Examples of using "Tendo" in a sentence and their french translations:
- Il a toujours des doutes.
- Il a encore des doutes.
Thomas a des problèmes financiers.
Je prends des cours de français.
- Suivez-vous des cours avec ce professeur ?
- Tu prends des cours avec ce prof ?
Tom passait une mauvaise journée.
Il a du mal à respirer.
Ils prennent des cours de mathématiques.
ça pourrait être des résultats d'autres personnes vivent,
Disposant d'un bon cerveau, il a tout remporté.
et j'ai tendance à être plus conservateur.
J'ai du mal à me concentrer.
et j'ai tendance à aller à Upwork.com
Tom pensait que Mary avait des problèmes d'argent.
J'ai quelques difficultés à compiler ce programme.
J'ai quelques difficultés à compiler ce programme.
Ayant fait son travail, il sortit.
Ça me stresse de continuer par là avec aussi peu d'eau.
A cette époque, je prenais encore des leçons de français.
devoir aider le les vendeurs concluent des transactions.
Je veux vraiment voir tu réussis et grandis.
Il semblerait donc que cannabis soit à l'honneur.
S'est-elle jamais confiée à vous au sujet des problèmes qu'elle endurait ?
- Comment se sent-on d'être toujours suivi par un entourage ?
- Quelle impression cela fait-il d'être constamment suivi par des gens autour de vous ?
- Quelle impression cela fait-il d'être constamment entouré de gens qui vous suivent ?
Avec le temps, j'ai eu de plus en plus de succès,
des gonflements sévères, des difficultés respiratoires et même la mort.
Qu’est ce qu’un père sinon celui qui, malgré qu’il n’ait rien, donne tout ?
Comme il n'avait rien à faire, il alla au centre-ville.
Mary, ayant exilé Tom, fut promue au début de chaque phrase.
Le jour naît : je retourne à ma troupe fidèle.
Je ne voudrais pas que ta mère pense que j'ai une liaison.
Les gens ont peur de cet animal sans l'avoir jamais vu.
Pour l'avoir entendu tant de fois, je peux maintenant réciter le poème par cœur.
vraiment lorsque nous sommes en public?" "J'aimerais pouvoir dire oui."
Ayant rencontré Tom à la gare, Maria lui a demandé comment s'étaient passées ses vacances.
Qui, voyant la nudité de ces murs, penserait qu'ici habite une reine ?
Mais même avec 60% d'alcool, le CDC recommande d'utiliser du savon si vous le pouvez.
Donc, encore une fois, ce qui semblait être une fiction complète s'avère avoir une certaine corroboration
Après avoir fini le ménage, elle s'assit sur le canapé et regarda la télévision.
Ayant trouvé une pomme, je l'ai mangée.
- Nous mangeons le petit-déjeuner.
- Nous prenons notre petit-déjeuner.
- Nous petit-déjeunons.
- Nous sommes en train de prendre le petit-déjeuner.
J'ai un terrible mal de tête depuis la nuit passée, je me sens très mal, c'est une sensation horrible.
Un vieillard est un grand arbre qui n'a plus ni fruits ni feuilles, mais qui tient encore à la terre.
Malgré l'avoir vu plusieurs fois, nous ne saurions pas le reconnaître.
Ainsi parla mon père, et deux taureaux sacrés / sont aux dieux protecteurs offerts en sacrifice : / l'un rend à nos destins le dieu des mers propice, / et l'autre d'Apollon implore les faveurs ; / ensuite deux brebis diverses de couleurs / sont offertes aux dieux de l'orageux empire, / la noire aux Vents fougueux, la blanche au doux Zéphyre.
Ayant remis les statues de ses dieux entre les mains d'Anchise, il le charge sur ses épaules, et traverse la ville, se retirant sur le mont Ida.
À compter de 1950, la Communauté européenne du charbon et de l'acier unit progressivement les pays européens sur le plan économique et politique afin de garantir une paix durable.
Qui m'a mis au monde, qui a engendré un misérable comme moi, pour errer ainsi, toujours en plein air, sous le ciel bleu ?
L’ayant transporté dans l’île de Chypre, elle lui substitue son fils Cupidon, qui se présente chez la reine de Carthage sous la figure de Iule.
En Angleterre, le serveur nous demanda : "-Combien de bière désirez-vous, une demi pinte ou bien une pinte ?". N'ayant aucune idée de ce que ça pouvait représenter, nous lui demandâmes de nous montrer les verres.
Hélas ! j'y fus suivi par mon destin funeste. / Des malheureux Troyens j'y rassemble le reste : / sur la rive des mers un nouvel Ilion, / élevé par mes mains, avait reçu mon nom.
C'est là que volèrent la reine et son essaim pour y déposer cire et miel.
" À ces mots, saisissant sa javeline immense, / de son bras vigoureux avec force il la lance : / le trait part, sifle, vole, et s'arrête en tremblant ; / la masse est ébranlée, et, dans son vaste flanc, / de ses concavités les profondeurs gémirent. "
Là, d'incroyables bruits, jusqu'à nous parvenus, / étonnent notre oreille : on nous dit qu'Hélénus, / enfant du dernier roi de la triste Pergame, / possède de Pyrrhus et le sceptre et la femme ; / qu'il commande à des Grecs, et qu'un dernier lien / met la veuve d'Hector dans les bras d'un Troyen.
Le bruit court qu'un grand roi, notre ennemi cruel, / Idomenée, a fui le trône paternel ; / qu' abandonnés des Grecs, les rivages de Crète / promettent aux Troyens une douce retraite.
" Par cette mort sanglante Hélénus en partage / obtint une moitié de son riche héritage, / et du nom de Chaon, né du sang des Troyens, / appela ces vallons les Champs Chaoniens : / Pergame fut le nom que prit la citadelle. "
" Hélas ! et plût au ciel que le même naufrage / eût conduit votre chef sur le même rivage ! / Je vais, jusqu'aux confins de mes vastes états, / partout faire chercher la trace de ses pas : / peut-être nous saurons quel désert, quelle ville / à ses destins errants ont offert un asile. "
Le sort de Laocoon, qui avait lancé une javeline contre les flancs du cheval, et que deux serpents dévorent avec ses deux enfants, en présence de tout le peuple troyen, achève de persuader que ce cheval est un monument religieux.
Ainsi, par les discours de ce monstre perfide, / nous nous laissons séduire ; et ce peuple intrépide, / que ni mille vaisseaux, ni cent mille ennemis, / ni dix ans de combats, n'avaient encor soumis, / qui d'Achille lui-même avait bravé les armes, / est vaincu par la ruse, et domté par les larmes.
On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.
" Moi, d'un jeune orgueilleux, trop digne de son père, / souffrant l'amour superbe et la fierté sévère, / j'ai rampé sous un maître, et, par mille revers, / passé de Troie en cendre à l'opprobre des fers. / Bientôt, nouveau Pâris, jusqu'à Lacédémone / mon dédaigneux époux court ravir Hermione ; / et, fuyant des plaisirs par la force obtenus, / il m'abandonne esclave à l'esclave Hélénus. "
- Comme ma mère était malade, je suis resté à la maison au lieu d'aller à l'école.
- Comme ma mère était malade, je suis restée à la maison plutôt que d'aller à l'école.
« Comment as-tu aimé ça, chère amie, » dit Tom avec un sourire, « cet échec et mat que je t'ai offert avec ma dame ? » Marie a été choquée au début. Avais-je manqué de voir quelque chose ? Mais alors elle a souri aussi et a répondu : « Eh bien, que penseriez-vous si je capturais votre dame avec mon cavalier ? » Et après avoir déplacé le cavalier, elle a retiré la dame du plateau.
" Mais, vous, puis-je connaître / de quel sang vous sortez, quels lieux vous ont vu naître, / où s'adressent vos pas ? " Elle dit. Le héros, / poussant du fond du cœur de douloureux sanglots : / " O déesse ! dit-il, si du sort qui m'accable / j'essayais de conter l'histoire lamentable, / dans ce triste récit j'épuiserais le jour. "
Elle dit : le nectar coule en l'honneur des dieux. / Didon au même instant de ses lèvres l'effleure ; / Bitias le reçoit ; on l'excite, et, sur l'heure / s'abreuvant à longs traits du nectar écumant, / la coupe aux larges bords est vide en un moment. / Le vase d'or circule, avec lui l'allégresse.
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
Après la proposition et l’invocation, début ordinaire des poèmes épiques, le poète commence son récit à la septième année de l’expédition de son héros, c’est-à-dire, au temps où Énée, chef des Troyens, parti de la Sicile, et faisant voile pour l’Italie, est assailli d’une violente tempête, excitée par Éole, à la sollicitation de Junon, qui continue de poursuivre les habitants de Troie, après la ruine de leur patrie, et veut s’opposer à leur établissement en Italie, où les destins ont annoncé qu’ils seront les fondateurs d’un puissant empire.