Examples of using "Vêm" in a sentence and their french translations:
- Ils arrivent.
- Elles arrivent.
- Les voilà.
- C'est eux.
- C'est elles.
- Viennent-ils aussi ?
- Viennent-elles aussi ?
- Ils proviennent du même pays.
- Elles proviennent du même pays.
Elles proviennent du même village.
Ils ne viennent pas aujourd'hui.
D'où viennent-ils ?
- Venez-vous ?
- Viens-tu ?
- D'où viens-tu ?
- D'où venez-vous ?
De nombreuses personnes célèbres viennent ici.
D'où les bébés viennent-ils ?
d'où les gens viennent en premier
Les filles les plus belles viennent de Lituanie.
La famille élargie arrive à la rescousse.
Nos meilleures idées viennent des autres.
- Tu viens avec moi ?
- Est-ce que tu viens avec moi ?
que le crime et les drogues viennent du Mexique
Tom et Mary ne viennent pas.
- Vas-tu voter à la prochaine élection ?
- Allez-vous voter à la prochaine élection ?
Venez-vous d'Autriche ou d'Australie ?
Ces diamants viennent d'Afrique du Sud.
Tu sais d'où viennent ces équations ?
Nos meilleures idées viennent des autres.
Les vents de mer sont humides.
Les hébreux sont Israéliens, car ils viennent d'Israël.
D'où peuvent bien venir toutes ces voitures ?
J'ai beaucoup de clients qui viennent à moi cherche à créer une chaîne YouTube
Chaque année, ils sont des centaines à venir récolter ces trésors des profondeurs.
On l'admire ; il se tait, et recueille avec joie / les suffrages rivaux de Carthage et de Troie.
Certains de ses rivaux viennent ici depuis plus de 30 ans.
Mais il y a un problème. Les éperviers de Cooper savent qu'ils arrivent.
- Ces bijoux proviennent du Brésil.
- Ces bijoux viennent du Brésil.
Je ne sais pas d'où viennent ces héritages alors, chance quand même
Viens-tu ou non ?
Ses deux parents viennent du Brésil. Elle est la fille de Brésiliens.
- Quand tes parents arrivent-ils chez eux ?
- Quand vos parents arrivent-ils chez eux ?
- Quand tes parents arrivent-ils chez toi ?
- Quand vos parents arrivent-ils chez vous ?
Jamais nous ne goûtons de parfaite allégresse : nos plus heureux succès sont mêlés de tristesse.
Les légendes sur le roi Hrolf proviennent d'une période tumultueuse de l'histoire de l'Europe, traditionnellement
- Tu viens d'où ?
- De quel pays viens-tu ?
- D'où viens-tu ?
- D'où venez-vous ?
- Vous venez d'où ?
- D'où es-tu ?
- D'où êtes-vous ?
- Tu viens de quel endroit ?
Au coucher du soleil, les poissons dont se nourrissent les otaries sortent des profondeurs.
- Avec qui viendras-tu ?
- Avec qui viendrez-vous ?
En 2001, la pratique des échecs a été reconnue comme sport par le Comité International Olympique. Depuis lors, les Jeux olympiques d'échecs ont eu lieu.
Les divinités de la mer viennent elles-mêmes au secours des vaisseaux troyens, dont une partie a été dispersée par l’orage : il n’en aborde que sept en Afrique.
Après la construction d'une ou deux grandes usines aux abords ou dans une ville, les gens viennent chercher du travail et bientôt, une zone industrielle commence à se développer.
Au milieu des horreurs de ce jour sanguinaire, / trop digne d'achever l'ouvrage de son père, / du meurtrier d'Hector le barbare héritier, / Pyrrhus vient, et déploie Achille tout entier : / il menace, il attaque ; à sa fureur extrême, / les barrières, les murs, et la garde elle-même, / tout cède. Le bélier tonne à coups redoublés. / Arrachée à grand bruit de ses gonds ébranlés, / enfin, la porte tombe.
- Tu viens d'où ?
- D'où viens-tu ?
- D'où venez-vous ?
- Vous venez d'où ?
- D'où es-tu ?
- D'où êtes-vous ?
Pourquoi ne venez-vous pas ici manger avec nous ce soir ?
Le bord fuit : devant nous s'étend la mer profonde ; / tout à coup la tempête, apportant la terreur, / sur l'onde au loin répand sa ténébreuse horreur.
Le vase d'or paraît : tous gardent le silence ; / et, la coupe à la main, la reine ainsi commence: / " Auguste protecteur de l'hospitalité, / Jupiter ! que ce jour, à jamais respecté, / soit propice aux enfants et de Tyr et de Troie ! "
Aux clartés de la lune accourent sur mes pas, / et le sage Rhipée et le vaillant Dymas, / Hypanis qu'enflammait une ardente jeunesse, / Iphite encor bouillant en sa mâle vieillesse, / et le jeune Corèbe enfin, qui, dans ce jour, / pour Cassandre brûlant d'un trop funeste amour, / venait briguer sa main dans le champs de la gloire, / hélas ! et comme nous refusa de la croire.