Examples of using "Sombra" in a sentence and their french translations:
Sans l'ombre d'un doute.
Asseyons-nous là où il y a de l'ombre.
Il n'y a pas de lumière sans ombre.
- Stationnez la voiture à l'ombre.
- Stationne la voiture à l'ombre.
Un vieil arbre fournit de l'ombre.
Ce manguier fait pas mal d'ombre.
fard à paupières l'enseignant au collège
Il a peur de son ombre.
L'ombre du bâton est visible.
Elle a peur de son propre ombre.
Faisons une pause à l'ombre.
J'aime l'ombre des oliviers.
Il ne faut pas que mon ombre se reflète… à la surface de l'eau.
Un vieil homme se reposait à l'ombre de l'arbre.
Il ne fait aucun doute qu'il a du talent.
Mes jours sont comme l'ombre qui décline.
Tom s'endormit à l'ombre d'une paillote.
Ils resteront bien au frais, à l'ombre, enterrés dans la boue.
Sinon, on peut se reposer à l'ombre d'un de ces gros rochers
Vous voyez l'ombre que ça fait avec le soleil ?
Si on met un petit caillou au bout de l'ombre
Il n'y a pas l'ombre d'un doute à ce sujet.
À ce sujet, il n'existe pas l'ombre d'un doute.
- Sans l'ombre d'un doute, c'est le meilleur.
- Sans l'ombre d'un doute, c'est ce qu'il y a de mieux.
Il y a beaucoup d'ombre là où il y a beaucoup de lumière.
On pose ça, et on va se chercher de l'ombre.
À présent l'ombre d'un doute lui assombrissait le visage.
L'arbre ne retire pas son ombre, même au bûcheron.
J'étais assis sur la rive, à l'ombre d'un laurier-rose.
Ce qu'on veut, c'est trouver un coin à l'ombre, à l'abri du soleil.
Les huit yeux minuscules de la tarentule frisée ne distinguent guère que l'ombre et la lumière.
Sans l'ombre d'un doute, l'usage de l'espéranto économise beaucoup de temps, d'argent et de travail.
Il ne fait aucun doute qu'il a du talent.
Le jour, les éléphants passent la plupart du temps à se nourrir à l'ombre.
Il se tenait debout contre le mur, sa silhouette svelte projetant une ombre prolongée dans tout le couloir.
Regardez, on peut s'abriter sous ce rocher. C'est tout ce qu'il nous faut. C'est suffisant pour se cacher du soleil.
Le mal existe, mais pas sans le bien, comme l'ombre existe, mais pas sans la lumière.
Je crois, sans l'ombre d'un doute, qu'elle est innocente.
Dans la cour du palais, de ses rameaux antiques / un laurier embrassant ses autels domestiques / les couvrait de son ombre.
Plus loin, et sous l'abri d'une roche profonde, / de la voûte des bois partout environnés, / déjà nous reprenions nos mets abandonnés, / déjà le feu brûlait sur l'autel de nos Lares.
À ces mots je m'éloigne, en retournant les yeux / vers ces murs fraternels, cette terre chérie, / et vais sur l'onde encor poursuivre une patrie. / Nous côtoyons d'abord ces sommets escarpés / que les traits de la foudre ont si souvent frappés ; / de là, vers l'Italie un court trajet nous mène. / Le jour tombe ; et la nuit, de son trône d'ébène, / jette son crêpe obscur sur les monts, sur les flots.
Les Grecs l'ayant poursuivi, il perd sa femme : s'apercevant de son absence, il retourne la chercher ; son ombre lui apparaît, et lui dit que Cybèle la retient dant la Phrygie.
Vénus sourit, et cueillant des pavots / verse à son cher Ascagne un paisible repos, / le berce dans ses bras, l'enlève, et le dépose / sur la verte Idalie, où le myrte, où la rose / d'une haleine odorante exhalant les vapeurs, / l'environnent d'ombrage et le couvrent de fleurs.
L'olympe cependant, dans son immense tour, / a ramené la nuit triomphante du jour ; / déjà, du fond des mers jetant ses vapeurs sombres / avec ses noirs habits et ses muettes ombres, / elle embrasse le monde ; et ses lugubres mains / d'un grand voile ont couvert les travaux des humains, / et la terre, et le ciel, et les Grecs, et leur trame. / Un silence profond règne au loin dans Pergame : / tout dort.
La vie n'est qu'une ombre qui marche, un pauvre acteur qui s'agite et parade une heure sur la scène, puis qu'on n'entend plus. C'est un récit raconté par un idiot, plein de bruit et de fureur, qui n'a aucun sens.
" Si, sur les bords des eaux, se présente à ta vue / une laie aux poils blancs sur la rive étendue, / nourrissant trente enfants d'une égale blancheur, / et du fleuve voisin respirant la fraîcheur, / arrête là ton cours ; là finiront tes peines. "
Des deux côtés du port un vaste roc s'avance, / qui menace les cieux de son sommet immense ; / balancés par les vents, des bois ceignent son front ; / a ses pieds le flot dort dans un calme profond ; / et des arbres touffus l'amphithéâtre sombre / prolonge sur les flots la noirceur de son ombre.
Son fils la reconnaît, et, tandis qu'elle fuit, / de ses yeux, de sa voix, longtemps il la poursuit, / et, l'œil baigné de pleurs : " Quoi ! toi-même, ô ma mère ! / tu te plais à tromper un fils qui te révère ! / Ah ! quand pourra ton fils te presser sur son sein, / mes yeux fixer tes yeux, ma main serrer ta main ? / N'abuse plus mes sens ; que le fils le plus tendre / puisse en effet te voir, te parler et t'entendre ! "
Ce peu de mots à peine a redoublé leur rage ; / soudain, tels que dans l'ombre, avides de ravage, / court de loups dévorants un affreux bataillon, / qu'irrite de la faim le pressant aiguillon, / et que les fruits affreux de leur amour sauvage / attendent dans la nuit, altérés de carnage ; / au centre de la ville, au plus fort des combats, / nous volons à la gloire, ou plutôt au trépas. / Sur nous la nuit étend ses ailes ténébreuses.
Ta grande compétence ne fait aucun doute.