- Bien sûr que vous pouvez vous fier à moi. Vous ai-je déjà refilé un mauvais tuyau ?
- Bien sûr que tu peux te fier à moi. T'ai-je déjà refilé un mauvais tuyau ?
Heureux qui, dans ses vers, sait d'une voix légère passer du grave au doux, du plaisant au sévère.
Le vent s'élève en poupe ; on s'élance, on arrive, / et de la Crète enfin nous atteignons la rive.
À la belle Vénus, aux dieux dont les auspices / sont aux nobles projets funestes ou propices, / j'offre mon humble hommage ; et le sacré couteau / immole à Jupiter un superbe taureau.
Hélas ! j'y fus suivi par mon destin funeste. / Des malheureux Troyens j'y rassemble le reste : / sur la rive des mers un nouvel Ilion, / élevé par mes mains, avait reçu mon nom.
" Il vaut mieux t'éloigner, et rasant la Sicile / prolonger tes détours et ta lenteur utile, / pour atteindre le but l'éviter avec art, / et près de Pachynum, par un prudent écart, / dans ton cours prolongé décrire un arc immense, / que d'aller, de Carybde affrontant l'inclémence, / braver ses tourbillons, ses gouffres écumants, / et de ses chiens hideux les rauques hurlements. "
" À travers les écueils, le courroux de la mer, / nous cherchons les beaux lieux promis par Jupiter : / là nous attend la paix ; là nos yeux avec joie / verront se relever les murailles de Troie. / Vivez, conservez-vous pour les jours du bonheur. "
" Mais, si ce doux espoir est ravi sans ressource, / ô père des Troyens ! si les flots ennemis / ont englouti tes jours et les jours de ton fils, / du moins que nous allions chercher dans la Sicile / les faveurs d'un bon prince et d'un climat fertile ! "
Nous partons : nous voyons la riche Oléaros, / Naxos chère à Bacchus, et la blanche Paros, / Donyse aux verts bosquets, tant d'îles renommées / qui sur les vastes mers en cercle sont semées.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "